ARCHIVES D'ARCHITECT
Reference : SVBLIVCN-9782871433231
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782871433231
Bookit!
M. Alexandre Bachmann
Passage du Rond Point 4
1205 Genève
Switzerland
Virement bancaire, PayPal, TWINT!
<p>Ce livre évoque les premières années de la carrière de l’un des plus célèbres architectes français du XXe siècle. Premier volume d’une série de trois consacrés aux textes écrits et illustrés par Rob Mallet-Stevens, aujourd’hui introuvables, rassemblés in extenso pour la première fois. Entre 1907 et 1914 Mallet-Stevens publie quelque 40 articles illustrés consacrés à l’architecture, mais aussi aux arts, au théâtre, au Japon, à la Sécession viennoise, au jardin moderne. Il se révèle un reporter et un critique prolixe et cosmopolite. Ces textes sont présentés et replacés dans le contexte de l’époque par un spécialiste de l’époque qui avait déjà édité la première monographie consacrée à Mallet-Stevens en 1980. </p> Bruxelles, 2016 228 p., nombreuses illustrations, broché. 21 x 19
Neuf
, AAM Editions, 2017 softcover 310 pages Texte en Francais, Illustrations en couleurs en noir & blanc nombreuses illustrations dans et hors texte. 190 mm x 210 mm. ISBN 9782871433231.
Voici rassemblés pour la première fois tous les articles de Rob Mallet-Stevens écrits entre sa sortie de l'École Spéciale d'Architecture à Paris en 1906 et le début de la guerre, fin juillet 1914. Le jeune architecte commence par écrire dans une revue anglaise, puis dans des publications belges, françaises et autrichiennes. Ses premiers articles sont des reportages sur des édifices parisiens et des comptes rendus des salons d'art. Puis, il s'attache à l'architecture traditionnelle japonaise et à l'art théâtral et à son évolution jusqu'aux créations d'avant-garde des Ballets russes et du Théâtre des Arts de Jacques Rouché. La maison-palais de sa tante, Suzanne Stevens-Stoclet, édifiée de 1905 à 1911, à Bruxelles sur les plans de l'architecte autrichien Josef Hoffmann avec la collaboration de Gustav Klimt et de la Wiener Werkstätte, l'introduit dans l'univers de la Sécession dont il devient le prosélyte. Mais bientôt les rumeurs de guerre l'incitent à prendre ses distances avec ce qu'on appelle en France « le goût munichois ». Il apprécie alors les lignes simples du style Directoire et ses couleurs vives. Ses articles dans Comoedia illustré le font entrer dans le cercle de la mode où il côtoie des créateurs illustres dont certains deviendront ses clients : Jeanne Paquin, Jacques Doucet, Paul Poiret... À travers ses écrits de jeunesse on découvre un plumitif prolixe, cosmopolite et doté d'un oeil critique dans la lignée de ses illustres ascendants, les frères Stevens et sa grand-mère l'écrivain Jeanne Thilda dont le salon parisien a marqué les lettres françaises.