Belfond (2/2024)
Reference : SVALIVCN-9782714499189
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782714499189
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M. Alexandre Bachmann
Passage du Rond Point 4
1205 Genève
Switzerland
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[hez les Libraires, Au théâtre du Vaudeville, Au Théâtre de Molière, A l'Imprimerie, Pollet, Barba] - Collectif ; PIIS, A. P. A. ; DESBOULMIERS, Jean-Augustin ; DESPREZ, A. ; DUSAULCHOY DE BERGEMONT, Joseph-François ; SCRIBE ; MELESVILLE ; VARNER ; BRAZIER ; DUVAL, Alexandre
Reference : 50669
(1796)
1 vol. in-8 reliure demi-basane verte, Santeuil et Dominique. Pièce Anecdotique en trois actes, en prose, mêlée de vaudevilles, représentée pour la première fois, sur le théâtre du Vaudeville, le 20 Brumaire, an 5, 11 novembre vieux style, par A.P.A. Piis, Chez les Libraires, Au théâtre du Vaudeville, Au Théâtre de Molière, A l'Imprimerie, Paris, An V [1796 ], 46 pp. [ Avec : ] Toinon et Toinette, Comédie en deux actes en prose ; mellée d'Ariettes, représentée pour la première fois par les Comédiens ordinaires du Roi, le 20 juin 1767, Chez N. B. Duchesne, Paris, 1768, 28 pp. [ Avec : ] Le Protégé de Tout le Monde, Comédie-Vaudeville en un Acte, par Desprez et Joseph ***, représentée pour la première fois, à Paris, sur le Théâtre de la Porte Saint-Martin, le 12 novembre 1822, Chez Quoy, Paris, 1822, 31 pp. [Avec : ] Coraly, ou la Soeur et le Frère, Comédie-Vaudeville en un Acte, par MM. Scribe et Mélesville, représentée pour la première fois, à Paris, sur le Théâtre de S.A.R. Madame Duchesse de Berry, le 19 novembre 1824, Pollet, Paris, 1824, 47 pp. [ Avec : ] Le plus beau Jour de la Vie, Comédie-Vaudeville en deux Actes, par MM. Scribe et Varner, représentée pour la première fois, à Paris, sur le Théatre de Madame, Duchesse de Berry, par les Comédiens ordinaires de son Altesse Royale, le 22 février 1825, Pollet, Paris, 1825, 44 pp. [Avec : ] Le Baril d'Olives, Comédie-Vaudeville en un Acte, par MM. Brazier et Mélesville, représentée pour la première fois, à Paris, sur le Théâtre des Variétés, le 1er février 1825, Pollet, Paris, 1825, 36 pp. [ Avec : ] La Princesse des Ursins, ou la Disgrâce. Comédie historique en trois actes et en prose, par M. Alexandre Duval, représentée pour la première fois le 25 décembre 1825, par les Comédiens ordinaires du Roi, Chez Barba, Paris, 1826, 90 pp.
Intéressant recueil de 6 pièces de théâtre peu communes, avec 5 éditions originales, dont 2 d'Eugène Scribe. La première pièce fut représentée en 1796, dans les débuts du "Théâtre du Vaudeville", qui avait ouvert ses portes en 1795 rue de Chartres-Saint-Honoré. Etat satisfaisant (anciens accrocs dans Coraly, annotations anciennes, dos frotté)
1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul.
Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...
Bureau du journal. 11 novembre 1936. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte. Première et dernière page désolidarisées.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Sommaire : L'affaire David par Henri Picard, 1792-1879 Jeanne Jugan, première petite soeur des pauvres par Simone Saint Clair, L'homme qui fabrique de l'or (suite) par Conan Doyle, Bicot, président de club, une partie manquée, Monsieur Poche se donne du courage Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
, Londres, Burns Oates and Washbourne, 1925, xvi + 373pp.+ ills. hors texte, reliure toile d'éditeur, texte en français, bon état, R13053
Renan Ma soeur Henriette avec illustrations d'Henri Scheffer et Ary Renan
Reference : 5240