‎Ph. Petit-Radel (1749-1815), chirurgien-major dans les Indes et professeur de chirurgie à la faculté de Paris, a publié divers ouvrages relatifs à l'art qu'il pratiquait. Écrivant avec pureté en français et en latin, il s'est fait connaître aussi par des ouvrages littéraires‎
‎Institutions de médecine, ou exposé sur la théorie et la pratique de cette science, d'après les auteurs anciens et modernes, Ouvrage didactique, contenant les connaissances générales, nécessaires à ceux qui se destinent à exercer l'art de guérir; 2 tomes COMPLET‎

‎Institutions de médecine, ou exposé sur la théorie et la pratique de cette science, d'après les auteurs anciens et modernes, Ouvrage didactique, contenant les connaissances générales, nécessaires à ceux qui se destinent à exercer l'art de guérir; 2 tomes COMPLET de Ph. Petit-Radel (1749-1815), chirurgien-major dans les Indes et professeur de chirurgie à la faculté de Paris, a publié divers ouvrages relatifs à l'art qu'il pratiquait. Écrivant avec pureté en français et en latin, il s'est fait connaître aussi par des ouvrages littéraires chez Agasse, Gabon, Fuschs et Levrault en An IX. Édition signée par l'auteur garantissant son authenticité. Les livres mesurent 14x21 cm et pèsent 1,300 kg (c) pour 570 580 pages. Reliure d'époque cartonnée. Les livre sont en bon état, 2 coiffes abîmées, bords et coins abîmés.‎

Reference : 365

‎Préface. Lorsque je travaillais en 1785 à la traduction de l'ouvrage élémentaire du docteur Macbride sur la Théorie et la Pratique de la Médecine, je vis dès-lors l'engagement tacite que je contractais envers le public, d'augmenter la partie théorique du premier volume, qui sert d'introduction au second. J'avais en conséquence déjà fait toutes mes notes, et je n'avais plus qu'à les collationner avec le texte; mais en m'occupant de ce travail, je m'aperçus que ma matière pourrait être aussi volumineuse que celle de mon auteur. Voyant alors l'embarras où j'allais mettre mon Lecteur, en le renvoyant continuellement de l'ouvrage aux notes et des notes à l'ouvrage, et celui dans lequel je tomberais moi-même en voulant faire rapporter la fin de ces notes avec la reprise du texte, je me désistai de mon projet. Instruit sur le peu de succès qu'avaient eu des ouvrages élémentaires qui, bons en eux-mêmes, pêchent cependant par un pareil défaut, je me décidai dès lors à garder la plus grande partie de mes matériaux, pour les faire entrer, par la suite, dans un corps d'ouvrage qui, établi sur un meilleur plan, ne présentât pas les inconvénients de celui que j'avais d'abord projeté. Néanmoins, comme j'ignorais le temps où je mettrais mon projet à exécution, pour ne point priver les étudiants des connaissances qu'ils pourraient acquérir dans mon auteur, je le mis sous presse, en ne faisant que peu d'additions à la partie théorique que je me proposais de traiter un jour plus amplement...‎