SCIENCES HUMAINES
Reference : SLIVCN-9782361068264
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782361068264
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M. Alexandre Bachmann
Passage du Rond Point 4
1205 Genève
Switzerland
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Cid-edition. 1987. In-4. Broché. Etat d'usage, 1er plat abîmé, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages agrafées - nombreuses photos et nombreux dessins en couleurs dans le texte - manque sur le 1er plat - annotation sur le 1er plat.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : On est chargé de l'amitié - ça compte les copains (bd) - la case de toute le monde (bd) - pas pour des prunes (bd) - mille fois notre frère (bd) - les bonbons de l'amitié (bd) - comme des signes de dieu - quand dieu a besoin des enfants - laisse moi t'expliquer - vous nous écrivez - poster : le monde en couleurs - prière - kemkogui - des chemins pour avancer - demain ça commence aujourd'hui - ça vaut la peine de les aider - jeux et joie - t'occupe pas de mes oignons (bd). Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
PARIS MATCH. 14 aout 1987. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 106 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Le tibet a moto par Thierry Barbier, Daniel Hechter : le rêve doit rejoindre la réalité, Eddie Barclay : ma maison est ouverte a l'amitié, Jeff Steiner : un palazzo florentin mais en France, La fête clés en main pour 500 000 F, Michael Stevens : le joyau de la Bastide Grande ? La piscine qui est une copie d'un tapis Shirvan, Gunter Sachs : la Capilla a écrit une page de l'histoire de Saint Tropez Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Londres : Thomas Hookham ; Paris : Veuve Duchesne 1786 2 2 volumes in-12, 163 x 96 : 155 pp. ; (1 f.), 224 pp. Maroquin rouge, triple doré en encadrement sur les plats, fleuron doré aux angles, dos lisse orné, roulette dorée intérieure, tranches dorées (reliure de l'époque).
Édition originale peu courante de ce roman sentimental de la très prolifique romancière Charlotte de Bournon, comtesse de Malarme (1753-1842).Cette dernière a marqué son époque par une quarantaine de romans publiés entre 1780 et 1830. Issue d’une famille noble de Metz, elle épouse en 1769 un officier et le suit aux États-Unis pendant la guerre d’Indépendance, une aventure qui nourrira son inspiration. En 1782, son implication dans un pamphlet satirique lui vaut un séjour à la Bastille. Malgré les revers, elle mène une carrière littéraire active, traversant Révolution et Empire sans interruption. Elle s’éteint en 1842 dans l’Oise, laissant une œuvre variée et le témoignage d’une vie consacrée à l’écriture.Précieux exemplaire en maroquin de l’époque, condition des plus rares et des plus désirables.Il provient de la bibliothèque de Thomas Westwood (1814–1888), poète discret et bibliographe passionné de pêche, marqué par l’amitié de Charles Lamb, qui lui ouvrit les portes de la littérature. Il publia plusieurs recueils de poèmes, appréciés pour leur élégance. Il mourut en 1888, laissant une œuvre poétique délicate et un héritage bibliographique inégalé dans son domaine.Cet exemplaire entra ensuite dans la collection de Paul Eudel (1837–1911), armateur, négociant, collectionneur et chroniqueur d’art.Exemplaire très bien conservé. Un coin seulement est légèrement émoussé.Provenance : Thomas Westwood, avec libris. – Paul Eudel, avec ex-lbris.
Tallandier. 25 février 1909. In-12. Broché. Bon état, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 241 à 320. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Sommaire : Une dette par Alfred Capus, Péché mortel (suite) IV par André Theuriet, Tapisserie par Madame Alphonse Daudet, Chose promise par J. Marni, Le lys rouge (suite) IV par Anatole France, Il y est par Henry Lavedan, Amitié de femme par Paul Bourget, Le paradis des chats par Emile Zola, Romance par Edmond Haraucourt, La terre qui meurt (suite) XI par René Bazin, L'abime par Sully Prudhomme, Le maitre de danse par Ludovic Halévy Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
[Imprimerie de J.-A. Quillot] - Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD
Reference : 33946
(1848)
1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".