Couverture souple. Broché. 388 pages. Manque au dos. Rousseurs.
Reference : 25898
Livre. Editions Paul Ollendorff, 1889.
Librairie et Cætera
Mme Sophie ROSIERE
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1885 Paris, Ollendorff, 1885 , 1888, 1889 ; 3 volumes in-18 de VIII - 316pp.; (4) - V- (I) - 384pp.; VII - (I) - 388pp. ; les 3 volumes en reliure uniformé, demi-basane violine, dos à nerfs, filts pointillés dorés sur les nerfs, auteur et titre dorés. Les 3 volumes bien que portant des mentions d'édition, sont à la date des éditions originales. Reliure uniforme très légèrement frottée, bon exemplaire.
Maurice Irisson d'Hérisson, dit le Comte d'Hérisson (Paris 1839 - Constantine 1893), était officier et publiciste, il donna plusieurs essais historiques. Il traite ici de la bataille et du siège de Metz où ka France capitula en aout 1870, de la Guerre de 1870 et de la Commune. Il fut membre de l'état-major de Trochu en tant qu'officier d'ordonnance, et il participa au côté de Jules Favre aux négociations avec la Prusse de Bismarck. (GrG)
1892 P., Ollendorff, 1892-1891, 2 volumes in 12 relié demi-chagrin rouge, dos à nerfs orné de caissons dorés, V-384 et VII-388 pages ; papier jauni avec quelques rousseurs ; cachets-ex-libris ; petits frottis ; la reliure du "Nouveau journal..." a séjourné à l'humidité.
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P., Ollendorff, 1889, in-12, vii-388 pp, index des noms cités, reliure demi-percaline vermillon, dos lisse avec titres, fleuron et double filet dorés (rel. de l'époque), bon état
Ouvrage d'un officier de carrière montrant une certaine compréhension du mouvement insurrectionnel, « sentiment patriotique dévoyé », et une hostilité totale à Thiers, auteur direct de la Commune et du massacre des otages... « Il aurait fallu Henri IV et il y eut Thiers ». Sa sympathie va à Varlin « homme de cœur et d'intelligence », et à Louise Michel (cf. sa lettre en Épilogue). (Le Quillec, 2261) — "D'Hérisson ne défend pas la Commune mais reconnaît une certaine équité dans le principe qui a présidé à sa conduite. Il produit un document d'où il ressort que les fédérés voulaient faire de Paris une ville libre, ayant un gouvernement autonome et participant dans une certaine mesure au gouvernement, à l'administration, à la défense de la France et aux charges qui lui sont inhérentes. Ils étaient donc animés d'une idée politique ; ils respectaient les biens, les fonds publics déposés dans les Banques ; ils demandaient de l'argent à la Banque de France, mais sous forme de prêt ; et s'ils ont eu recours à des actes de vandalisme dans les derniers jours, c'était en défense et en représailles. La responsabilité des atrocités commises incombe à Thiers, qui n'a pas voulu reconnaître dans les Communards un parti belligérant, comme les Américains dans la guerre de sécession ; il les a donc poussés à des représailles, toujours moins féroces que les exécutions massives qu'il a ordonnées. Et non seulement Thiers est responsable des crimes de la Commune, mais il en est l'instigateur, le fomenteur, ne l'écrasant pas comme il aurait pu le faire après le massacre des généraux Lecomte et Thomas, et tout cela pour se rendre nécessaire, pour s'imposer à la France. D'Hérisson veut même prouver que Thiers a excité la Commune, mais il recourt ici à des indices et à des indications trop vagues... L'auteur trouve la répression d'autant plus féroce et cruelle que le gouvernement de Versailles n'était pas plus légal que celui de la Commune ; l'un et l'autre provenaient d'un coup d'État de quelques-uns, la différence étant que le premier avait renversé un gouvernement qui s'appuyait sur le vote populaire, tandis que le second s'opposait à un gouvernement déjà illégal par lui-même..." (La Cultura, rivista di scienze, lettere ed arti, 1889)
Paris, Paul Ollendorff, 1889. In-12 broché de VII-388 pp., index, couverture imprimée.
Édition originale. « Cet ouvrage d'un officier de carrière montre une certaine compréhension du mouvement insurrectionnel, "sentiment patriotique dévoyé" et une hostilité totale à Thiers, auteur direct de la Commune et du massacre de otages… "Il aurait falllu Henri IV, et il y eut Thiers". Sa sympathie va à Varlin "homme de coeur et d'intelligence et à Louise Michel ». Le Quillec, 2261 ; Del Bo, p. 97.
Paris, Ollendorff, 1889 in-12, VII-388 pp., index, broché.
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