Leduc.s (6/2023)
Reference : SVALIVCN-9791028527075
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9791028527075
Bookit!
M. Alexandre Bachmann
Passage du Rond Point 4
1205 Genève
Switzerland
Virement bancaire, PayPal, TWINT!
Complet en 8 tomes reliés en 4 volumes. Reliures en pleine basane d'époque, 18x12, dos à nerfs orné, accrocs, l'ensemble étant solide, l'intérieur est frais et de bonne tenue, 202, 177, 202, 260, 197, 190, 201 & 200pp. illustrée de huit frontispices non signés. Les journées amusantes ont été originellement publiées de 1722 à 1731. Auteur prolifique, Madame de Gomez obtint une grande faveur en Europe avec Les journées amusantes, qui furent sans conteste un des ouvrages les plus lu de l'époque. Ces journées s'apparentent à la structure du Décaméron de Bocace et à celle de l'Heptaméron de Marguerite de Navarre. Composée de 18 journées au sein desquelles six narrateurs content des histoires. Ce qui caractérise l'écriture des Journées amusantes, c'est la richesse encyclopédique et érudite, caractéristique, et qui a finalement desservi l’œuvre dans le temps ; celle-ci se voulant, avec un certain archaïsme voulu, un hommage à la littérature galante française du XVIIe siècle. Cet ouvrage est une collection de pièces de théâtre et d'écrits littéraires qui étaient destinés à divertir et à divertir le roi ou la cour à l'époque où ils ont été écrits. Madame de Gomez était une écrivaine française du XVIIIe siècle, connue pour son talent littéraire et son influence à la cour de Louis XVI. "Les Journées Amusantes Dédiées au Roy" était une compilation d'œuvres humoristiques, de comédies, de poésie et d'autres écrits qui étaient conçus pour divertir le roi et la cour. Ces pièces et textes littéraires étaient souvent interprétés lors de représentations privées à la cour. Ce type d'ouvrage reflète le goût de l'époque pour les divertissements de cour et les productions artistiques conçues pour le plaisir du roi et de sa cour. Il témoigne également de la vie culturelle et littéraire à la cour française au XVIIIe siècle. "Les Journées Amusantes Dédiées au Roy" de Madame de Gomez est un exemple de la manière dont la littérature et le théâtre étaient utilisés comme moyen de divertissement à la cour royale de France à cette époque. Par la Compagnie, à Amsterdam 1777 ref/23.5
Julliard, 1981, in-8°, 328 pp, broché, bon état
"Ainsi que son titre l'indique, Alfred Fabre-Luce raconte « douze journées décisives », qui « s'inscrivent dans une histoire continue : celle d'une abdication de l'Europe.» A. Fabre-Luce a du talent et du métier : l'ouvrage se lit comme un roman... Mais l'ambition de l'auteur est celle de l'historien. Dans cette perspective, sa méthode mérite d'être décomposée. – Premier aspect de la démarche : l'histoire de l'Europe, entre 1914 et 1966, se cristalliserait autour de ces douze « journées décisives ». Certes, A. Fabre-Luce est trop intelligent pour oublier que ces journées sont prises dans un tissu épais de faits, d'attitudes et de discours. Pourtant, l'approche de l'auteur finit par suggérer que, comme dans un conte de fées, l'histoire et les hommes retrouveraient leur liberté à chacune de ces étapes : pendant vingt-quatre heures, tout serait ou resterait possible, mais, minuit sonné, les rêves de paix ou d'ordre se dissiperaient devant les réalités de la force et de la guerre ! – Deuxième aspect de la démarche : les « douze journées » sont bien sûr choisies avec soin. Certaines dates, qui semblaient s'imposer – par exemple, Munich (29-30 septembre 1938) et surtout cet acte capital qu'est la signature du pacte germano-soviétique (23 août 1939) – , sont laissées de côté. Avec habileté, A. Fabre-Luce se penche sur des moments qui, tout en ayant un écho moins grand dans les opinions publiques, feraient partie de ces tournants d'autant plus lourds de conséquences que leur importance exacte est mal perçue (par exemple, les 7 mars 1936 – entrée des troupes d'Hitler en Rhénanie –, 30 mars 1939 - octroi par la Grande-Bretagne et la France d'une garantie inconditionnelle à la Pologne – ou 30 août 1954 – refus de l'Assemblée nationale de discuter le traité instituant la Communauté européenne de défense –). A nouveau, en eux-mêmes les choix de A. Fabre-Luce peuvent être interprétés comme ceux d'un homme soucieux d'aller au delà des conformismes. Néanmoins, le lecteur s'interroge : les journées n'auraient-elles pas pour seul rôle de justifier une thèse déjà fixée avant tout examen des événements ? – Les préférences, les amertumes ou même peut-être les embarras de l'auteur font trop souvent dévier les buts de l'écrivain. Ce qui est dit sur Hitler et l'Allemagne nazie aux pages 141 à 143 est assez étrange : par exemple, A. Fabre-Luce écrit : « C'est essentiellement par un progrès de la production 'civile' que le revenu national allemand avait été doublé pendant les premières années d'hitlérisme. C'est seulement après 1936 que le réarmement a joué un rôle important. Ensuite, jusqu'à ses premières grandes déceptions, de l'hiver 1941-1942, Hitler n'a pas fait la guerre totale... » Tous ces clivages oublient simplement l'essentiel : la logique du régime hitlérien, la mobilisation permanente de la population (d'abord, bien sûr, dans des formes civiles), enfin la dissimulation du réarmement dans les premières années du nazisme... – Enfin, dernier aspect de la démarche de A. Fabre-Luce, quelques données fondamentales du XXe siècle sont laissées dans l'ombre. Comment est-il possible d'évoquer le 23 septembre 1917 – rendez-vous avorté du baron allemand Von Der Lacken avec Aristide Briand – ou le 24 janvier 1943 – exigence par Roosevelt et Churchill d'une capitulation inconditionnelle de l'Allemagne – , sans tenir compte de la nature de la guerre moderne, cette « ascension aux extrêmes » selon la définition pour longtemps actuelle de Clausewitz ? Et puis surtout, cette « abdication » de l'Europe, si elle a été amplifiée et accélérée par ses déchirements internes, ne peut être vraiment comprise sans faire sentir l'élargissement du monde, la montée parallèle des États-Unis et de la Russie qu'annonce Tocqueville dans De la démocratie en Amérique ? Les « journées décisives » seraient peut-être alors le « jeudi noir » de Wall Street (24 octobre 1929) ou la prise de Singapour par les troupes japonaises (15 février 1942) !" (Philippe Moreau-Defarges, Politique étrangère, 1982)
État : Bon état - Année : sd - Format : in 8° - Pages : 34pp - Type : Broché - Divers : Brochure - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/anonyme/1216-la-bataille-de-grande-bretagne-recit-des-grandes-journees-du-8-aout-au-31-octobre-1940?lrb
Plaquette, établie par les soins du ministère de l'air britannique, qui rétrace avec force détails les différents épisode de la batille d'Angleterre. Les cartes, les croquis et les photos montrent bien les différentes techniques des adversaires et les grandes phases de l'offensive. Une plaquette éditée, peut-être pendant la guerre, à la gloire de l'aviation britannique, de ses pilotes et la résistance du peuple anglais.
Phone number : 09 63 58 85 14
BOCCACE (Jean)Les dix journées de Jean Boccace. Traduction de Le Maçon, réimprimée par les soins de D. Jouaust. Avec Notice, Notes et Glossaire par M. Paul LACROIX. Onze (douze) eaux-fortes par FLAMENG.Paris, Librairie des Bibliophiles, 1873, 4 volumes in 12, 17 x 11 cm., superbe reliure plein maroquin signée Smeers, un coin choqué, tranches dorées, intérieur frais. Un des 600 exemplaires sur papier de Hollande.Enrichi non pas de 11 eaux-fortes de FLAMENG comme annoncé, mais de 12 eaux-fortes, dont un portrait de Boccace. (Vivaire, I, 588).Tome I : Avertissement, Introduction, Sommaires, Première et Deuxième Journées ; XLIII-132-201 pages. Tome II : Troisième et Quatrième Journées ; 161-139 pages. Tome III : Cinquième, Sixième et Septième Journées ; 134-74-115 pages. Tome IV : Huitième, Neuvième et Dixième Journées ; Notes, Glossaire ; 162-94-231 pages.Très bel exemplaire
[Révolution de 1848] Charles Richomme, Journées de l'insurrection de juin 1848 par un garde national précédées des murs de Paris Journal de la Rue, collection des principales affiches apposées de février à juin 1848 [suivi de] Journées des 20 juin et 10 août 1792 et de juillet 1830. Paris, Veuve Louis Janet, sd [1848]. In-8, 314-[2]p (310 en réalité, il manque des feuillets blancs qui devaient compter dans la pagination, exemplaire conforme à celui de la BnF) & 141-[2]p. Edition originale d'une très grande rareté de cet ouvrage incontournable sur 1848. Richomme avait publié deux ouvrages : un sur la révolution de février 1848 et donc le nôtre. Ces deux ouvrages sont très intéressants par la précision des détails apportés jour après jour. Le notre concerne donc l'insurrection ouvrière, rapidement soumise, en juin 1848. Le second ouvrage est un ouvrage du même type, toujours par Richomme, sur deux journées importantes de la révolution de 1789 et sur les journées de 1830. Cartonnage moderne, pièce de titre. Bon exemplaire, rare.