Gallimard (11 janvier 2007)
Reference : lc_60870
Couverture souple, jaquette, comme neuf.
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M. Alexandre Bachmann
Passage du Rond Point 4
1205 Genève
Switzerland
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Broché, bon état, qq mouillures sans gravité, 135x190, 256 gr, 213 pages, illustrations et photographies sépia, ISBN: 978-2-89436-910-4 - 9782894369104
Dans son dernier livre, Le Chaman d'Ek-Balam, Alain Williamson nous dévoilait cinq codes de vie menant à l'élévation de la conscience et ultimement à l'illumination. Dans le présent ouvrage, l'auteur développe chacun de ces codes. Tout en maintenant le concept d'élévation de conscience, il présente les cinq codes dans un ensemble cohérent formant un véritable programme de vie. Non seulement ces cinq codes sont-ils gages de transformation pour soi et pour l'humanité, mais ils sont aussi annonciateurs du retour de l'énergie du coeur, dont le monde a tant besoin actuellement.
1502 broché, 150 x 210, très bon état, 332 pages, poids : 460 gr. Dédicace de l'auteur en deuxième page de couverture, Préface de Jean-michel Charles, ISBN ; 9782756317892
Un récit à découvrir étoile par étoile, et aussi dent par dent. Car avec lui seront révélés certains secrets de leur fonction et de leur régénération. Un chemin possible du retour à la source, avec l'amour. Une voie vers l'ère d'ascension qui se dessine, où chacun pourra se reconnaître et envisager la vie qui lui ressemble.
broché, 130 x 215, 156 pages, bon état -
L'appel pour la préparation au retour du Christ et pour la salut du monde a retenti, et aujourd'hui les hommes spirituels de partout et les disciples du Christ s'unissent dans le monde entier...
P., Librairie générale de droit et de jurisprudence, 1941, in-8°, 283 pp, biblio, broché, traces de papier collant sur les gardes, bon état
"Robert Mallet entame sa démonstration par l'affirmation d'une « surindustrialisation au XIXe siècle » (p. 41), surproduction qui a entraîné la crise de 1929 et la nécessité économique d'un retour à la terre dans le monde entier. Il distingue nécessité économique, nécessité politique et nécessité morale, mais pour lui, la première est la plus importante : « La nécessité économique d'un retour à la terre est donc une nécessité de base, commune à toutes les nations, elle peut en être le seul fondement (...). A cette nécessité peuvent s'en ajouter d'autres, d'ordre moral ou politique ». De toute façon elles conduisent inéluctablement à une action économique sans laquelle ces buts ne pourraient être atteints ». Comme Victor Boret, il considère le retour à la terre impossible. L'hérédité paysanne se défait plus vite qu'elle ne s'acquiert, une classe rurale se détruit plus facilement qu'elle ne se crée. « En règle générale, il faut admettre que ceux qui ont abandonné la terre sont à jamais perdus pour elle, car il est vain de replanter un arbre déraciné quand il est mûr » (p. 256). La solution est ailleurs : disperser les industries dans les campagnes, fixer ceux qui ne sont pas encore partis, etc. Les vicissitudes des guerres entraînent donc une certitude et même plusieurs : les agriculteurs doivent être nombreux ; loin de les chasser, la modernisation poussera à leur maintien, qui est possible, alors que leur retour est une utopie. (...) Après toutes les assertions sur la primauté de la nécessité économique, Robert Mallet en vient, à propos de la France de 1941, à parler d'une nécessité économique temporaire » pour subsister et d'une « nécessité morale permanente » (p. 242-243), car on a aussi besoin de nourriture spirituelle..." (Isabel Boussard, “Les arguments économiques en faveur du retour à la terre dans le discours agrarien”, 1988)
1 placard format 26 x 20 cm, s.d. [ 1815 ]. Rappel du titre complet : Lettre des sous-officiers et soldats en congés limité et illimité de la ville d'Amiens, à son Excellence le Ministre de la Guerre. Monseigneur, La fausse interprétation de nos sentimens dans l'appel que vous venez de nous faire, exige de nous une réponse qui confonde notre imposture. Quel délire a pu vos faire dire que nous avons désiré le retour de Napoléon, lorsque, rentrés dans nos foyers par la clémence d'un bon Roi, nous n'avions d'autre but que d'y rester ? Nous sommes tous au milieude ce que nous avons de plus cher ; nous ne nous en séparerons que pour frapper, terrasser les traîtres, qui ont osé favoriser le retour du tyran usurpateur. Malheur aux vils satellites, qui oseroient porter les mains sur nous ou sur nos parens, pour les priver de la liberté ! Nous ne voulons point obéir à l'appel qui nous est fait : nous ne reconnoissons que celui du Roi, en date du 9 mars dernier ; et c'est pour sa défense que nous prendrons les armes. Dans quel avilissement les autorités sont tombées ! Naguère les premiers magistrats de cette ville nous engagoient à repousser et à anéantir le Corse, qui vient encore désoler nos familles, et apporter parmi nous tous les fléaux [... ] Braves camarades, gardons-nous de méconnoitre notre Roi légitime ; rallions-nous, et ne souffrons pas que qui que ce soit porte une main téméraire sur un seul d'entre nous, pour nous forcer de servir une cause que nous abhorrons ! (Copié sur un exemplaire envoyé par un des officiers d'Amiens à sa famille, à Paris,...... dans une lettre par la Poste)
Rare placard publié pendant les Cent Jours, et s'opposant au retour de Napoléon revenu de l'île d'Elbe.