Paris, Guien et compagnie, 1822 10 tomes en 5 volumes in 8 (20,5x14cm) Reliure demi chagrin, dos à nerfs Bon état extérieur, nerfs un peu frottés. Intérieur: Rousseurs, principalement sur les pages de titre et de faux titre. Tome 1 -Notice- Oeuvres oratoires Tome 2- Oeuvres oratoires-Eloge par Cerutti. Tome 3- Essai sur le despotisme - Considérations sur l'ordre de Cincinnatus -De la liberté de la presse- Règlemens observés pour les votes en Angleterre- Tome 4- Des lettres de cachet et des prisons d'état. Tome 5- Histoire secrète de la cour de Berlin-Lettre à Frédéric Guillaume II Tome 6- Dénonciation de l'agiotage- Observations sur Bicêtre - Sur la réforme politique des juifs - Lettres sur Cagliostro et Lavater. Tome 7- Divers opuscules politiques - Doutes sur la liberté de l'Escaut. Tome 8- Essai sur la vie privé de Mirabeau, par Cadet de Gassicourt - Lettres à Sophie écrites du donjon de Vincennes. Tome 9- Lettres à Sophie ( 2ème partie) Tome 10- Lettres à Sophie (3ème partie) Peu commun
Reference : 261
Librairie Chardiny
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Paris chez Perrotin & Chez les Marchands de Nouveautés, Paris 1847-1866 Œuvres composites reliés en 6 volumes, grands in 8 en demi maroquin rouge à coins, à longs grains, dos à cinq nerfs ornés au petits fers, filet doré bordant les plats, portant en tomaisons « Chansons I » ; « Chanson II », « Dernière chanson », « Ma biographie », « Musique des chansons », et « Supplément ». Et en queue les dates de 1857 pour les deux premiers volumes 1860 pour les deux suivants, 1865 et 1866 pour les deux derniers. Mors de deux volumes restaurés. Reliure signée de Champs.Exemplaire unique, enrichi 28 dessins et lavis, (19 lavis et 9 dessins) les figures en double états avant la lettre sur chine monté et avec la lettre sur blanc, truffé de deux lettre autographes de Béranger et d’un manuscrit original. Couvertures et dos conservés, truffé de prospectus sur papiers de couleurs, couvertures de livraisons. Les dessins et lavis au sépia et encre de chine sont signés de Penguilly (2), Charles Jacque (2), Lemud (15 dont celui du frontispice), les dessins à la mine de plomb sont par Messieurs Tony Johannot (7)
Détail des éditions : • Oeuvres complètes de Béranger. Paris, Perrotin, Éditeur, 1847 (2 vol.). •• Oeuvres posthumes ; Dernières chansons ; de 1834 a 1851 Paris, Perrotin, Éditeur, 1860 (1 vol.). Ces 3 volumes sont truffés de 28 dessins ou croquis originaux qui ont servis à l’illustration de l’édition placés en vis a vis de leur tirages (19 lavis et 9 dessins au crayon) : - Deux par Penguilly au lavis de sépia et encre de chine - Deux par Charles Jacque au lavis de Sepia - Sept dessins par Tony Johannot - Quinze par A. de Lemud au lavis de sépia dont celui du frontispice - Deux dessins à la mine de plomb non signé pour « Les cartes et les gueux », accompagné de l’épreuve à l’état d’eau forte pure inachevée. - Un billet autographe et deux lettre autographes signées (une adressée à l’éditeur Pérotin dans laquelle il évoque un différent opposant Perrotin à Georges Sand)- Un manuscrit autographe signé de la chanson « L’Opinion de ces Demoiselles ». ••• Oeuvres posthumes ; Ma BiographieParis, Perrotin, Éditeur, 1860 (1 vol.)(Comporte en frontispice le portrait en pied de Béranger en double état avant la lettre ainsi que toutes les illustrations en double état)•••• Musique des chansons ; Airs notés anciens et modernes. Paris, Perrotin, Libraire-Éditeur, 1865. (1 vol.)(la couverture conservée date de 1860) •••• Oeuvres complètes de Béranger. Chansons de Béranger ; Supplément. Paris, Chez les Marchands de Nouveautés, 1866. (1 vol.)L’album de supplément (chansons érotiques) n’a été tiré qu’à 175 exemplaires
Paris, Estienne Loyson, 1659 à 1665, In-8 relié en 4 volumes en plein veau moucheté, dos plats ornés de semis d'étoiles, pièces de titre et de tomaison, dentelles, reliure époque empire, coiffe supérieure du tome I abîmée.
Édition composite des Oeuvres Galantes de Cotin, précédées d'un très bel ENVOI AUTOGRAPHE de l'auteur « Mademoiselle Pinon les amours vous ont fait pour vous faire admirer et les braves partout font gloire de vous suivre ; vous en pourrez plus inspirer que vous n'en verrez dans ce livre », signé « L'hermite de Paris ».Précieux exemplaire.
Couverture rigide 18 volumes petit in-8, veau blond, tranches dorées, dos passé.
16 frontispices, 1 portrait, 31 figures par Eisen, Mariller, Queverdo (etc.). Édition collective en partie originale. T1 Lettres envers et oeuvres mêlées, A Paris, Chez Sébastien Jorry, 1767 T2 Oeuvres mêlêes en vers et en prose, A Paris, Chez Sébastien Jorry, 1767 T3 La Déclamation théâtrale, poëme didactique précédé et suivi de quelques morceaux de prose, A Paris, Chez Delalain, 1771 T4 Mes fantaisies, A La Haye et se trouve à Paris, Chez Delalain, 1770 T5 Mes nouveaux torts, ou nouveau mélange de poésies, pour servir de suite aux fantaisies, A Amsterdam et à Paris, Chez Delalain, 1775 T6 Recueil de contes et poèmes, A La Haye et se trouve à Paris, Chez Delalain, 1776 T7 Les baisers, précédés du mois de mai, A La Haye et se trouve à Paris, Chez Delalain, 1770 T8 Lettres d'une chanoinesse de Lisbonne à Melcour officier françois, suivies de l'épître intitulée Ma philosophie et de quelques poésies fugitives, A La Haye et se trouve à Paris, Chez Delalain, 1771 T9 Les sacrifices de l'amour, ou Lettres de la vicomtesse de Senanges, et du Chevalier de Versenai ; suivies de Sylvie et Moléshoff, première partie, A Amsterdam et se trouve à Paris, Chez Delalain, 1772 T10 Les sacrifices de l'amour, ou Lettres de la vicomtesse de Senanges, et du Chevalier de Versenai ; suivies de Sylvie et Moléshoff, deuxième partie, A Amsterdam et se trouve à Paris, Chez Delalain, 1772 T11 Les malheurs de l'inconstance, ou Lettres de la marquise de Syrcé et du comte de Mirbelle, première partie, A Amsterdam et se trouve à Paris, Chez Delalain, 1772 T12 Les malheurs de l'inconstance, ou Lettres de la marquise de Syrcé et du comte de Mirbelle, seconde partie, A Amsterdam et se trouve à Paris, Chez Delalain, 1772 T13 Fables nouvelles, La Haye et se trouve à Paris, Chez Delalain, 1773 T14 Fables nouvelles II volume, La Haye et se trouve à Paris, Chez Delalain, 1773 T15 Régulus, tragédie et La Feinte par amour, comédie, A Paris, Chez Delalain, 1773 T16 Pierre le Grand, A Paris, Chez Monory, 1779. Suivi de : Zoramis, roi de crète, A Londres et se trouve à Paris, Chez Monory, 1780 T17 Le Célibataire, A Paris, Chez Delalain, 1776. Suivi de : Le Chevalier français à Turin, A Paris, chez Delalain, 1779 T18 Les Prôneurs ou le tartuffe littéraire, En Hollande et se trouve à Paris, 1777. Suivi de : Roséïde ou l'intrigant, A Paris, Chez Monory, 1780 Les tomes 1, 7, 11, 12, 13, 14, 16, 17, 18 sont des éditions originales.
A Lyon, Chez Antoine Cellier fils, 1676, (3), 238 p., (4), 249 p. In-12, en pleine basane brune, dos plat orné de fleurons (reliure pastiche ancienne)Quelques ex libris anciens sur la plage de titre. Trou de vers marginal affectant les vingt premiers feuillets.
Edition lyonnaise XVIIe des oeuvres de Théophile de Viau, incluant dans la troisième partie "le recueil de toutes les pièces faites par Theophile pendant sa prison jusqu'à sa mort". Une des dernières éditions XVIIe des oeuvres complètes de Théophile de Viau tirées à petit nombre. Les écrits de Théophile, chef de file de la pensée libertine, se rencontrent difficilement. Il est vrai que la suspicion d'hérésie plane en permanence sur ses oeuvres. Placé au Panthéon des poètes par Théophile Gautier et Stéphane Mallarmé, Théophile de Viau a conservé jusqu'à ce jour une place à part dans la littérature clandestine du XVIIe siècle.
Moulins, Imprimerie Fudez, 1880 ; in-8, broché. 2ff.-284pp. Couverture imprimée, dos muet. Couverture tâchée, avec de petites déchirures marginales, manques au dos.
L'ouvrage s'ouvre sur l'histoire très romanesque de La Gerzadaire : une jeune fille rendue à la misère à cause des malversations de sa mère, qui avait trempé dans les affaires d'une société secrète, la "Société des Célestins". Elle va en Espagne pour y retrouver sa mère où celle-ci s'est réfugiée pour échapper à la justice. La jeune Marguerith (c'est son vrai nom) y rencontre un peintre qui lui propose de rentrer à Paris sous le nom imaginaire de "La Gerzadaire". Leur histoire se poursuit ponctuée de séparations et de retrouvailles, de misère et de vie de bohème... elle est contrainte par l'indigence de se donner à des amants. Leur fin sera tragique !La suite est une série de poèmes en vers, d'élégies, de satires, de réflexions philosophiques, des discours sur la politique, la morale, l'histoire, etc. Il consacre plusieurs poèmes à Chantelle, son village natal, à la Bouble qui coule au pied de l'abbaye, aux religieuses du couvent, aux ruines du château des Bourbon, au Connétable... Daniel Charbonnier était originaire de Chantelle où il est né le 9 juin 1855 (fils de Charles, et de Anne Mathieux, marchands confiseur dans cette ville du Bourbonnais - ADA Registre état civil, 2E 48 13). Il fait des études au Lycée de Moulins, et devient Juge de Paix en 1886. En 1924, E. Capelin, dans le Bulletin de la Société d'Emulation du Bourbonnais (P. 107-110), lui consacre un compte-rendu à l'occasion de la publication de "Les Heures légères et les heures graves", à Paris, chez Jouve, autre recueil de poèmes et de pièces en vers. On trouve encore de lui au catalogue de la Bibliothèque Nationale les publications suivantes : "Pallas et Athénée", Imprimerie Marion à Gannat, s.d. - "Oeuvres Poétiques", Cusset, Imprimerie Fumoux, 1894 - "Les quatorze sonnets", Paris, L. Cerf, 1899 - "Le Connétable de Bourbon, drame historique en 5 actes, en vers", Bordeaux : impr. de A. Delagrange, 1901 - "Le Verre de sang, comédie héroïque en 5 actes, en vers", Bordeaux : impr. de A. Delagrange, 1904 - "Les Heures légères et les Heures graves", Paris, Jouve et Cie, 1923. Malgré toutes ses références, il apparaît que les oeuvres de ce chantellois soient d'une insigne rareté, très certainement publiés à compte d'auteur. "La Gerzadaire" est le premier livre qu'il a fait paraître et un des deux seuls conservés dans le fonds Bourbonnais de la Médiathèque de Moulins (avec les "Oeuvres poétiques"). Notre éminent confrère moulinois (et Ami), nous a confié qu'il n'a rencontré, dans sa longue et glorieuse carrière, qu'un seul exemplaire de cet auteur !