Paris, chez A. Pougin, 1837 ; in-12, 182 pp., broché. Louis Racine, fils de Jean Racine, fut un poète français de la première moitié du 18ème siècle. Après ses études, il devint avocat et il entra chez les oratoriens, où il commença à écrire La Grâce, un poème inspiré du jansénisme. Il fit ensuite carrière dans les fermes du roi. Après la mort de son fils à la bataille de Cadix, il cessa d'écrire et traduisit le Paradis perdu de Milton. La Grâce et La Religion restent les oeuvres les plus connues et les plus publiées de Louis Racine. Très bon état.
Reference : B4644
Librairie Alphabets
M. Philippe Henry
06 87 32 55 92
Conforme à la vente par correspondance.
Tours. Imprimerie typographique et lithographique de Juliot. 1879. In-4°, reliure demi-basane. XXVII+861 pages. Deux figures dans le texte et deux grandes planches dépliantes. E.O. " Cet ouvrage n'est pas destiné au commerce ". Reliure un peu frottée sur les bords ; bon état. Envoi autographe d'un Fusionien à l'un de ses frères.
" Les temps sont venus ; les prophéties s'accomplissent. Le Ciel et la Terre qui étaient s'en vont ; et voici un nouveau Ciel et une Terre nouvelle qui les remplacent. De toutes parts les signes précurseurs de la fin du vieux monde se manifestent. Voyez et entendez, vous qui avez des yeux pour voir et des oreilles pour entendre. Des quatre coins de l'univers, toutes les voix révélatrices de l'avenir annoncent ce grand événement. C'est aujourd'hui l'ère du grand renouvellement, où toutes choses vont être changées, pour faire place à l'avènement de la Religion Fusionienne ou universelle, qui est le règne de Dieu. Le FUSIONISME est le PARACLET promis à la terre, l'ESPRIT DE VÉRITÉ venant réaliser la vraie religion catholique ou universelle, c'est-à-dire, la religion complète et définitive désignée sous le nom de règne de Dieu ; la religion qui est de tous les temps, de tous les lieux, et qui, se fondant sur la loi UNIVERSELLE, relie dans l'UNITÉ tous les hommes passés, présents et futurs de tous les globes de l'espace, pour en faire une seule famille de frères, vivant d'une vie commune et ayant pour père commun Dieu. C'est la loi de FUSION, loi de VIE, trine, naturelle et éternelle, composée de l'ÉMANATION, de l'ABSORPTION et de l'ASSIMILATION, qui sont les propriétés essentielles à la vie de tous les êtres et au moyen desquelles ils accomplissent leur destinée. La RELIGION FUSIONIENNE est la lumière suprême à l'aide de laquelle nous connaissons d'une manière complète DIEU, l'HOMME et le MONDE, et nous pouvons accomplir notre destinée en édifiant dès aujourd'hui sur la terre, la JÉRUSALEM CÉLESTE, par la constitution de la Société universelle ". (Caillet, 10781. "Biblioteca esoterica", 4901. Philarèthe Chasles, "Mémoires". "Miroir de l'histoire", oct. 1954, pp. 434-436. Oberlé, 444. )
Paris. Chez Levacher & chez Moutardier, Lepetit et Bernard, libraires. An VI de la République [1798]. In-8°, reliure demi-basane. 234 pages. E.O. Reliure défraîchie, manques au dos, premier plat détaché ; propre intérieurement et non rogné.
Il s'agit d'une longue adresse au pape pour qu'il accorde sa bénédiction au peuple français devenu républicain. " En donnant au général Bonaparte votre bénédiction, vous avez agi politiquement, ou chrétiennement.(-) Si, comme j'en suis intimement aujourd'hui convaincu, vous avez agi chrétiennement dans cette conjoncture, c'est-à-dire, si vous avez vraiment béni ce général par des motifs de religion, pourquoi donc, vous répliquerai-je, avez-vous commis l'injustice de refuser la même bénédiction à tous ceux qui comme lui l'ont méritée ? Pourquoi, par ce refus opiniâtre, avez-vous entretenu le feu de la discorde parmi les chrétiens français, dans toute l'étendue de notre république ? " Pour le persuader d'accorder sa bénédiction, Guyot brandit la menace d'une nouvelle religion en train de naître : " Après les troubles qu'ont causés en France les différens brefs du pape de 1791 et 1792, il vient de s'élever parmi nous quelques nouveaux zélateurs. (-) Ils se targuent d'une dénomination nouvelle, emphatique, propre à éblouir les yeux du vulgaires, ils s'appellent théophilanthropes, c'est-à-dire, en langage grec, amateurs de Dieu et des hommes, comme si avant eux, personne sur la terre, depuis six mille ans, n'avoit aimé Dieu et aimé les hommes ". Quérard, III, 558. Monglond, IV, 515. Oberlé, 204.
Presses Universitaires de France 1952 Broché - 150 pages Bon éta général - Dos insolé - Intérieur bruni 136 g
Presses Universitaires de France 1949 Précédée d'une introduction à l'histoire des religions - Avant-propos général par René Dussaud - Bibliographie générale par H.-C. Puech - 2e édition revue et corrigée - Broché - 253 pages Etat d'usage 377 g
P., Aubier, 1941. In-8, 529 pp. broché.
Essai sur les rapports des disciplines humaines : science, morale, philosophie - et des disciplines mystiques : magie et religion.