‎Falcones, Ildefonso‎
‎Esclave de la liberté‎

‎LA FRANCE ILLUSTREE N° 1776 - l'esclave ( ou la liberté dans les fers), d'après un tableau de Mme Laure de Chatillon.‎

‎IMP. des Orphelins-apprentis. 12 decembre 1908. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 12 pages, paginé de 13 à 24 - Illustrées de nombreuses gravures en noir et blanc dans le texte et hors texte. Texte sur 3 colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique‎

‎"Journal hebdomadaire. Sommaire : Courrier de l'Oeuvre, par F.Blétit - entre nous par Pierre Cerné - M.Jules Lemaitre par L.Nemours Godré - la vie parisienne par R.de la Tour du Villard - causerie scientifique, la télégraphie sans fil ""dirigée"", la monnaie d'aluminium par Alphonse Lambs - l'herbe des sables, conte provençal par Félix Gras - nos glanes littéraires, Joies de la Tradition par Jules Lemaitre - notre coin des Poètes, portraits bretons, l'Innocent par Jean Béralb - l'école et la famille par François Coppée - la lune rousse par Champol (suite) - échos des familles par J.de Cavaignes - Gravures: salon de 1908, Intimité, d'après M.Nettement. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique"‎

‎Réflexions d’un citoyen sur le projet de Constitution présenté à l’Assemblée Nationale, par M. Bouche, Avocat au parlement d’Aix. Article XIX. Tout esclave reprend sa liberté en entrant dans les terres de la domination française.‎

‎7 p. in 8 (bandeau gravé), couverture factice.‎

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‎De la Liberté et de la Licence de la Presse [ Edition originale ] [ Suivi de : ] Les Crimes Constitutionnels de France, ou La Désolation Française, Décrétée par l'Assemblée dite Nationale Constituante, aux années 1789, 1790 et 1791. Acceptée par l'esclave Louis XVI, le 14 septembre 1791 [ Edition originale ]‎

‎1 vol. in-8 reliure demi-percaline brune, De la Liberté et de la Licence de la Presse, A. Pihan Delaforest, N. Pichard, Paris, 1826, xii-244 pp. [ Edition originale ] [ Suivi de : ] Les Crimes Constitutionnels de France, ou La Désolation Française, Décrétée par l'Assemblée dite Nationale Constituante, aux années 1789, 1790 et 1791. Acceptée par l'esclave Louis XVI, le 14 septembre 1791, Chez Lepetit et Guillemard, Paris, 1792, frontispice, VIII-264 pp.‎

‎L'auteur anonyme du second ouvrage commence ainsi sa préface : "Un énergumène a fait "Les Crimes des Rois de France" ; une furie a fait "Les Crimes des Reines de France" ; moi, je n'ai pas fait, mais j'ai rapporté fidèlement les Crimes Constitutionnels de France, c'est-à-dire les Crimes que des scélérats, se disant législateurs constituans, ont osé ériger en loix constitutionnelles". Bon état (tache d'encre en marge à la fin du second ouvrage).‎

‎Relation de la captivité et liberté du Sieur Emanuel D'Aranda, Jadis esclave à Alger- Photocopie de l'ouvrage, relié‎

‎"Jean Mommart(Edition de l'ouvrage d'origine). Non daté. In-8. Relié. Bon état, Coins frottés, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Environ 400-500 pages. Photocopie de l'ouvrage ""Relation de la captivité et liberté du Sieur Emanuel D'Aranda, Jadis esclave à Alger"". Auteur, date et fleuron en doré au dos. Plats jaspés.. . . A l'italienne. Classification Dewey : 920-Biographie générale et généalogie"‎

‎ Classification Dewey : 920-Biographie générale et généalogie‎

‎Les soupirs de la France esclave, qui aspire après la liberté.‎

‎Amsterdam, septembre 1, 1689 - octobre 1, 1690 (Paris, EDHIS, 1976). 228 pp. 4to. Modern leather. Well executed reprint of this rare and important work. Edition limited to 150 numbered copies and 30 copies not destined for the trade. This reprint is since long out-of-print. Above anything else, the Soupirs de la France Esclave ..... is a vehement protest against the absolutism of Louis XIV and strongly pleads for the rights of the people: 'les peuples ont établi les Rois pour conserver les personnes, la vie, la liberté et les biens des particuliers'; but the French government has become so tyrannical that it now sees everything as its rightful property; properly speaking there is no State or government but only the conveniences of the King. It should be noted that the work is not an apology of egalitarianism: it blames Louis XIV for having abolished the privileges of the different classes by which it has also erased all distinctions between the classes.The first three memoirs describe the oppression and the tyranny under which the people suffer and the general misery. The next two memoirs reveals by which means the court has established it absolut power and its abuses, in the memoirs 6-8 the author maintains that the crown is elective and the Salic Law of no value, that power rests with the Estates general ('les dépositaires du pouvoir') and superior to the King and that the 'Parlement' has been created to represent these Estats general. The memoirs 9 and 10 deal with the 'Grand Conseil', the 'maires du palais', 'des pairs, des ducs, comtes, etc.' who once were independant but are today no more than slaves. The memoirs 11-15 deal with the earlier periods of France when there was no standing army and oppressing taxes and how the monarchy can be brought back to its former state.'Cette publication fut naturellement l'objet d'une surveillance spéciale de la police de Louis XIV. On détruisit avec le plus grand soin tous les exemplaires sur lesquels on put mettre la main; et elle devint si rare, qu'en 1772 le chancelier Maupeou en acheta un exemplaire dans une vente au prix de cinq cents livres sur l'enchère du Duc d'Orléans' (Brunet).The work is also often attributed to Michel Le Vassor and it has also been supposed that Jurieu is the author of the last 2 memoirs only. ‎