Infolio (4 mars 2010)
Reference : lc_54284
In-4 cartonnage illustré, nombreuses illustrations, comme neuf
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M. Alexandre Bachmann
Passage du Rond Point 4
1205 Genève
Switzerland
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A PARIS. CHEZ CLAUDE-ANTOINE JOMBERT, FILS AINE, LIBRAIRE. 1773. IN-8 (13,2 X 20 X 3,5 CENTIMETRES ENVIRON) DE X + (2) ET 460 PAGES, RELIURE D'EPOQUE PLEIN VEAU MARBRE, DOS A CINQ NERFS ORNE DE CAISSONS A FLEURONS DORES, TITRE DORE SUR ETIQUETTE MAROQUIN ROUGE, TRANCHES ROUGES. ILLUSTRE DE 5 PLANCHES REPLIEES HORS-TEXTE. PREMIERE EDITION DE CET OUVRAGE PARU LA MEME ANNEE CHEZ MOSSY A MARSEILLE, ET EGALEMENT CHEZ VINCENT ET JOMBERT A PARIS. IL MANQUE UN FEUILLET DE GARDE, QUELQUES DEFAUTS EXTERIEURS, SINON BON EXEMPLAIRE COLLATIONNE, COMPLET.
A PARIS. CHEZ CH. A. JOMBERT, IMPRIMEUR DU ROI POUR LE GENIE & L’ARTILLERIE. 1754. IN-8 (13 X 20 X 3 CENTIMETRES ENVIRON) DE XVII + (3) ET 356 PAGES, RELIURE D'EPOQUE PLEIN VEAU MARBRE, DOS A CINQ NERFS ORNE D'UN DECOR DE CAISSONS A FLEURONS DORES, TITRE DORE SUE ETIQUETTE MAROQUIN ROUGE, FILET DORE SUR COUPES, TRANCHES ROUGES. ILLUSTRE DE 15 PLANCHES REPLIEES HORS TEXTE, NUMEROTEES DE I A XIV, DONT UNE III BIS. PREMIERE ET UNIQUE EDITION FRANCAISE. LA TRADUCTION EST DUE AU PERE ESPRIT PEZENAS, JESUITE (1692-1776) QUI DIRIGEA L’OBSERVATOIRE DE MARSEILLE. QUELQUES TRACES D'USURE EXTERIEURE, DONT MORS SUPERIEUR, SINON BEL EXEMPLAIRE.
A PARIS. CHEZ DIDOT, LIBRAIRE & IMPRIMEUR. 1767. 2 VOLUMES IN-12 (11,5 X 18,5 X 8,5 CENTIMETRES ENVIRON) DE 614 ET 624 + (2) PAGES, RELIURE D'EPOQUE PLEIN VEAU MARBRE, DOS A CINQ NERFS ORNE DE CAISSONS A FLEURONS DORES, TITRE DORE SUR ETIQUETTE MAROQUIN HAVANE, ROULETTE DOREE SUR COUPES, TRANCHES ROUGES. TEXTE SUR DEUX COLONNES. PETITS DEFAUTS EXTERIEURS SANS GRAVITE: PETIT MANQUE DE CUIR SUR UN PLAT, SINON BEL EXEMPLAIRE.
A PARIS. CHEZ BRIASSON, DESPILLY ET HARDY. 1760. IN-8 (13 X 20,5 X 4 CENTIMETRES ENVIRON) DE (6) + XXII + 404 ET (2) PAGES, RELIURE D'EPOQUE PLEIN VEAU MARBRE, DOS A CINQ NERFS ORNE DE CAISSONS A FLEURONS DORES, TITRE DORE SUR ETIQUETTE MAROQUIN ROUGE, FILET DORE SUR COUPES, TRANCHES ROUGES. ILLUSTRE D'UNE VIGNETTE DE TITRE, D'UNE VIGNETTE PAR DE SEVE GRAVEE PAR MANIERE, D'UN FRONTISPICE PAR GAZOT GRAVE PAR MANIERE, DE 34 PLANCHES REPLIEES HORS TEXTE GRAVEES PAR MEUNIER ET D'UNE GRANDE CARTE DE FRANCE REPLIEE, DESSINEE PAR BONNE ET GRAVEE PAR LATTRE. EDITION ORIGINALE. ETIQUETTE DE PRIX SUR LE CONTREPLAT SUPERIEUR : "ECOLE SECONDAIRE DE SARLAT. CLASSE DE MATHEMATIQUES. MR COUDERC A REMPORTE LE 2° PRIX DE GEOMETRIE, LE 13 FRUCTIDOR AN XIII (SIGNE) ANT-LOUIS LAURAC". QUELQUES DEFAUTS EXTERIEURS DONT COINS EMOUSSES, SINON BON EXEMPLAIRE.
[Imprimerie de J.-A. Quillot] - Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD
Reference : 33946
(1848)
1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".