Couverture rigide. Couverture cartonnée (sans la couverture d'origine), 268 pages. Légèrement défraîchi.
Reference : 86020
Livre. Editions Paul Ollendorff, 1894.
Librairie et Cætera
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Autrement, coll. « Littératures » 2004 Livre en français. In-8, broché.141 p. . Très bon état d’occasion.
Très bon état d’occasion
Tours, Alfred Mame et Fils 1897 In-4. Cartonnage pleine percaline grise de l’éditeur, titre et décor polychrome de drapeaux au plat supérieur plaque de Paul Souze, tranches dorées, 116 planches en couleurs, illustrations en noir dans le texte, quelques-unes à pleine page, 512 pp. coiffes légèrement émoussées, rousseurs éparses.
Grand travailleur, le commandant Picard publie des ouvrages pendant 55 années et fait éditer au moins 45 titres, certains réduits à des brochures, d'autres, monumentaux, comportant plusieurs tomes. Picard avait été victime d'un grave accident, qui lui avait brisé une rotule. Sans doute en raison de difficultés physiques, il reste longtemps enseignant. Il est nommé, le 26 mai 1881, professeur d'histoire et de géographie, fonction qu'il exerce, avec le grade de capitaine, jusqu'en 1894, année à partir de laquelle il reçoit diverses affectations, avant d'être classé dans la réserve à compter du 5 février 1904 et d'atteindre le grade de colonel. Le capitaine Picard est avant tout un professeur d'histoire contemporaine, il s'informe en permanence sur l'évolution des diverses armées. Il publie des études sur l'armée suédoise, sur le règlement de la cavalerie italienne, sur "La Cavalerie allemande aux dernières grandes manoeuvres et d'après ses règlements" (en 1902), sur la guerre russo-japonaise (en 1906). En 1897, il publie "L'Armée en France et à l'étranger", où il décrit longuement les forces des diverses puissances. Il croit beaucoup à l'armée russe et semble fasciné par les cosaques, opinion partagée sur la nouvelle alliée de la France par tous les milieux dirigeants. Dans un genre totalement différent, le capitaine Picard participe à la formation des sous-officiers et des cavaliers en rédigeant des manuels pratiques pour les instructeurs. Le texte officiel du règlement est cité au mot près, mais en regard, des photos illustrent les mouvements et les manoeuvres. Ces clichés bien imprimés sont remarquables pour l'époque. Bon état d’occasion
Editions B.I.P. 1987 In-4 relié. 168 pages. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
Librairie de la Construction Moderne 1913 In-4. Reliure moderne, demi-toile bleu marine, XV-649 pp., 397 figures et photographies dans le texte et à pleine page. Très bon exemplaire.
Seconde édition, profondément remaniée, de cette étude très complète et documentée : essai historique, les blocs et les maisons collectives à étages en France, l’habitation ouvrière à l’étranger, documents et renseignemants officiels. Très bon état d’occasion
Publications de la Sorbonne, 2000, gr. in-8°, 308 pp, une carte, broché, couv. illustrée, bon état (XXXe congrès de la Société des historiens médiévistes de l'Enseignement supérieur public, Göttingen, juin 1999)
Au Moyen Age, cherche-t-on à intégrer l'étranger ou à l'exclure ? Et inversement, comment vivre au Moyen Age en tant qu'étranger ? Lors d'un colloque accueilli par la Mission historique française en Allemagne, une vingtaine de contributions, qui ont trait pour la plupart au Moyen Age tardif, ont tenté de répondre à ces questions. — Où commence l'étranger dans la société médiévale ? Comment y vit-on en étranger ? Peut-on au Moyen Age supporter "l'autre", celui qui n'est pas du village, de la ville où l'on naît et travaille, celui qui ne parle pas la même langue ? Ce sont les questions, si fort d'actualité, qui ont servi de trame aux travaux du XXXe Congrès de la Société des historiens médiévistes de l'enseignement supérieur public, accueilli en juin 1999 à Göttingen, lieu hautement symbolique, par la Mission historique française en Allemagne et l'Institut Max Planck d'histoire. Les communications, prolongées par les conclusions d'Otto Gerhard Oexle, font le point sur la manière dont les hommes du Moyen Age concevaient l'altérité. Les pratiques, les institutions, et aussi l'imaginaire ont contribué à faire de l'étranger une figure marquante de l'ordre social. Mobiles par vocation ou par nécessité, marchands, hommes d'armes, hommes d'Eglise, intellectuels et artistes ont suscité et façonné des manières d'être, des lieux de rencontre, des statuts codifiés, mais aussi des comportements de méfiance et de rejet, dans un constant va-et-vient entre exclusion et intégration.