‎GALTIER-BOISSIERE Jean ‎
‎Les gros.‎

‎Couverture rigide. Reliure de l'éditeur. 18 x 20 cm. 491 pages.‎

Reference : 29723


‎Livre. Avec la collaboration des rédacteurs du Crapouillot : René Lefebvre - Lucas-Lebreton - Beau de Loménie - Pierre Dominique - Jean Savant - René Poirier; etc. Les amis du club du livre du mois, 1958.‎

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‎DORGELES Roland‎

Reference : 85078

(1930)

‎Belle lettre autographe signée adressée à un confrère écrivain partageant son amour du Montmartre de jadis et ses figures connues : " Savez-vous qu'un soir (oh ! il y a longtemps) j'ai rencontré boulevard de Clichy Léon Bloy (que j'admirais ! ) vêtu d'un gros complet de velours et la canne, son gourdin plutôt à la main. Et, un après-midi, j'avais 18 ans, j'ai écouté les souvenirs de Bruant attablé avec moi rue des Saules"‎

‎Paris s.d. (1930), 21,5x27,5cm, une double page.‎


‎Belle lettre autographe signée de Roland Dorgelès adressée à un écrivain également amoureux de Montmartre dans laquelle il se remémore, avec nostalgie, la Butte d'antan et ses fantômes célèbres, (40 lignes à l'encre bleue) depuis son domicile parisien de la rue Jean Goujon. Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli. "Mon cher confrère Bien cordialement, je vous remercie. Votre article de la Liberté m'a fait le plus grand plaisir. Vous aimez mon roman : pour un auteur c'est toujours agréable ; mais vous aimez aussi la Butte, et cela nous rapproche. Nos chemins ne se sont-ils jamais croisés, entre la place du Tertre et le Lapin Agile ? Savez-vous qu'un soir (oh ! il y a longtemps) j'ai rencontré boulevard de Clichy Léon Bloy (que j'admirais ! ) vêtu d'un gros complet de velours et la canne, son gourdin plutôt à la main. Et, un après-midi, j'avais 18 ans, j'ai écouté les souvenirs de Bruant attablé avec moi rue des Saules - les deux visages sont accrochés dans ma mémoire comme les photos encadrées dans un salon petit-bourgeois. Dire qu"on va combler en partiecette délicieuse rue de l'Abreuvoir. Pourquoi seigneur ? Et si l'on calculait ce qu'on a dépensé de millions pour enlaidir la Butte. Je vous tends cordialement les mains. Roland Dorgelès Montmartrois." - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎PELADAN Joséphin‎

Reference : 83458

(1903)

‎Lettre autographe signée adressée à Marius Richard le mettant en garde contre les caprices de son acteur fétiche, Paul Mounet : "... Paul de passage à Nîmes a déclaré que ni lui, ni son frère ne consentiraient à jouer aux Arènes ... & il a proposé un arrangement très coûteux & très absurde car ce grand acteur ne connait rien à l'économie du théâtre antique... Je prévois derrière tout cela la demande de gros cachets..."‎

‎S.n., s.l. 19 juillet 1903, 17,5x22,5cm, un feuillet recto-verso.‎


‎Lettre autographe signée de Joséphin Peladan adressée à Marius Richard, le père de Carlo Rim (44 lignes à l'encre bleue sur un feuillet recto-verso. Le Sâr s'indigne des prétentions notamment pécuniaires de Paul Mounet et de son frère, il suggère aussi à son correspondant la distribution des rôles de la pièce de théâtre à laquelle il collabore. Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli. "Mon cher confrère, J'ai vu par mes amis Placide que vous aviez été fort affairé, ces temps-ci, par les soins politiques. Et sans doute, vous attendiez d'avoir des choses précises pour m'écrire. Je voudrais non pas vous mettre en garde, mais que vous mettiez les membres du comité en garde contre les déclamations des Mounet. Paul de passage à Nîmes a déclaré que ni lui, ni son frère ne consentiraient à jouer aux Arènes, si on ne les coupait par le milieu & il a proposé un arrangement très coûteux & très absurde car ce grand acteur ne connait rien à l'économie du théâtre antique. C'est une matière où il ne faut pas innover, mais seulement suivre les anciens textes et monuments. Je prévois derrière tout cela la demande de gros cachets, les cachets d'Orange & en conséquence l'effroi du comité. Pour parer à tout cela, voulez-vous lire ma tragédie en quatre actes Semiramis. Tout peut se passer dans les jardins suspendus, c'est à dire dans votre fameux décor. Madame Segond Weber accepte de jouer Semiramis, & pour les cinq autres rôles, j'aurais des gens de la Comédie Française. Cela coûterait moitié moins que la Prométhéide. Certes rien ne la vaut, comme importance. Mais pratiquement, Semiramis donnerait un bénéfice certain à la caisse d'initiative. Si vous pouvez leur faire accepter Prométhée, j'en serai très heureux. Mais à défait, proposez leur Semiramis. j'espère avoir bientôt le plaisir de vous lire. Croyez moi tout votre Peladan. 24. rue A. de Neuville." - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎SEGALEN Victor & [GAUGUIN Paul]‎

Reference : 78614

(1905)

‎Lettre autographe signée adressée à Emile Mignard : "Gros succès avec mon déballage Gauguin."‎

‎Paris 18 mars 1905, 13,1x20,9cm, 3 pages sur un double feuillet.‎


‎Lettre autographe signée de Victor Segalen adressée à Emile Mignard, trois pages rédigées à l'encre noire sur un double feuillet de papier quadrillé. Pliures transversales inhérentes à l'envoi. Une des très rares lettres relatant le rocambolesque sauvetage des oeuvres de Gauguin par son "champion". Emile Mignard (1878-1966), lui aussi médecin et brestois, fut l'un des plus proches amis de jeunesse de Segalen qu'il rencontra au collège des Jésuites Notre-Dame-de-Bon-Secours, à Brest. L'écrivain entretint avec ce camarade une correspondance foisonnante et très suivie dans laquelle il décrivit avec humour et intimité son quotidien aux quatre coins du globe. C'est au mariage de Mignard, le 15 février 1905, que Segalen fit la connaissance de son épouse, Yvonne Hébert. Segalen a quitté Tahiti, après avoir transité par Colombo, Port Saïd et Toulon, il est à Paris pour quelques jours et raconte à son ami les réactions face aux uvres de Gauguin qu'il a fait revenir de Polynésie. La vente aux enchères des biens et des uvres de Gauguin, demeurés dans sa Maison du Jouir après sa mort, se déroula à l'automne 1903. L'un des rares acquéreurs présents lors de cette liquidation fut Victor Segalen qui permit ainsi le sauvetage de plusieurs pièces capitales du peintre qui risquaient d'être détruites dans l'indifférence générale. Segalen, qui avait espéré arriver à temps pour rencontrer Gauguin, ravive sa mémoire en tentant - malgré sa faible solde - d'acquérir un maximum d'uvres de son défunt mentor. Il relate dans son «Hommage à Gauguin» (préface desLettres de Paul Gauguin à Georges-Daniel de Monfreid, 1918) cette dispersionaujourd'hui incroyable : «Puis s'accomplit la vente judiciaire, sous les formes les plus légales, les plus sordides. On liquida sur place les objets «utiles», vêtements, batterie de cuisine, conserves et vins. Une autre adjudication eut lieu à Papéété, et comprenait quelques toiles, deux albums, l'image de Satan et de la concubine Thérèse, le fronton et les panneaux de la Maison du Jouir, la canne du peintre, sa palette. Pour acquéreurs: des marchands et des fonctionnaires; quelques officiers de marine; le Gouverneur régnant à cette époque; des badauds, un professeur de peinture sans élèves devenu écrivain public. [...] La palette m'échut pour quarante sous. J'acquis au hasard de la criée tout ce que je pus saisir au vol. Une toile [Village breton sous la neige], présentée à l'envers par le commissaire-priseur qui l'appelait «Chutes du Niagara» obtint un succès de grand rire. Elle devint ma propriété pour la somme de sept francs. Quant aux bois - fronton et métopes de la Maison du Jouir, personne ne surmonta ma mise de...cent sous! Et ils restèrent à moi. [...] Les bois de la Maison du Jouir, je les destinai dès lors, à l'autre extrémité du monde, à ce manoir breton que Saint-Pol-Roux se bâtissait, lui aussi, comme demeure irrévocable, dominant la baie du Toulinguet, sur la presqu'île atlantique. La palette, je ne pus décemment en faire mieux hommage qu'au seul digne de la tenir, - non pas entre ses doigts, comme une relique dont on expertise avec foi l'origine, - mais passant dans l'ovale au double biseau le pouce qui porte et présente le chant des couleurs, ...à Georges Daniel de Monfreid.[...] Cette toile [Village breton sous la neige], je l'ai gardée. Le don même en serait injurieux. Gauguin mourut en la peignant, c'est un legs. » La biographie de Gauguin par David Haziot, dresse l'inventaire précis des uvres achetées par Segalen: «Segalen put acquérir sept toiles sur dix. Parmi elles l'autoportraitPrès du Golgotha[aujourd'hui au musée d'art de Saõ Paulo]. Les sculpturesPère PaillardetThérèsepartirent, ainsi qu'une seconde version des trois femmes au bord de la mer dont une allaitant à leurs pieds. [...] Segalen [...] emporta le carnet de dessins d'Auckland, quatre des cinq panneaux de bois qui ornaient la porte de la Maison du Jouir (pour 100 sous!), les photographies d'Arosa avec notamment les images de Borobudur et du Parthénon, et leVillage breton sous la neigepeint après la catastrophe de Concarneau et que Gauguin avait emporté avec lui.» Ces uvres, parmi les plus célèbres de notre patrimoine artistique, sont aujourd'hui conservées au Musée d'Orsay (Paris) et dans d'autres grandes institutions mondiales. «Gros succès avec mon déballage Gauguin. Certains qui ricanaient à Tahiti s'interloqueront du seul argument qui vaille pour eux: la valeur commerciale. Elle est importante. Néanmoins je compte tout ramener, y compris surtout le Sandwich que nous avons pieusement décollé et qui donne, dans l'uvre complète, une admirable note. Formule générale: Gauguin ne fut pas «peintre» mais Décorateur.» Le «Sandwich» dont il est ici question semble être Près du Golgotha, autoportrait de Gauguin qui, en très mauvais état, avait été contrecollé (en sandwich donc) pour le protéger durant le transport de Tahiti vers la France. Ce bref séjour à Paris est enfin l'occasion pour Segalen de rencontrer Georges-Daniel de Monfreid avec lequel il a correspondu depuis Tahiti. C'est probablement lui qui fait prendre conscience au jeune docteur de la valeur des uvres rapportées de Polynésie, comme en témoigne une lettre de Segalen écrite à sa mère le même jour que la nôtre: «Il se peut que je retire d'importants avantages pécuniaires de mon déballage Gauguin. [...] Je ne perds pas une minute, aidé par un vieux peintre [G.-D. de Monfreid, 49 ans!], disciple de Gauguin, et avec lequel je cours les musées.» Le «vieux peintre» note d'ailleurs dans ses Carnets à la date du 16 mars 1905: «Visite du Dr Segalen qui nous a prévenus par télégramme le matin. Il arrive très ponctuellement à 11h1/2 et déjeune avec nous. Ensuite, il m'emmène chez lui où il me fait voir ce qu'il rapporte. Enfin, nous portons rue Guénégaud, chez Tisserand, la toile (portrait de Gauguin) [Le fameux «Sandwich»] la plus abîmée, et je le quitte à 5h au Luxembourg.» Segalen ne perd pas de temps à Paris et entreprend un véritable marathon culturel: «Entendu: Chez [André] Antoine: Les Avariés. Deux actes très scéniques suivis d'un troisième plutôt conférentiel et assommant. Hier au Gymnase: Le Retour de Jérusalem, et une admirable silhouette de Juive qui serait froidement nietzschéenne. Ce soir, «notre» Lohengrin, demain Tannhauser. Je ne crois pouvoir terminer mes explorations diverses avant Mardi et Mercredi. Ne pas m'attendre avant Jeudi.» Il en profite également pour visiter la rédaction du Mercure de France dans lequel il a publié en juin 1904 un intéressant article intitulé «Gauguin dans son dernier décor»: «J'ai déjà liquidé la série «Mercurielle»: de Gourmont, toujours aimable mais empâté et, de symboliste devenu «biologiste» enragé. Ce que Morache en jubilerait! Vu [Alfred] Vallette, «mon» directeur qui m'a réclamé des études. Promis. Donc, placements assurés, et puis, ça m'est égal, j'écris pour écrire et pour quelques amis.» Exceptionnelle et rarissime lettre de Victor Segalen évoquant le rapatriement et la révélation à Monfreid et quelques initiés, des dernières oeuvresde Gauguin. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎BEJART Maurice‎

Reference : 79135

(1974)

‎Carte postale autographe signée adressée à André-Philippe Hersin :"Ici la saison d'été a été un gros succès." ‎

‎Londres 14 avril 1974, 13x18,1cm, une carte postale.‎


‎Carte postale autographe signée de Maurice Béjart adressée à André-Philippe Hersin, rédigée au stylo à bille bleu au verso de la reproduction photographique du tableau de Vermeer intitulé Une dame debout au virginal. "Avant de quitter Londres je pense à vous. Impossible joindre Paris au téléphone à des heures normales. Je pars demain pour Venise. Ici la saison d'été a été un gros succès. Baiser - Maurice" Journaliste, critique de danse et rédacteur en chef des Saisons de la danse, Hersin fut un grand défenseur du style chorégraphique de Béjart et lui consacra d'élogieux articles dans sa revue ainsi que des fascicules monographiques de son oeuvre. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎Dr Hansel Boris‎

Reference : R260255729

(2007)

‎Surveillez votre ventre Attention au syndrome de la bedaine Sommaire: Du gros ventre au syndrome du gros ventre; Gros plan sur les anomalies constituves du syndrome du gros ventre; les maladies oubliées du syndrome du gros ventre...‎

‎Hachette. 2007. In-8. Broché. Très bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 127 pages. Couvertuire contrepliée.. . . . Classification Dewey : 613-Hygiène‎


‎Sommaire: Du gros ventre au syndrome du gros ventre; Gros plan sur les anomalies constituves du syndrome du gros ventre; les maladies oubliées du syndrome du gros ventre... Classification Dewey : 613-Hygiène‎

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