Rouen, Mégard et Cie, 1859 ; in-4, 415 pp., reliure pleine percaline brune d'éditeur, dos lisse orné, tête dorée. Achitectes, sculpteurs, peintres, graveurs, musiciens, poètes, orateurs. Quelques gravures protégées par des serpentes.
Reference : 202006584
Librairie Alphabets
M. Philippe Henry
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Rouen Mégard & cie, imprimeurs-libraires. 1855 414p 1 volume grand IN8 en cartonnage chocolat orné de motifs dorés sur les plats et le dos. Ouvrage orné de 4 planches H.T soous serpente. Bon exemplaire.
MEGARD ET CIE. 1855. In-4. Relié. Etat d'usage, 1er plat abîmé, Dos satisfaisant, Mouillures. 416 Pages - Traces de mouillures en coin en debut de volume - 1er plat taché - VENDU EN L'ETAT.. . . . Classification Dewey : 0-GENERALITES
VENDU EN L'ETAT. Classification Dewey : 0-GENERALITES
Rouen, Mégard, 1855, grand in 8° relié pleine percaline bleue de l'éditeur, dos et plats décorés de plaques dorées, plats encadrés d'un encadrement doré, tranches dorées, 416pp. ; habituelles rousseurs ; ors de la reliure parfois légèrement ternis.
Bel exemplaire de ce bel ouvrage illustré de 4 planches hors-textes, chacune protégée par une serpente rose. PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................
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Albin Michel, s.d. (1930), in-12, 340 pp, nouvelle édition, broché, papier lég. jauni, bon état. On joint 4 intéressantes lettres a.s de Mauclair à Fernand Gregh (3 de 1905 et une de 1924)
Romancier, historien et critique d’art, se définissant comme un « écrivain d’art » plutôt qu’un historien, comme il était d’usage dans le milieu symboliste, Camille Mauclair (1872-1945) est l’auteur d’une centaine d’ouvrages et de milliers d’articles. L'art est conçu par Mauclair comme une « religion » et il accorde au caractère absolu du chef-d'œuvre la primauté sur sa contextualisation ; dès lors, l'art devient difficilement objet d'une histoire, son évaluation échappant au temps. Mauclair faisait cette profession de foi, dans Princes de l'esprit (1920) : « Je crois que l'art, ce silencieux apostolat, cette belle pénitence choisie par quelques êtres que leur corps fatigue et empêche plus que d'autres de rejoindre l'infini, est une obligation d'honneur qu'il faut remplir avec la plus sérieuse, la plus circonspecte probité, qu'il est de bons ou de mauvais artistes, mais que nous n'avons à juger que les menteurs et les sincères, que la vanité est l'ennemie mortelle, la seule réellement terrible, de l'homme qui se sent doué de pensée et d'expression. » (p. 315) Ces « princes » sont ainsi Mallarmé, Poe ou Flaubert, mais aussi Rembrandt, Delacroix, Tintoret... (Dominique Jarrassé, INHA)