‎LAUVERNIERE H. ‎
‎Un de trop !‎

‎La Bibliothèque des Feuilletons, Recueil de Romans, Nouvelles et Feuilletons. Tome 7 et 8, du numéro 19 au n°24, reliés en 1 volume. Contient : TABLE DU TOME SEPTIÈME : No 19.- Juillet 1844 : Un Projet de Loi, par FRÉDÉRIC SOULiÉ. Fortunée Landais, par EUGÈNE NOEUVÉGLISE. La Chanson des Trois Capitaines, par FRÉDERIC THOMAS. Histoire de Duguay-Trouin, par G.DE LA LANDELLE... Mademoiselle de la Mancelière, par AMÉDÉE ACHARD. Une Matinée aux Invalides, par EMILE DESCHAMPS. L'Ordre de la Cordelière, par Mme CLEMENCE ROBERT. Histoire morale, invraisemblable et pourtant véridique, par EUGENE DE MIRECOURT. Un Mariage comme il y en a trop, par PHILIBERT AUDEBRANT Les Faux Assignats..No 20.- Août 1844 : Une Bohémienne au xve siècle, par FRÉDÉRIC SOULIÉ... Une double Erreur, par PHILIPPE DE MARVILLE. Mathilde de Nuremberg, par JULES MARESCHAL. Le Trône et I' Honneur, par Mme CLÉMENCE ROBERT. Le Colonel Verner, par AUGUSTIN CHEVALIER. L'Abbé Prévost et Manon Lescaut, par ARSÈNE HOUSSAYE. Les Frères Van-Buck, par ALFRED de MUSSEt... Un Concert-Monstre d'autrefois... No 21.- Septembre 1844 : Les Deux Aveugles de 1525, par FRÉDÉRIC SOULIÉ... Wlasta, chronique bohême, par JULES MARESCHAL. Manon, par AUGUSTIN CHEVALIER. Un Homme et une Femme, par ALPHONSE KARR. Le Témoin, par PAUL FOUCHER. Le Roi d'un jour, par MOLE-GENTILHOMME. Les Anciens Bains sur la Seine, par EDOUARD FOURNIER. La Pêche littéraire, par MARC FOURNIER. Mort d'Ahasvérus, par EDOUARD FOURNIER. TOME HUITIEME : Message par FRÉDÉRIC SOULIÉ. La Femme blanche des Marais, par PAUL FÉVAL. Un fils de trop, par PAUL FOUCHER. Un Cœur d'Actrice par AMEDEE ACHARD. Le Fond de la Mer, par G.DE LA LANDELLE Benjamin, par AUGUSTIN CHEVALIER.. Un Enterrement en 1727, par MARIE AYCARD... No 23. Les deux Roses, par FRÉDÉRIC SOULIÉ.La Croix de Berny, par FELIX DERIÈGE. Un Grand Prix, par EUGENE BRIFFAULT. La Fontaine-aux-Loups, par ARSENE HOUSSAYE. No 24. Léon Baburrus, par FRÉDÉRIC SOULIÉ. Le Secret de la Gloire. par EUGENE MAHON. Les Aventures d'un Emigré par PAUL FÉVAL. Rousseau et sa Voisine, par EDOUARD FOURNIER.‎

‎Paris, Boulé & Cie, rue Coq Héron, 1844, in-8, demi-reliure de l'époque, dos long orné, plats papier à la colle, 384 & 384pp. Contient Les Frères Van-Buck, par Alfred de Musset, réédité quatre jours après l'édition originale parue dans Le Constitutionnel le 27 juillet 1844. Manque 2cm de cuir au dos, sinon bon état, texte frais. ‎

‎Humain, trop humain Un livre pour esprits libres III Fragments posthumes (1876-1878) volume 1. (III-1 )‎

‎, Gallimard, 1988 520 pages. ISBN 9782070712885.‎

‎oeuvres philosophiques compl tes III, 1 Humain, trop humain. Un livre pour esprits libres suivi de Fragments posthumes (1876-1878) Trad. de l'allemand par Robert Rovini. dition de Giorgio Colli et Mazzino Montinari Cette nouvelle dition revue par Marc B. de Launay remplace l' dition en deux volumes de 1968 Collection oeuvres philosophiques compl tes (n 3), Gallimard Parution : 02-02-1988‎

‎Trop c'est trop‎

‎Paris, Editions Denoël, 1957, in-8, broché, 269 pages. Bon état. Portrait en frontispice réalisé par Bauquier. ‎

‎[ Manuscrit autographe signé ] Page d'Histoire : [ Il évoque la mort du dauphin Louis puis continue ... ] "Et le peuple affranchi déjà de son tyran / Se souvint tout à coup des Comtes émigrants, / Douta de voir jamais leur race anéantie / Et n'osa point trouver la Libert grandie / Avec sous son pied rouge un cadavre nouveau, / Ce cadavre d'enfant et non de tyranneau. / Or, comme un meurtrier poursuivi par son crime / Voit toujours devant lui les traits de sa victime / O France qui ne fut méchante qu'une fois / Tu devrais le revoir ce fils blond de tes Rois / Et quand des imposteurs t'ont dit chacun : "Regarde!" / "Je suis Louis dix-sept ! " tu répondis, hagarde : / "Tous mes Rois sont morts, tous !" Et tu devais souffrir, / Car tu connaissais bien comme ils savaient mourir !" / 'Et c'était tout le temps et l'angoisse et la gêne / Dans cette liberté que tu goûtais à peine ! / Sans cesse on l'habillais de régimes nouveaux / Aussitôt rejetés, n'étant pas aussi beaux; / Tel un amant jaloux qui cherche avec ivresse / Les plus brillants joyaux pour parer sa maîtresse / Et n'en juge pas un digne de sa beauté, / Tel, le peuple, voulant orner la Liberté / Lui mit le Consulat après le Directoire / Et trouvant tour à tour chaque robe trop noire, / Chaque gouvernement trop étroit ou trop laid, / Enfin croyant trouver celui-là qu'il fallait / La força d'embrasser un vêtement, le pire / Et lui meurtrit le cou dans ce carcan : l'Empire / Mais nul ne supposa que son avènement / Sonnait pour nos aïeux l'heure du châtiment. / [ ... ] "Et la France partit dans la gloire au trépas ! / Et la France mourut ne s'apercevant pas / Qu'elle payait ainsi quelque dette divine, / Qu'un sabre châtiait alors la guillotine / Et que livrant à l'Aigle un par un tous ses fils / L'Aigle en les dévorant vengeait la fleur de Lys".‎

‎4 pages autographes de 49 vers signés sur 2 feuillets in-4 (avec deux repentirs), avec mention à l'encre, d'une autre main, en bas de la dernière page : "Paris Bd Saint Germain 1902" : Nous en livrons une transcription partielle : [ Manuscrit autographe signé ] Page d'Histoire : [ Il évoque la mort du dauphin Louis puis continue ... ] "Et le peuple affranchi déjà de son tyran / Se souvint tout à coup des Comtes émigrants, / Douta de voir jamais leur race anéantie / Et n'osa point trouver la Liberté grandie / Avec sous son pied rouge un cadavre nouveau, / Ce cadavre d'enfant et non de tyranneau. / Or, comme un meurtrier poursuivi par son crime / Voit toujours devant lui les traits de sa victime / O France qui ne fut méchante qu'une fois / Tu devrais le revoir ce fils blond de tes Rois / Et quand des imposteurs t'ont dit chacun : "Regarde!" / "Je suis Louis dix-sept ! " tu répondis, hagarde : / "Tous mes Rois sont morts, tous !" Et tu devais souffrir, / Car tu connaissais bien comme ils savaient mourir !" / 'Et c'était tout le temps et l'angoisse et la gêne / Dans cette liberté que tu goûtais à peine ! / Sans cesse on l'habillait de régimes nouveaux / Aussitôt rejetés, n'étant pas aussi beaux; / Tel un amant jaloux qui cherche avec ivresse / Les plus brillants joyaux pour parer sa maîtresse / Et n'en juge pas un digne de sa beauté, / Tel, le peuple, voulant orner la Liberté / Lui mit le Consulat après le Directoire / Et trouvant tour à tour chaque robe trop noire, / Chaque gouvernement trop étroit ou trop laid, / Enfin croyant trouver celui-là qu'il fallait / La força d'embrasser un vêtement, le pire / Et lui meurtrit le cou dans ce carcan : l'Empire / Mais nul ne supposa que son avènement / Sonnait pour nos aïeux l'heure du châtiment. / [ ... ] "Et la France partit dans la gloire au trépas ! / Et la France mourut ne s'apercevant pas / Qu'elle payait ainsi quelque dette divine, / Qu'un sabre châtiait alors la guillotine / Et que livrant à l'Aigle un par un tous ses fils / L'Aigle en les dévorant vengeait la fleur de Lys".‎

‎Beau poème autographe signé de Maurice Renard (1875-1939), l'écrivain à succès de nombreux romans fantastiques et de science-fiction, parmi lesquels le célèbre ouvrage "Les Mains d'Orlac". Dans le présent poème manuscrit, il évoque la mort tragique du dauphin Louis-Charles de France (1785-1795), connut comme "Louis XVII", et le poids de ce crime sur la conscience de la Nation... Bon tat (petites fentes en pliures)‎

‎L'AVANT SCENE THEATRE N°717 - 1er novembre 1982 / La vie est-elle trop courte ou trop longue? / André Roussin : 40 ans de théatre / La vie est trop courte (texte intégral), André Roussin / la presse / Lorsque l'enfant reparait..‎

‎AU BUREAU DE LA REVUE. 1982. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 50 pages augmentées de quelques photos en noir et blanc dans et hors texte - texte sur 2 colonnes. . . . Classification Dewey : 792-Théâtre‎

‎La vie est-elle trop courte ou trop longue? / André Roussin : 40 ans de théatre / La vie est trop courte (texte intégral), André Roussin / la presse / Lorsque l'enfant reparait.. ou Un tartuffe sénatorial / L'enfant (texte intégral), Claude Broussouloux... Classification Dewey : 792-Théâtre‎