‎Frank Giroud, Denis Lapière, Ralph Meyer‎
‎Page noire ‎

‎Le miniaturiste - Collection page noire n°5.‎

‎Gallimard. 2001. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement pliée, Dos satisfaisant, Papier jauni. 137 pages - coins frottés.. . . . Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle‎

‎Collection page noire n°5. Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle‎

‎FAUSSE NOTE. COLLECTION : PAGE NOIRE N° 4‎

‎GALLIMARD .. 1998.. In-8. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 220 pages. 1ère de couverture illustrée en noir et blanc. Notes au crayon à papier dans le texte.. . . . Classification Dewey : 800-LITTERATURE (BELLES-LETTRES)‎

‎ Classification Dewey : 800-LITTERATURE (BELLES-LETTRES)‎

‎FLANGAN DE LUXE / COLLECTION PAGE NOIRE.‎

‎GALLIMARD. 1997. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 253 pages.. . . . Classification Dewey : 860-Littératures espagnole et portugaise‎

‎TRADUIT DE L'ESPAGNOL PAR VIRGINIA LOPEZ-BALLESTEROS ET OLIVIER MALHET. Classification Dewey : 860-Littératures espagnole et portugaise‎

‎-Nicolaus Fontanus Syntagma medicum de morbis mulierum in libri IV distinctum a Nicolao Fontano. [Six livres en un seul volume] Amstelodami , Apud Johannem Janssonium, 1644. In-16, reliure plein veau blanc, 9 feuillets non chiffrés dont la page de titre gravée, un exlibris à l encre noire, 188 pages, deux feuillets, le verso du deuxième feuillet contient 7 lignes manuscrites à l encre noire. - Fridericus Mollerus, D. Observatio singularis et rara de partu 173. dierum vivo, qui legitimus in foro judiciali competente, postquam per integrem decennium de illo controversia fuit agitata, declaratus. Custrini [Kostrzyn], Typis Christophori Sohniken, & impensis Georgii Dennewitzen, bibl., anno MDCLVII [1662]. 5 feuillets non-chiffrés dont la page du titre, 86 pages. - Senguerdus, Arnoldus, Provancherius, Simeon., Albosius, Joannes, medicus., Bartholinus, Thomas 1616-1680 Professor of Anatomy at Copenhagen, son of Caspar Bartholinus of Malmö. Collectanea de diuturna graviditate, seriem tractatum, versa pagina exhibet. Amstelodami : Apud Petrum van den Berge, in sossa de Heeregrasbi, sub signo montis Parnassi, Anno 1662. 2 feuillets non-chiffrés contenant page de titre - Portentosum Lithopaedion, sive embryum petrefactum urbis Senonensis par Joan. Albosio. Amstelodami, Apud Petrum van den Berge, 1662. 52 pages, une gravure hors-texte portant le chiffre 49. - Ostentum, seu historia mirabilis infantis in ventre a morte matris reperti post annos sexdecim et amplius graviditatis. Juxta exemplar editum Bruxellis. Amstelodami, Apud Petrum van den Berge, 1962. Pagination de 53 à 60. - Arnoldi Senguerdii Discursus De Ostento Dolano. Amstelodami, Apud Petrum van den Berge, 1962. 33 pages. ‎

‎[ Manuscrit autographe signé ] Page d'Histoire : [ Il évoque la mort du dauphin Louis puis continue ... ] "Et le peuple affranchi déjà de son tyran / Se souvint tout à coup des Comtes émigrants, / Douta de voir jamais leur race anéantie / Et n'osa point trouver la Libert grandie / Avec sous son pied rouge un cadavre nouveau, / Ce cadavre d'enfant et non de tyranneau. / Or, comme un meurtrier poursuivi par son crime / Voit toujours devant lui les traits de sa victime / O France qui ne fut méchante qu'une fois / Tu devrais le revoir ce fils blond de tes Rois / Et quand des imposteurs t'ont dit chacun : "Regarde!" / "Je suis Louis dix-sept ! " tu répondis, hagarde : / "Tous mes Rois sont morts, tous !" Et tu devais souffrir, / Car tu connaissais bien comme ils savaient mourir !" / 'Et c'était tout le temps et l'angoisse et la gêne / Dans cette liberté que tu goûtais à peine ! / Sans cesse on l'habillais de régimes nouveaux / Aussitôt rejetés, n'étant pas aussi beaux; / Tel un amant jaloux qui cherche avec ivresse / Les plus brillants joyaux pour parer sa maîtresse / Et n'en juge pas un digne de sa beauté, / Tel, le peuple, voulant orner la Liberté / Lui mit le Consulat après le Directoire / Et trouvant tour à tour chaque robe trop noire, / Chaque gouvernement trop étroit ou trop laid, / Enfin croyant trouver celui-là qu'il fallait / La força d'embrasser un vêtement, le pire / Et lui meurtrit le cou dans ce carcan : l'Empire / Mais nul ne supposa que son avènement / Sonnait pour nos aïeux l'heure du châtiment. / [ ... ] "Et la France partit dans la gloire au trépas ! / Et la France mourut ne s'apercevant pas / Qu'elle payait ainsi quelque dette divine, / Qu'un sabre châtiait alors la guillotine / Et que livrant à l'Aigle un par un tous ses fils / L'Aigle en les dévorant vengeait la fleur de Lys".‎

‎4 pages autographes de 49 vers signés sur 2 feuillets in-4 (avec deux repentirs), avec mention à l'encre, d'une autre main, en bas de la dernière page : "Paris Bd Saint Germain 1902" : Nous en livrons une transcription partielle : [ Manuscrit autographe signé ] Page d'Histoire : [ Il évoque la mort du dauphin Louis puis continue ... ] "Et le peuple affranchi déjà de son tyran / Se souvint tout à coup des Comtes émigrants, / Douta de voir jamais leur race anéantie / Et n'osa point trouver la Liberté grandie / Avec sous son pied rouge un cadavre nouveau, / Ce cadavre d'enfant et non de tyranneau. / Or, comme un meurtrier poursuivi par son crime / Voit toujours devant lui les traits de sa victime / O France qui ne fut méchante qu'une fois / Tu devrais le revoir ce fils blond de tes Rois / Et quand des imposteurs t'ont dit chacun : "Regarde!" / "Je suis Louis dix-sept ! " tu répondis, hagarde : / "Tous mes Rois sont morts, tous !" Et tu devais souffrir, / Car tu connaissais bien comme ils savaient mourir !" / 'Et c'était tout le temps et l'angoisse et la gêne / Dans cette liberté que tu goûtais à peine ! / Sans cesse on l'habillait de régimes nouveaux / Aussitôt rejetés, n'étant pas aussi beaux; / Tel un amant jaloux qui cherche avec ivresse / Les plus brillants joyaux pour parer sa maîtresse / Et n'en juge pas un digne de sa beauté, / Tel, le peuple, voulant orner la Liberté / Lui mit le Consulat après le Directoire / Et trouvant tour à tour chaque robe trop noire, / Chaque gouvernement trop étroit ou trop laid, / Enfin croyant trouver celui-là qu'il fallait / La força d'embrasser un vêtement, le pire / Et lui meurtrit le cou dans ce carcan : l'Empire / Mais nul ne supposa que son avènement / Sonnait pour nos aïeux l'heure du châtiment. / [ ... ] "Et la France partit dans la gloire au trépas ! / Et la France mourut ne s'apercevant pas / Qu'elle payait ainsi quelque dette divine, / Qu'un sabre châtiait alors la guillotine / Et que livrant à l'Aigle un par un tous ses fils / L'Aigle en les dévorant vengeait la fleur de Lys".‎

‎Beau poème autographe signé de Maurice Renard (1875-1939), l'écrivain à succès de nombreux romans fantastiques et de science-fiction, parmi lesquels le célèbre ouvrage "Les Mains d'Orlac". Dans le présent poème manuscrit, il évoque la mort tragique du dauphin Louis-Charles de France (1785-1795), connut comme "Louis XVII", et le poids de ce crime sur la conscience de la Nation... Bon tat (petites fentes en pliures)‎