Paris, Julliard, 1965. In-12, 118 pp., broché, couverture originale imprimée (dos légèrement insolé, quelques petites taches à la couverture).
Reference : 19929
Édition originale du premier roman publié de Georges Pérec. Cet exemplaire du service de presse est enrichi d'un envoi autographe signé à Jean Lemarchand. Dès sa publication, l'ouvrage connaît un grand succès, il s'en écoule près de 100 000 exemplaires la première année. Il remporte le prix Renaudot pour l'année 1965. C'est avec La Disparition et La Vie mode d'emploi, l'un des plus célèbres romans de Georges Pérec. On joint le prospectus de publication de l'ouvrage. Voir photographie(s) / See picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
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[De deux choses l'une] - RAPHAEL MAURICE (Victor Marie Lepage 1918-1977)
Reference : 100186
(1949)
Paris Editions du Scorpion 1949 Paris, Editions du Scorpion, 1949, 190x123mm, 229pp., broché sous couverture illustrée. Edition originale. Envoi autographe signé : « Pour Paul Fouchon aux rayons lumineux d'une insolite magie mon entière sympathie Maurice Raphael. » Défauts en couverture, et au dos. (100186)
Pas de jaquette Couverture souple Signé par l'auteur 1ère Édition
Phone number : +33 1 48 01 02 37
Petit In-4. Sans date. Demi-Chagrin grenat avec le dos orné de motifs dorés. Edition illustrée de gravures en noir sans nom d'éditeur ni date. Choses vues - Le dernier jour d'un condamné - Claude Gueux
Etat correct. Reliure en bon état peu frottée. Intérieur avec rousseurs laissant une lecture très satisfaisante
Rare édition originale de ce roman autobiographique de Simone de Beauvoir, tirée à 160 exemplaires seulement. Paris, Gallimard, 1963. In-8 de 686 pp., (2) pp. Maroquin bleu marine, plats recouverts de daim bleu nuit avec, sur le premier, un grand rectangle vertical de box de même couleur avec le titre de l’ouvrage et la date de l’édition mosaïqués en grandes capitales de box grenat, chaque initiale étant inscrite dans un petit caisson carré de box irisé noir, dos lisse orné de petits rectangles mosaïqués de box vert et bleu ciel, ces derniers portant les initiales du nom de l’auteur, du titre de l’ouvrage et de la date de l’édition poussés en lettres dorées, doublures de papier grenat et gardes de papier bleu ciel, tête dorée, non rogné, couvertures imprimées et dos conservés. Chemise à dos transparent et étui. Pierre-Lucien Martin, 1964. 206 x 138 mm.
Rare édition originale de ce roman autobiographique de Simone de Beauvoir, tirée à 160 exemplaires seulement. Exemplaire n°10, l’un des 35 exemplaires de tête sur vélin de Hollande Van Gelder. « En 1963 Simone de Beauvoir publie le troisième volume de ses souvenirs : ‘la Force des choses’. Avec une sincérité aussi dépourvue de vantardise que de masochisme, l’auteur reprend son autobiographie où elle l’a laissée, c’est-à-dire en 1944, à la libération de Paris. Avec impartialité aussi quoiqu’elle reconnaisse : ‘Je suis objective dans la mesure bien entendu où mon objectif m’enveloppe’. Certes, à partir de 1944, l’histoire de Beauvoir est devenue quasi publique. Mêlée beaucoup plus que naguère aux événements politiques, elle va se recouper avec certaines autres des œuvres de l’auteur… Ces souvenirs évoqués sont de tous ordres ; ce sont aussi bien des aspects de la vie politique et sociale que des visages, des livres, des films, des rencontres. Aux yeux de Simone de Beauvoir, tout a une égale importance, chaque fait en lui-même n’étant jamais essentiel, mais l’ensemble aidant de toute évidence à sa réalisation propre : ‘il s’agissait de me réaliser, non de me former’. A partir de la guerre, l’histoire de Simone de Beauvoir c’est surtout celle de ses œuvres dont la publication s’échelonne au long des années, les romans d’abord, puis son essai sur ‘le Deuxième Sexe’, mais c’est aussi celle de Sartre qui commence à connaître une grande célébrité. Après le prix Goncourt des ‘Mandarins’, c’est la guerre d’Algérie qui va mobiliser en grande partie son attention, puis les évènements de mai 1958 et l’arrivée au pouvoir du général de Gaulle, le procès Jeanson, le manifeste des 121. L’ouvrage se termine avec le printemps de 1963 et la fin des hostilités en Algérie ; et l’auteur de conclure : ‘ce qui m’est arrivé de plus important, de plus irréparable depuis 1944, c’est que - comme Zazie – j’ai vieilli’ ». (Dictionnaire des Œuvres, IV, 484). Magnifique exemplaire provenant de la collection personnelle de Pierre-Lucien Martin qui l’a revêtu en 1964 d’une superbe reliure mosaïquée. Le présent exemplaire a figuré a figuré à sa vente du 20 mai 1987 sous le n°37. Provenance : P. L. Martin et François Ragazzoni avec ex libris.
1886 1886 Paris Revue La Vie Parisienne 1886 1 Grand In-4 Reliure demi basane dos à nerfs coins cuir 366[pp] Revue hebdomadaire la Vie Parisienne, deuxième semestre 1886.
Lexpression « vie parisienne » entre dans lusage courant avec la Restauration puis connaît un franc succès quand Balzac publie, dès 1834, un recueil de romans intitulé Scènes de la vie parisienne, et qui composera tout un pan de ses histoires de murs regroupées sous le titre générique de La Comédie humaine. Mais cest sous le Second Empire que Paris devient une référence en matière de vie culturelle, notamment pour tout ce qui concerne la mode et les soirées.Profitant dune très relative liberté dexpression qui se fait sentir au milieu du Second Empire, Marcelin envisage de lancer à la fin de lannée 1862, à Paris, un magazine intitulé La Vie parisienne, sous-titré « Murs élégantes, Choses du jour, Fantaisies, Voyages, Théâtres, Musique, Modes » : il sagit dun hebdomadaire illustré qui propose dès janvier 1863 de montrer les joies et les plaisirs mondains de la capitale et, notamment, sa vie théâtrale. Amoureux dune comédienne, costumier à ses heures, Marcelin dessine dans un premier temps la plupart des images, puis accueille des écrivains et des illustrateurs, non sans essuyer quelques critiques outragées face aux potins rapportés et son audace grivoise qui consiste parfois à esquisser les jambes dune actrice ou à évoquer les demi-mondaines. Dans sa critique théâtrale, la revue convoque un style imagé et sans ambages. Le public visé est bien le couple bourgeois en quête de soirées, de loisirs, de divertissements, amateur de la scène, des bals, des chansonniers et de la dernière mode, sans doute lassé des comptes rendus corsetés et que les caricatures amusent3. Notons que la Vie parisienne participe à la fois dune libéralisation et dune diversification de la presse, ainsi, la même année, sort également Le Petit Journal, un quotidien du soir qui va rapidement sopposer à une presse jugée trop sérieuse. Bon état de conservation , exemplaire agréable. coins cuirs abîmés Frais de port inclus vers France métropole au tarif normal, délai d'acheminement sous 72h, pour les commandes > à 80 euros et poids < 1kg. Disponibilité sous réserve de vente en Boutique. Frais de port inclus vers France métropole au tarif normal, délai d'acheminement sous 72h, pour les commandes > à 80 euros et poids < 1kg. Disponibilité sous réserve de vente en Boutique. Disponibilité sous réserve de vente en boutique, prix valable frais de port inclus pour commande > 90 € et poids < 1 Kg
Légères tâches au dos, sinon bon exemplaire. Paris, Denoël, (25 septembre) 1967. 1 vol. (130 x 200 mm) de 165 p. et [1] f. Broché. Édition originale. Exemplaire du premier tirage. Envoi signé : « pour Claude Contamine, en souhaitant que [Les choses de la vie] nous réunissent quelque part en mer. Très amical hommage. Paul Guimard ».
« Je suis absolument dans mon droit mais je suis piégé. Je vais exactement un peu trop vite, la camionnette est exactement un peu trop de travers, le camion est exactement un peu trop prêt, la route est exactement un peu trop étroite. Et merde ! Il n'y a pas une probabilité sur un million pour que tout tourne aussi mal, pas sur un milliard, et ça tombe toujours sur un type qui n'a rien à se reprocher, qui roule trop vite, d'accord, mais sans excès (...) Tout s'est joué en deux secondes, je voudrais savoir lesquelles. ». Paul Guimard avait écrit ce roman après avoir lui-même frôlé la mort à Casablanca en 1963. Son titre lui avait été inspiré par le grand écrivain Valery Larbaud qui, à l'instant de glisser dans la mort, articula dans un souffle : « Adieu les choses de la vie. » Un beau titre pour une « mise en perspective unique des choses que nous souhaitions faire, de celles que nous avons faites, des choses que nous avions voulu dire et de celles que nous avons dites. » Dixit Claude Sautet, qui décide d'adapter le roman deux ans plus tard. Avec Les Choses de la vie, Sautet va inaugurer son cycle de portraits intimistes contemporains qui vont devenir sa marque de fabrique et constituer sa renommée. C'est Pierre Garnier-Deferre, en lui montrant des rushes du film La Piscine, qui convainquit le réalisateur de retenir Romy Schneider pour le rôle d'Hélène. C'est sa première collaboration avec Claude Sautet pour qui elle va être ensuite son actrice fétiche. Ils vont tourner ensemble quatre autres films.