Procès d'Augustin-Joseph Caron lieutenant-colonel en retraite, et de Frédéric-Dieudonné Roger écuyer ; tous deux domiciliés à Colmar traduits le 18 septembre 1822 devant le conseil de guerre permanent, de la 5 ième division militaire, séant à Strasbourg pour crime d'embauchage. imprimé à Strasbourg chez Jean-Henri Heitz. Format : 12.5 x 19 cm, reliure demi-basane postérieure (vers 1840), dos à 4 nerfs, plats et gardes marbrés, tranches rouges, 208 pages. Rousseurs, marques de frottements sur le cuir sinon bon état
Reference : 801
envoi offert pour la France métropolitaine
Librairie Gilles Hamm
M. Gilles Hamm
6, place des pêcheurs
58400 La Charité sur Loire
France
03 86 70 01 86
PAIEMENT UNIQUEMENT PAR CHÈQUE (selon le montant) OU VIREMENT ÉLECTRONIQUE . PAS DE CARTE BANCAIRE - PAS DE PAYPAL - MES PRIX SONT FIXES ET NON NÉGOCIABLES (je ne répond pas aux demandes de rabais)
Strasbourg, Jean-Henri Heitz, s.d. (1822) in-8, 207 pp., manque l'errata, dérelié. Rousseurs.
Augustin-Joseph Caron, comme nombre d'anciens officiers impériaux, était affligé d'une conspirationnite aiguë : après avoir participé à la Conspiration du Bazar français en 1820, il remit cela en 1822. Une autre conspiration ayant été découverte à Belfort en 1821, tentée par d'anciens complices du complot du Bazar français , les accusés comparaissaient devant les assises lorsque Caron proposa à des sous-officiers de la garnison de Colmar de délivrer les prisonniers. Ceux-ci feignirent de partager son projet. Quand Caron se fut compromis ouvertement, ils le ramenèrent eux-mêmes enchaîné à Colmar. Traduit devant un conseil de guerre, bien qu'il ne fût plus militaire, il fut condamné à mort et fusillé à Strasbourg le 1er octobre 1822. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT