Reference : BQF5AP
ISBN : B0044N7ML4
Julliard Broché D'occasion bon état 01/01/1964 150 pages
Fenêtre sur l'Asie
M. Alexis Chevalier
49 rue Gay Lussac
75005 Paris
France
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Paris : Julliard (Coll. "Archives", dirigée par Pierre Nora et Jacques Revel), 1964 - In-12 broché (format poche), sous couverture illustrée en couleurs, 222 pages illustrées d'un cahier de planches en noir - bon état -
Flammarion, 2002, in-8°, 285 pp, traduit du russe, un portrait photo de l'auteur en frontispice, et 12 pl. de photos hors texte, 2 cartes, broché, bon état
L’armée rouge reçut-elle jamais l’ordre de libérer Auschwitz ? C’est pour répondre à cette question que Vassili Petrenko, l’un des quatre généraux à la tête des troupes qui libérèrent le camp – et le dernier en vie –, s’est penché sur son passé. Né dans l’Ukraine profonde et antisémite, bénéficiant de la mobilité sociale créée par la révolution, il fait une carrière militaire. Il voit les armées des Blancs et celles des Rouges ; il constate les ravages de la collectivisation ; il assiste aux purges staliniennes. Devenu commandant, il participe à l’opération Vistule-Oder et pénètre dans le camp d’Auschwitz. Général à l’âge de trente-trois ans, il est témoin et acteur de l’histoire de l’après-guerre : la répression berlinoise en 1953, les tensions dans les républiques soviétiques d’Asie... Au début des années 80, une question l’ébranle : « avez-vous libéré Auschwitz sur ordre ou en passant ? Vos troupes n’ont-elles pas tardé ? » L’exploration des archives lui révèle que la libération du camp ne figurait pas parmi les objectifs fixés par les dirigeants soviétiques. Devenu depuis militant du souvenir, il est, en Russie, l’une des rares personnalités non juives qui s’emploient à faire connaître la vérité sur le génocide. — "Le livre que publie Flammarion est composé de deux ouvrages très différents l'un de l'autre. Il y a d'abord les Mémoires plus ou moins rewrités d'un général soviétique, Vassili Yakovlevitch Petrenko, né en 1912. Il est, en janvier 1945, à la tête d'une des quatre divisions qui libérèrent Auschwitz. C'est comme libérateur du camp d'extermination qu'il devint, en 1981, une figure internationale. Il fut accusé en Occident d'avoir reçu l'ordre de retarder la libération du camp pour permettre aux nazis d'achever leur besogne. C'était faux et injurieux. C'était aussi confondre Auschwitz et Varsovie. Là, l'armée rouge marqua volontairement le pas sur les bords de la Vistule pour laisser aux nazis le temps de liquider l'insurrection nationaliste. Rien de tel devant Auschwitz. Simplement la libération du camp n'était pas un objectif militaire, pas plus d'ailleurs que Paris ou Strasbourg pour l'armée que commandait Eisenhower.. Ce récit est fort intéressant, mais le texte qui suit, “Le Kremlin et l'Holocauste, 1933-2001”, est, lui, une analyse historique de tout premier ordre due à la plume experte d'Ilya Altman et Claudio Ingerflom. A lire absolument." (Pierre Vidal-Naquet, Le Monde, 2002)
KRAKOW Comité International d'Auschwitz 1952 -in-8 broché un volume, broché noir in-octavo à litalienne Editeur (27 x 19,2 cm), dos muet(spine without title), 1ère de couverture avec titre imprimé en blanc, reproduction de la frise au dessus de la porte d'entrée du camp : "ARBEIT MAGHT FREI"(le travail rend libre) en blanc avec en bas à droite un triangle rouge, texte en français, anglais et allemand, orné de trés nombreuses photographies in et hors-texte en noir, 96 pages, sans date (1952)KRAKOW Comité International d'Auschwitz (CIA) Editeur,
rare...en trés bon état (very good condition). NOUS SOMMES EN CONGÉ DU 29 AVRIL 2025 AU 13 MAI 2025 merci de votre compréhension!
Oswiecim (Auschwitz), Editions du Musée d'Etat, 1979, in-8°, 109 pp, traduit du polonais, 39 photos, broché, couv. illustrée, bon état
Cinq études : 1. Le camp de concentration d'Auschwitz (Kazimierz Smolen) ; 2. KL Auschwitz en tant que camp d'extermination (Danuta Czech) ; 3. Le travail d'esclave des prisonniers (Franciszek Piper) ; 4. Auschwitz lutte (Kazimierz Smolen) ; 5. La libération du KL Auschwitz et l'aide apportée aux prisonniers libérés (Andrzej Strzelecki).
GLM/Ramsay, 1988, in-8°, 400 pp, cart. éditeur, jaquette illustrée, bon état
Rudolf Vrba, né sous le nom de Walter Rosenberg (1924-2006), est un des seuls Juifs à s'être évadé du camp d'Auschwitz. Interné dans le camp de concentration en juin 1942, il est témoin de l'extermination en masse des Juifs à Auzchwitz-Birkenau. Il parvient à s'évader le 10 avril 1944, en compagnie d'Alfred Wetzler. Arrivés en Slovaquie, les deux hommes témoignent, auprès de dirigeants juifs du génocide en cours. Leur compte-rendu détaillé du mode opératoire des nazis à Auzchwitz est connu sous le nom de Rapport Vrba-Wetzler. Ce document transmis en occident en juin 1944, est rendu en partie public fin juin. Il a probablement contribué à renforcer le mouvement international de protestation contre la déportation des Juifs de Hongrie. Engagé dans l'armée des partisans tchécoslovaques en septembre 1944, Rudolf Vrba sera décoré pour sa bravoure. Il fait, après la guerre, une carrière de chercheur en neurochimie et d'enseignant en pharmacologie. En 1963, il publie un livre sur son emprisonnement à Auzchwitz (I Cannot Forgive). Il est l'un des témoin du film Shoah de Claude Lanzmann. — "Un million de Hongrois vont mourir, Auschwitz est prêt à les recevoir. Mais si vous les prévenez maintenant ils se révolteront. Ils n'iront pas dans les fours. Votre tour viendra aussi. Aujourd'hui c'est celui des Hongrois. Il faut les avertir le plus vite possible." Voici le récit effrayant d'un homme qui a passé près de deux ans dans le camp d'extermination d'Auschwitz. Le 14 avril 1944, Rudolf Vrba et son ami Fred Wetzler parviennent à s'enfuir, et le 25 avril ils remettent leur "Rapport sur les camps de concentration d'Auschwitz, Birkenau et Maïdanek". Celui-ci est immédiatement transmis au chef de la communauté juive de Hongrie. En vain : quatre cent mille juifs hongrois seront assassinés. Une chronique méticuleuse de la vie quotidienne au coeur de cet enfer, avec l'espoir insensé de s'échapper pour pouvoir témoigner, et faire cesser le massacre.