‎Blancpain Marc‎
‎En français malgré tout‎

‎PARIS MATCH N° 1026 - Les six jours d'angoisse des épouses de l'espace, Jackie Onassis : Noël a Skorpios, Le calendrier chinois, Krupp censure Manchester, Jean Jules Verne : mon grand oncle avait raison, Les français en suisse malgré tout, L'auteur‎

‎PARIS MATCH. 4 janvier 1969. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 70 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

‎Sommaire : Les six jours d'angoisse des épouses de l'espace, Jackie Onassis : Noël a Skorpios, Le calendrier chinois, Krupp censure Manchester, Jean Jules Verne : mon grand oncle avait raison, Les français en suisse malgré tout, L'auteur du Vicaire s'attaque a Churchill, Les géraniums de Skorzeny, Le marché noir de la panthère Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

‎L'Hebdo n°43 23 fév. 2000 - Entretien: J. Myard défend le français - Exclu l'Hebdo: Insécurité: les vrais chiffres - La pari de Pasqua inquiète Chirac - L'assurance-vie se porte bien malgré tout‎

‎Le Quotidien de Paris. 2000. In-Folio. En feuillets. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 8 pages augmentées de quelques illustrations en noir et blanc dans le texte. Texte sur plusieurs colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.1-Journaux‎

‎ Classification Dewey : 70.1-Journaux‎

‎La victoire malgré tout la france et les francais dans la seconde guerre mondiale. ‎

‎s.l., Lbm editions, 2005; in-4, 190 pp., cartonnage de l'éditeur.‎

‎.‎

‎Globe Couverture : Ann Sothern sera la vedette "d'Aventures au Ranch" le nouveau film américainLes ultimes sursauts du Japon avant l'invasion - Reportage sur le front des Alpes (Philippe Gaussot) - Le bénédictin de Fontenay-sous-bois Ladislas Starevitch, créateur des fameux films de marionnettes brûle ses décors pour se chauffer, mais entreprend deux nouvelles oeuvres (Charles Ford) - L'Alsace fidèle. Mais malgré tout, nous resterons français... Après quatre ans de germination la Lorraine au lendemain de sa délivrance, panse ses blessures et regarde l'avenir (Paul Bodin) - Avec Lucien Coëdel, le nouveau Jean Gabin à 3.000 mètres d'altitude, en plein coeur de Paris - La lettre à l'absent (Gisèle Reb) ‎

‎ n° 11 - 18 janvier 1945 - in-4 broché - revue illustrée - 12 pages‎

‎bon état ‎

‎VERDUN épouvante, l'héroisme, la fortune des industriels, folie des politiques 448 pages, 2008, à la fois écrit avec une plume romancière, journaliste, biographique La bataille de Verdun fut une bataille de la Première Guerre mondiale qui eut lieu du 21 février au 19 décembre 1916 près de Verdun en France , opposant les armées françaises et allemandes. Conçue par le général von Falkenhayn , chef suprême de l'armée Allemande, comme une bataille d'attrition pour « saigner à blanc l'armée française » sous un déluge d'obus dans un rapport de pertes de un pour deux, elle se révélera en fait presque aussi coûteuse pour l'attaquant : elle fit plus de 300 000 morts (163 000 soldats français et 143 000 allemands) et se termina par un retour à la situation antérieure. Parallèlement, de juillet à novembre, l'armée britannique sera engagée dans la bataille de la Somme , tout aussi sanglante pour des résultats également mineurs. Alors que, côté allemand, ce sont pour l'essentiel les mêmes corps d'armée qui livreront toute la bataille, l'armée française fera passer à Verdun, par rotation, 70% de ses Poilus , ce qui contribua à l'importance symbolique de cette bataille et à la renommée du général Pétain qui commanda la première partie de la bataille. C'est au général Robert Georges Nivelle que revint le mérite de l'enrayement définitif de l'offensive allemande ( juin - juillet 1916 ), puis de la reconquête du terrain perdu entre octobre et novembre 1916 avec la récupération du fort de Douaumont , aidé en cela par son subordonné Charles Mangin . Rétrospectivement, Verdun apparaît comme le lieu d'une des batailles les plus inhumaines auxquelles l'homme s'est livré : l' artillerie y cause 80 % des pertes, le rôle des hommes y consiste surtout à survivre - et mourir - dans les pires conditions sur un terrain transformé en enfer, tout cela pour un résultat militaire nul. Verdun sera, comme la Somme , une terrible leçon que certains théoriciens militaires allemands sauront comprendre. L'immobilité du front, malgré les moyens engagés, est due à l'absence de moteur : en 1940 , soumise au feu motorisé des panzers , Verdun tombera en 24 heures.‎