‎Grégoire Delacourt‎
‎L'Écrivain de la famille‎

‎L'écrivain de la famille‎

‎JC Lattès 2011 13x20x2cm. 2011. Broché. 250 pages. Bon état‎

‎Télé 7 jours n° 1020 - Opéra : ici naissent les étoiles de demain, Pierre Santini : vedette aujourd'hui de trois émissions, Francis Veber : je suis le quinzième écrivain de la famille, Première lectrice d'Alphonse Daudet : l'impératrice Eugénie‎

‎Télé 7 jours. 15 décembre 1979. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 144 pages. Nombreuses illustrations en couleurs et noir et blanc dans et hors texte. Photographie de Danièle Lebrun sur la couverture.. . . . Classification Dewey : 791.45-Télévision‎

‎ Classification Dewey : 791.45-Télévision‎

‎L'écrivain de la famille. ‎

‎Paris, JC Lattès, 2012; in-8, 265 pp., br. Broché en bon état (sans jaquette) ptes salisures.‎

‎Broché en bon état (sans jaquette) ptes salisures.‎

‎L'INTERMEDIAIRE DES CHERCHEURS ET CURIEUX N° 421 - QUESTIONS 289 : Conciles ecclésiastiques. — 289 : Famille d’Antoine de La Sale, écrivain. - 290 : Sirènes à deux jambes. — 290 : L’antique usage de « bouter l’épée » — 291 : François de Villages‎

‎L'INTERMEDIAIRE DES CHERCHEURS ET CURIEUX. AVRIL 1986. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 289 à 400. Lecture en colonnes.. . . . Classification Dewey : 1-Le savoir‎

‎Mensuel de questions et réponses historiques, littéraires, artistiques et sur toutes autres curiosités. Sommaire : QUESTIONS 289 : Conciles ecclésiastiques. — 289 : Famille d’Antoine de La Sale, écrivain. - 290 : Sirènes à deux jambes. — 290 : L’antique usage de « bouter l’épée » — 291 : François de Villages, seigneur de Bemis. — 291 : Mahieu. — 291 : Destruction du papier par des parasites. — 291 : Famille Cazeneuve en Dauphiné. — 291 : Bernard de Chevrette. — 292 : Charles Pierre François de Lévis-Mirepoix. — 292 : Droit canon et lieu des B.M.S. - 292 : Louis XIV, enfants naturels non reconnus. - 293 : Malartic de La Devèze. — 294 : Château de Balincourt. — 294 : Napoléon, l’aigle et le lion. - 294 : Arpan ou Arpin. — 295 : Famille Pemet-Porret. - 295 : Manuscrit du testament de Napoléon Ier. - 295 : La Valette. — 295 : Abbé Cognet. — 295 : La ligne de chemin de fer au départ de Dunkerque. — 296 : Charge de cavalerie pendant la guerre de 1870. —296: Titres nobiliaires, princiers et l’état civil.-296 : Famille du Bois de Courval-de Saint-Mars. — 297 : Raymond Escholier. —297: Prosper Jollois. - 297 : Attentats contre Joseph Caillaux. — 298 : Amiral Grasset. —298: Le ban bourguignon. - 298 : Mgr de La Villerabel contre Mgr Bertin. — 299 : Chris-tiane Arnold, chanteuse. — 299 : Général Charles Noguès. - 299 : « La Femme du boulanger » — 300 : Rose Fitzgerald Kennedy, comtesse romaine. — 300 : « Y avait Michaux, y avait Langlois », chanson à retrouver. —300: Sculpture d’un groupe au forum des halles à Paris. — 300 : Evolution des noms depuis le système latin jusqu’aux noms patronymiques. — 301 : Pourquoi le français progresse-t-il en Belgique et recule-t-il en Suisse ? — 302 : Code à barres.REPONSES 301: A propos de l’Intermédiaire des chercheurs et curieux. — 303 : Carnet impérial, royal et ducal. — 304 : Changements de noms publiés au J.O. - 305 : « Entre bouquineurs ».—307 : Enclaves départementales. — 308 : Coq au sommet du clocher. - 308 : A.N.F. — 309 : « Société des amis de... ». — 310 : Les pseudonymes. — 310: Erreurs à signaler. — 312 : Les plus belles coquilles. — 312 : Erreurs des écrivains français. - 315 : Patronymes curieux. — 316: Ilots ethniques. — 316: Cadrans solaires. — 318 : Les plus belles perles. — 318 : Age limite de la procréation. -318 : Anomalies végétales. - 319 : Mots de la langue française détournés de leur sens originel. — 319 : La femme, le pantalon et l’ordonnance de police. — 320 : Episcopat français. — 321 : « Nègres » ou « teinturiers » des auteurs célèbres. — 322 : Lettres inédites. — 323 : Employés de banque devenus célèbres. Classification Dewey : 1-Le savoir‎

‎[ Manuscrit autographe signé d'un article sur Théodore Aubanel ] Billet de Minuit : "Aubanel fêté en Avignon ou Le souvenir d'Aubanel" : "On vient de clore le cycle des fêtes données en Avignon ces dernières semaines pour commémorer le centenaire de Théodore Aubanel. Dans ce jardin du musée Calvet, où, voici peu de temps, Pol Neveux honorait le passage de Stendhal, un écrivain du nord de la Loire (le signataire de ces lignes), invité par l'Académie du Vaucluse, a apporté à la poésie méridionale l'hommage d'Oïl à Oc. Hommage d'autant plus convaincu et justifié que les chants intimes de Théodore Aubanel, par la qualité de coeur qui les dicte, par leur accent de vérité humaine et permanente, rayonnent bien au-delà de leur foyer. Les vingt-cinq petites pièces qui, dans la Grenade Entr'Ouverte, composent le "Livre de l'Amour" ont été souvent comparées, égalées à l'Intermezzo de Henri Heine. Intermezzo latin, où celui qui devait chanter plus tard en vers impérissables la vénus d'Arles élève, songeant à celle qu'il aima et qui s'est faite religieuse, sa plainte pure, brûlante et soumise. [...] [il évoque : ] "la pauvre fille de Charité, cette "Zani" au visage d'espagnole qui, pour la robe de bure des Soeurs de St Vincent de Paul, quitta la robe "couleur-de-Grenade" qu'elle portait le jour où Aubanel la vit pour la première fois. Les souvenirs terrestres de Zani et d'Aubanel, dans leur matérialité pour ainsi dire décantée, sont pieusement conservés dans la famille du poëte. Présentement, on peut les voir dans une salle du musée Calvet. Il y a là des portraits d'Aubanel, des siens, entre autres du "Corsaire grec" dont le poète descendait. Il y a là aussi un portrait de Zani, pas bien grand, tout modeste, sombre hostie offerte aux mystères cruels du sacrifice. Il y a là des manuscrits, des lettres ; ce touchant "cahier rouge" où Aubanel consigna mille détails tendres [... ] Enfin, dans sa blancheur immaculée, voici le grand exemplaire unique de La Grenade Entr'ouverte, que le poète fit imprimer spécialement "pour Zani" et que sa sainte inspiratrice, toute vouée à soigner les vieillards, à guider les enfants ne devait jamais, pour le presser sur un coeur inconsolé, toucher de ses maines mortelles".‎

‎Manuscrit autographe signé de 2 pages format 25 x21 cm, s.d. [1929 ] : Billet de Minuit : "Aubanel fêté en Avignon ou Le souvenir d'Aubanel" : "On vient de clore le cycle des fêtes données en Avignon ces dernières semaines pour commémorer le centenaire de Théodore Aubanel. Dans ce jardin du musée Calvet, où, voici peu de temps, Pol Neveux honorait le passage de Stendhal, un écrivain du nord de la Loire (le signataire de ces lignes), invité par l'Académie du Vaucluse, a apporté à la poésie méridionale l'hommage d'Oïl à Oc. Hommage d'autant plus convaincu et justifié que les chants intimes de Théodore Aubanel, par la qualité de coeur qui les dicte, par leur accent de vérité humaine et permanente, rayonnent bien au-delà de leur foyer. Les vingt-cinq petites pièces qui, dans la Grenade Entr'Ouverte, composent le "Livre de l'Amour" ont été souvent comparées, égalées à l'Intermezzo de Henri Heine. Intermezzo latin, où celui qui devait chanter plus tard en vers impérissables la vénus d'Arles élève, songeant à celle qu'il aima et qui s'est faite religieuse, sa plainte pure, brûlante et soumise. [...] [il évoque : ] "la pauvre fille de Charité, cette "Zani" au visage d'espagnole qui, pour la robe de bure des Soeurs de St Vincent de Paul, quitta la robe "couleur-de-Grenade" qu'elle portait le jour où Aubanel la vit pour la première fois. Les souvenirs terrestres de Zani et d'Aubanel, dans leur matérialité pour ainsi dire décantée, sont pieusement conservés dans la famille du poëte. Présentement, on peut les voir dans une salle du musée Calvet. Il y a là des portraits d'Aubanel, des siens, entre autres du "Corsaire grec" dont le poète descendait. Il y a là aussi un portrait de Zani, pas bien grand, tout modeste, sombre hostie offerte aux mystères cruels du sacrifice. Il y a là des manuscrits, des lettres ; ce touchant "cahier rouge" où Aubanel consigna mille détails tendres [... ] Enfin, dans sa blancheur immaculée, voici le grand exemplaire unique de La Grenade Entr'ouverte, que le poète fit imprimer spécialement "pour Zani" et que sa sainte inspiratrice, toute vouée à soigner les vieillards, à guider les enfants ne devait jamais, pour le presser sur un coeur inconsolé, toucher de ses maines mortelles".‎

‎Beau manuscrit autographe signé de Jean-Louis Vaudoyer de son bel article consacré au grand poète du Félibrige, Théodore Aubanel (1829-1886). Il y évoque notamment la figure de Jenny Manivet dite "Zani", premier amour du poète avignonnais. On joint une carte postale ancienne du monument de Théodore Aubanel à Avignon.‎