Huile sur toile signée en bas à droite, contresignée, titrée et datée 2004/2005 au dos (30/27,5 cm). t
Reference : awd-1175
Ancien préparateur diplômé en pharmacie et artiste autodidacte né à Bar-le-Duc en 1960, Didier Meynard montre peu ses œuvres depuis 2013, date de sa dernière exposition personnelle au Château de Carrouges (Orne), où il avait présenté des grands formats, des vanités, et sa série des « Sièges de pouvoir ».
Actualités
M. Daniel Azoulay
15, rue Gay-Lussac
75005 Paris
France
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3 vol. in-8, maroquin rouge de l'époque, plats estampés à froid de motifs végétaux, double filet doré en encadrement sur les plats, dos à nerfs orné de frises dorés et de fleurons à froid, tranches dorées (frottements).
Premier volume:HENNEQUIN (Antoine) Observations de M. Hennequin, avocat, sur l'instruction relative à la mort du duc de Bourbon, prince de Condé. Paris, chez Gabriel Warée, 1832. 272 pp., seconde édition.MARC (Dr Charles), Examen médico-Légal des causes de la mort de S.A.R. Le Prince de Condé. Extrait des Annales d'hygiène publique et de médecine légale. Paris, librairie de Crochard, 1831. 88 pp., 6 pl., première édition en volume.GENDRIN (Augustin), Mémoire médico-légal sur la mort violente du duc de Bourbon, prince de Condé, et à cette occasion sur les conditions dans lesquelles la mort peut être produite par la suspension incomplète et sur les signes de la strangulation par suspension. Extrait des Transactions médicales. Paris, chez J.-B. Baillière, 1831. 55 pp. première édition en volume.BRIQUET DE LAVEAU (François) Examen de la procédure criminelle : instruite à Saint-Leu, à Pontoise, et devant la Cour royale de Paris, sur les causes et les circonstances de la mort de S.A.R. le duc de Bourbon, prince de Condé. Paris, imprimerie de Plassan et Cie, 1832. 393 pp., 4 pl., édition originale.Deuxième volume:HENNEQUIN (Antoine) Plaidoyer de M. Hennequin, avocat, pour MM. les princes de Rohan contre S.A.R. Mgr le duc d'Aumale, représenté par M. Borel de Brétizel et contre Mme la baronne de Feuchères. Paris, chez Gabriel Warée, 1832. 179 pp., édition originale.DUPIN (Philippe), Plaidoyer de Me Philippe Dupin, pour S.A.R. mgr le duc d'Aumale, en réponse à celui de Me Hennequin, pour MM. de Rohan. Extrait de la Gazette des tribunaux, 8 janvier 1832. 50 pp., première édition à part, reliées à la suite, deux lettres autographes signées d'Hennequin à Dupin, 2 pp. in-8 dont la seconde est datée du 24 janvier 1831.HENNEQUIN (Antoine), Réplique de M. Hennequin, avocat, pour MM. les princes de Rohan, contre S.A.R. Mgr. le duc d'Aumale, représenté par M. Borel de Bretizel, et contre Madame la baronne de Feuchères. Paris, chez Gabriel Warée, 1832. 278 pp., édition originale.DUPIN (Philippe), Réplique de Me Philippe Dupin, pour S.A.R. le duc d'Aumale. Extrait de la Gazette des tribunaux, 31 janvier 1832. 42 pp., première édition en volume.HENNEQUIN (Antoine), Réponse pour MM. les princes de Rohan aux répliques entendues à l'audience du 27 janvier 1832. Paris, imprimerie de Decourchant, 1832. 62 pp. édition originale.HENNEQUIN (Antoine), Conclusions motivées pour LL. AA. SS. les princes et princesse de Rohan, contre S.A.R. Mgr le duc d'Aumale, procédant sous l'assistance de M. Borel de Bretizel, tuteur ad hoc ; et contre Mme la baronne de Feuchères. Paris, imprimerie de Decourchant, 1832. 38 pp., édition originale.SURVAL (baron A. de), Lettre de M. de Surval à Me Lavaux, avocat, sur son plaidoyer du 23 décembre 1831 en faveur de Miss Daws, baronne de Feuchères. Paris, chez Dentu, 29 décembre 1831. 28 pp., édition originale.Procès à l'histoire. "Tribune" du jeudi 12 avril 1832. Paris, imprimerie de Auguste Mie, 1832. 50 pp., première édition en volume.Troisième volume:LAFONT D'AUSSONNE, (Gaspard Louis), Appel à l'opinion publique sur la mort de Louis-Henri-Joseph de Bourbon, prince de Condé. Paris, chez G. Dentu, 25 décembre 1830. 64 pp., 1 pl., seconde édition.BELLEVILLE (Adolphe de), Les Secrets de Saint-Leu. Notice curieuse sur ce château et ses propriétaires; Aiglantine de Vendôme, la reine Hortense, etc. suivie d'une biographie complète sur la baronne de Feuchères, et de détails sur la mort du duc de Bourbon. Paris, chez l'auteur et Dentu, 1831. 64 pp., édition originale.LAMBOT (Paul Grégoire, général), Paris, imprimerie-librairie de G.-A. Dentu, 1831. 123-[3] pp., édition originale.Le prince de Condé, le duc d'Orléans et madame Feuchères. Paris, L.F. Hivert, mars 1832. 56 pp., édition originale.CALVIMONT (Albert de), Le Dernier des Condé. Paris, Alexandre Vezard, 1832. 392 pp., 1 pl., édition originale.Voir photographie(s) / See picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
( Littérature en Anglais - Bandes Dessinées - Rock ) - Prince Rogers Nelson dit Prince - Dwayne McDuffie - Denys Cowan - Brian Bolland.
Reference : 21632
(1991)
Editions DC Comics / Collection / Piranha Press 1991. In-agrafé de 36 pages au format 26 x 17 cm. Couverture illustrée par Brian Bolland. Quatrième plat avec photographie de Prince annonçant la sortie de l'album de Prince & The New Power Generation " Diamonds and Pearls ". Bande dessinée mettant en scène Prince, réalisée spécialement pour la sortie de l'album précédemment cité, avec magnifiques illustrations en couleurs par Denys Cowan sur scénario de Dwayne McDuffie. Edition originale américaine en état supernbe proche du neuf.
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Cannes imprimerie cruvés et vincent 1935 plaquette in 8 brochée 8 pages
On joint du même auteur, même éditeur, même date :1) - Le prince napoléon (jérome) ses voyages. Le prince et le monde des lettres, des sciences. L'art, la maison pompéienne. L'orateur, l'écrivain, la correspondance de Napoléon Ier. Le conseil d'état, le conseil privé. 2) - Le prince Napoléon (jérome) militaire. 3) - Le prince Napoléon (jérôme) économiste, l'exposition universelle de 1855. 4) - Le prince Napoléon (jérôme) et la politique extérieure, missions diplomatiques, la question romaine. 5) - Le prince Napoléon (jérôme) l'intelligence et l'instruction générale. Idées philosophiques et religieuses, qualités de coeur.soit 6 plaquettes
Superbe exemplaire provenant de la bibliothèque Guy Pellion avec ex-libris. Paris, Toussainct du Bray, P. Roccolet, Cl. Sonnius, 1631. In-4 de 27 pp., (1) p. d’extrait du Privilège, 400 pp., 56 pp. et (8) ff. Plein veau blond, triple filet doré encadrant les plats, dos à nerfs richement orné, pièces de titre et de tomaison de maroquin rouge et vert, double filet or sur les coupes, tranches dorées. Reliure du XIXe siècle signée Niédrée. 237 x 178 mm.
Édition originale du Prince, « l’œuvre qui contribua à fixer la langue et constitue l’un des plus beaux monuments de la prose française ». « Edition originale ornée d’un beau titre-frontispice offrant le portrait de Louis XIII ». Tchemerzine, I, 355. Jean-Louis Guez de Balzac (1597-1654) bénéficie désormais d’un nouvel éclairage. Si l’on reconnaît toujours en lui le restaurateur de la langue française célébré par Ménage, on scrute avec plus d’intérêt ses conceptions de la morale et de la politique, « sa vieille Maitresse ». « A son retour d’Italie où il avait suivi le cardinal de la Valette, Balzac s’était déjà rendu célèbre par ses Lettres. Il fut accueilli comme un triomphateur et recherché de tout le monde élégant et lettré ; Richelieu, en particulier, fit tout ce qu’il put pour s’attacher un aussi précieux esprit. C’est probablement dans le milieu de la cour, qu’il ne fréquentait plus guère cependant après 1624, que Balzac conçut son projet d’écrire ce livre : peut-être lui fut-il plus ou moins directement commandé. On raconte qu’ayant entendu citer par un gentilhomme l’indignation d’un de ses amis, alors prisonnier des pirates barbaresques, provoquées par les insultes qu’on prodiguait devant lui au nom de Louis xiii, Balzac aurait eu l’idée de consacrer sa plume à retracer le bonheur de la France de vivre sous un sceptre aussi glorieux que celui de ce roi. Bien que « Le Prince » prétende à quelque généralité et que le nom du roi n’y figure pas, c’est en fait une peinture idéalisée de Louis xiii, héros digne de l’Antiquité. Pleine d’harmonie et d’une grande rigueur, cette œuvre contribua, au moins autant que les « Lettres », à fixer la langue et constitue un des plus beaux monuments de la prose française. Les idées politiques de Balzac ne sont d’ailleurs pas indifférentes, elles sont la parfaite expression de l’esprit de son temps ». (Dictionnaire des Œuvres, V, 511). « C’est d’Italie qu’il commença d’écrire ses ‘Lettres’ qui devaient un jour lui assurer la gloire. D’emblée, ou peu s’en faut, il s’acquit l’admiration de la haute société française. C’est dire que lorsqu’il revint à Paris, l’année suivante (1622), il se vit déjà célèbre. L’un après l’autre, tous les grands personnages se mirent à le rechercher ; Richelieu lui-même fit tout ce qu’il put pour s’en faire bien voir, tant il tenait à s’attacher un esprit aussi remarquable [...] Sitôt qu’il vit le jour, le recueil obtint un succès prodigieux : non seulement en France, mais dans toute l’Europe [...] En somme, Guez de Balzac a rendu à la prose le même service que Malherbe à la poésie. Il a préparé l’éclosion de la prose classique. » (Dictionnaire des Auteurs, I, 208). Le Prince (1631), découronné d’un prélude pastoral, mais éclairé d’arguments en 1634, prétend peindre « la révolution morale » entraînée par l’impérieux pouvoir de Richelieu. Balzac, cette fois, plaide pour un paternalisme monarchique, où « la Prudence soulage la Justice » selon une raison d’Etat soucieuse du bien public. Dans cet ouvrage riche de « toutes les vertus oratoires », Balzac s’efforce d’atteindre à « la perfection du genre sublime » en faisant fond sur les « Lettres Sainctes » et la tradition de Cicéron et Sénèque. Par ses contradictions mêmes Balzac instaure un nouvel « humanisme », héroïque et moderne, embrassant sous le nom de politesse le cœur, le goût et la raison. Prosateur et poète latin du premier rang, il comble l’ambition majeure des statuts de l’Académie par le triomphe indiscuté des lettres françaises. Résigné au Dieu caché, il a foi en une création rationnelle et s’efforce de repenser selon la nature la société et l’art. « Observateur », il élabore une politique où la culture pourrait rendre « plus humains » princes et sujets. Chantre de la retraite, mais mondain toujours, il plaide pour l’urbanité contre la double trahison d’une arrogante ignorance et du pédantisme. « Atticiste » enfin, il témoigne pour un travail à la Malherbe qui n’étouffe pas la spontanéité ni « la raisonnable fureur » d’un Théophile. Force et majesté, mais douceur ; diversité, mais ordre, économie et choix ; sérieux, mais finesse de la raillerie et gaieté, telles sont les marques de l’art de plaire et persuader qu’il propose à la cour et à la bonne société, et qui fondent un authentique classicisme Louis XIII. Précieux et fort bel exemplaire provenant de la Bibliothèque Guy Pellion avec ex-libris.
P, Micchaud, 1810 , in81/2 veau, 244pp. Epidermures, coins frottés. Langue: Français