Couverture souple. Broché. 120 pages. Non coupé.
Reference : 207629
Livre. Traduit de l'allemand par Antonin Moeri. Editions Le Passeur, 1996.
Librairie et Cætera
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Mende, Libr. et Impr. Chaptal, Mende, Libr. et Impr. Chaptal1921 ; in-8, broché. 146 pp., 3 ff.6 illustrations hors-texte imprimées en sanguine. ÉDITION ORIGINALE. Recueil en 3 parties : Contes du Gévaudan - Le docteur J. Barbot, son œuvre lozérienne - Impressions du Gévaudan. L’érudit lozérien Marius Balmelle (Mende 1892 - 1969) est l’auteur d’un Précis d’histoire du Gévaudan et plusieurs ouvrages historiques sur la Lozère. Ce recueil qui semble rare contient 8 contes du vieux pays de Gévaudan, une étude sur les travaux de J. Barbot (1876 - 1918) un auteur régionaliste de la Lozère et 8 impressions du Gévaudan.ENVOI AUTOGRAPHE À Monsieur Clovis Brunel, professeur à l’école des Chartes. Hommage respectueux. Le philologue romaniste Clovis Brunel (Amiens 1884 - Boissise-le-Roi 1971) avait occupé le poste d’archiviste à Mende avant d’enseigner à l’École des Chartes.
Paris, Lemerre, Paris, Lemerre1900 ; in-12, broché. 169 pp., 2ff.ÉDITION ORIGINALE. Impressions d'un voyage en Grèce et en Arménie en 1898, Charles Florentin-Loriot est né à Alençon en 1849 et mort à Paris en 1905. Poète et peintre, il se définit lui-même «un catholique errant qui arrivé à l'âge où l'on perd un peu la notion du temps à force d'avoir vécu, et où l'esprit prend des vols inquiets sur les vastes bord de l'éternité ( ... ) a voulu chercher la voie de Dieu parmi les ruines du vieux paganisme ... » Envoi autographe «A M. de St Pierre, souvenir d'une cordiale hospitalité, sept. 1902, Mont St Michel Manche.» Envoi Sans doute adressé à Louis de Saint-Pierre (1885-1966), officier d'infanterie, écrivain, historien de la Normandie.
Très rare en aussi belle reliure à la cathédrale de l’époque. Paris, Victor Magen pour les tomes I & II, 1835 ; Dumont pour les tomes 3, 4 & 5, 1837. 5 tomes en 5 volumes in-8 de: I/ (4) pp., 388 pp., (1) f. de table ; II/ (4) pp., 368 pp., (1) f. de table; III/ (4) pp., 372 pp.; IV/ (4) pp., 340 pp. ; V/ (4) pp., 404 pp., petite restauration marginale p. 27 du vol.1 sans atteinte au texte. Demi-veau glacé havane, dos à nerfs, coiffes et nerfs ornés d'estampages à chaud, entre-nerfs ornés de fleurons estampés à froid, tranches jaunes. Élégantes reliures de l’époque. 205 x 124 mm.
Exemplaire magnifiquement relié de ce texte célèbre d’Alexandre Dumas, de toute rareté en édition originale. Les tomes 3, 4 et 5 parus chez Dumont en 1837 sont ici en édition originale. Les deux premiers volumes formant pour ainsi dire une première partie présentent ici le texte de l’édition originale de 1834 avec un titre de relais portant la mention deuxième édition et la date de 1835. Les cinq volumes furent reliés à l’époque pour un amateur exigent en demi veau orné en queue des dos d’un décor à la cathédrale. «L’ensemble est rare» (Carteret, I, 229). «Un pur régal que les voyages du Dumas père en Suisse» (Mortimer). «Ce livre d’Alexandre Dumas père (1803-1870), publié entre 1835 et 1859, ne manque ni d’intérêt, ni de qualité. L’insatiable curiosité de l’auteur nous vaut de nombreuses descriptions et des notes sur quantités de pays […]. Ces Impressions de voyage sont, pour Dumas, un moyen de donner libre cours à son étonnante facilité de conteur et mettent puissamment en lumière ses dons d’observateur.» (Dictionnaire des Œuvres, III, 693). «Après s’être fait un nom au théâtre, Alexandre Dumas s’est essayé dans le roman, et a utilisé, dans des compositions d’un genre nouveau, les souvenirs, les tableaux, les anecdotes qu’il avait recueillis dans plusieurs voyages en Suisse et en Italie. Les premiers volumes des Impressions de voyage ont obtenu un succès mérité par la gaieté, l’entrain, l’esprit qui y étincellent à chaque page. Le style de cet ouvrage est franc, rapide; les allures de la narration sont vives, libres et dégagées, comme le caractère et l’humeur de l’aimable touriste.» (Dictionnaire encyclopédique de Ph. Le Bas, 775). «Ces Impressions de voyage sont le premier très long récit de Dumas: il est frappant que l'on y trouve, en germe, tous les genres qui donneront plus tard naissance à ses grands succès. Le terme « impressions » est on ne peut mieux choisi. Dumas est un impressionniste, avant même que l’on associe ce qualificatif aux peintres. Le journal de voyage est bien un recueil d'impressions, devant les êtres et la majestueuse nature. Dumas les dépose sur le papier, et donne envie au lecteur d'aller les vérifier sur place. Il est peintre à sa façon. Et pourtant, modestement, Dumas, dans une description presque féerique d'une vieille et de son fils, prétend qu'il faudrait être « Rembrandt pour fixer sur la toile, avec sa couleur ardente et son expression pittoresque, ce tableau bizarre ». Mais la description qu’il en fait est si précise, elle laisse tellement ressentir la puissante poésie de la scène, qu'il n'est nul besoin d'un peintre pour en saisir davantage. Dumas est, réellement, un peintre des mots. Ce qui donne davantage de valeur à ces récits, ce sont les réflexions philosophiques qu'ils éveillent chez Dumas. Dans la plupart des œuvres qui suivront, l’auteur s’éloignera régulièrement de l’histoire pour la commenter. Ici, plus que jamais, il laisse libre cours à ses pensées qui ne peuvent manquer de faire réfléchir le lecteur. Ainsi, quand Dumas découvre que la pêche et la chasse ne sont pas toujours des jeux, mais peuvent aussi, pour certains, être un dur travail, parfois mortel, il écrit : «C'est dans les hommes mêmes qu'elle veut faire libres que la liberté trouve ses plus grands obstacles». Ailleurs, méditant sur le deuil, Dumas constate : « ... aux ailes de la poésie et de la religion, comme à celles des aigles, il faut la solitude et l'immensité ». On ne peut passer sur de telles observations sans s’arrêter, sans chercher à aller plus loin. Les Impressions de voyage n'ont pas à être lues page après page. On peut les prendre n'importe où, pour simplement goûter une partie de ce long itinéraire. On peut également, si l'on est impatient, sauter quelques pages pour retrouver plus rapidement un personnage attachant ou intrigant : par exemple, cet Anglais ou Pauline que Dumas croise à différents moments du voyage.» (Marie Douville). Hormis quelques rousseurs éparses naturelles dans un exemplaire en condition d’époque non lavé remarquable exemplaire d’un livre fort rare en très élégante reliure romantique de l’époque. «Un bel exemplaire en reliure d’époque mérite un net effort financier». (Clouzot).
Editions originales. Impressions d’Afrique Exemplaire sur japon, non rogné, bien complet du fascicule « La critique et Raymond Roussel » et de l’ « avis aux lecteurs non initiés ». Nouvelles impressions d'Afrique suivies de « L'Âme de Victor Hugo ». Exemplaire sur japon. Orné de 59 dessins de H.-A. Zo. Nota bene : Il semble que Roussel ait fait réimprimer Impressions d’Afrique en 1932, à l’occasion de la parution des Nouvelles impressions d’Afrique, sur papier japon, car ce texte, important à ses yeux, ne comportait pas de tirage de tête lors de sa première parution.
Etat parfait.
1975 Toulouse, le jeudi 20 mars 1975. Trois pages sur deux feuillets doubles (110 X 155 mm) découpés par Dax ; trois illustrations contrecollées sur le premier feuillet, deux sur le second. Enveloppe timbrée.
BELLE LETTRE adressée par Adrien DAX (1913-1979), peintre et écrivain libertaire et surréaliste au sculpteur Jean-Claude BIRABEN (1933-2018).Adrien Dax, après avoir remercié Biraben pour sa « belle lettre en accordéon », ornée de « dessins calligraphiés » et de « fragments poétiques » qu'il a aimé « sans la moindre réserve », évoque des appels téléphoniques avec « Annie [Rowling] » à Londres et « Élisa [Breton] » à Paris, ainsi qu'une exposition pour « une galerie italo-niçoise » pour laquelle il a envoyé « une vingtaine de choses, dont huit graphismes récents en grand format, quatre impressions en relief(s) d'il y a 10 ans et divers dessins au crayon [?], à la gouache et à l'encre ». Il a reçu également "A, noir corset velu", un « bouquin monumental » d'Henri Maccheroni réalisé en collaboration avec Pierre Bourgeade : « On pense à d'étonnants paysages, à des végétations de métal. Cela tient, aussi, de la loutre et de l'orchidée. » Il s'est rendu à Paris à l'occasion du soutien en Sorbonne de la thèse de Marguerite Bonnet sur André Breton : « Il y a eu, le soir, une réunion de tous les "amis" du café. Beaucoup de froideur entre les divers groupes mais, en fin de compte, il n'y a pas eu le moindre incident. Donc tout s'est bien passé. Ni [Jean] Schuster, ni Radovan [Ivšić] n'étaient là... » Enfin il raconte un petit cambriolage réalisé dans une école par des "casseurs" : « Tout cela pour, environ, 20 à 25 francs en pièces de 0,50 !! De quoi rigoler, ces pauvres types travaillent pour rien ! » En post-scriptum il ajoute : « J'ai atrocement souffert pour écrire cette lettre. Imagine que j'ai oublié mes lunettes et que j'en ai été réduit à utiliser la loupe et la plume à dessin ! ». CINQ "IMPRESSIONS EN RELIEF(S)", dont deux en bistre, contrecollées et de formats divers, ornent les deux feuillets doubles ; elles sont toutes signées par Dax à la mine de plomb. Il s'agit, comme l'explique Dax à Biraben à la fin de son post-scriptum, de découpages de publicités qu'il a ensuite modifiées : « "L'escorte" est cette fois constituée par des publicités transformées (prélevées dans des magazines féminins). » Adrien Dax nommait « impressions en relief(s) » la transformation d'un support graphique par empreinte et/ou grattage. BEAU DOCUMENT "BRUT" et intéressant témoignage de la vitalité créatrice d'Adrien DAX. ENGLISH TRANSLATION : Toulouse, le jeudi 20 mars 1975. Three pages on two double leaves (110 X 155 mm) cut by Dax ; three illustrations pastedown on the first leaf, two on the second. Stamped envelope.BEAUTIFUL LETTER addressed by Adrien DAX (1913-1979), libertarian and surrealist painter and writer to the sculptor Jean-Claude BIRABEN (1933-2018).Adrien Dax, after having thanked Biraben for his "beautiful letter in accordion", decorated with "calligraphic drawings" and "poetic fragments" which he liked "without the least reserve", evokes telephone calls with "Annie [Rowling]" in London and "Elisa [Breton]" in Paris, as well as an exhibition for "an Italian-Nice gallery" for which he sent "about twenty things, including eight recent large-format graphics, four relief prints from ten years ago and various pencil drawings [? ...], gouache and ink". He also received "A, noir corset velu", a "monumental book" by Henri Maccheroni in collaboration with Pierre Bourgeade: "One thinks of astonishing landscapes, of metal vegetation. It also comes from the otter and the orchid. "He went to Paris on the occasion of the support in Sorbonne of the thesis of Marguerite Bonnet on André Breton: "There was, in the evening, a meeting of all the "friends" of the café. There was a lot of coldness between the various groups but, in the end, there was not the slightest incident. So everything went well. Neither [Jean] Schuster nor Radovan [Ivšić] was there... "Finally he tells of a small burglary carried out in a school by "breakers": "All this for, about, 20 to 25 francs in 0.50 coins ! What a laugh, these poor guys work for nothing ! "In postscript he adds: "I suffered atrociously to write this letter. Imagine that I forgot my glasses and that I was reduced to using the magnifying glass and the drawing pen! ». FIVE "PRINTINGS IN RELIEF(S)", of which two in bistre, pastedown and of various sizes, adorn the two double leaves ; they are all signed by Dax in lead pencil. They are, as Dax explains in Biraben at the end of his postscript, cut-outs of advertisements that he then modified: « "The escort" this time consists of transformed advertisements (taken from women's magazines). » Adrien Dax called "impressions in relief(s)" the transformation of a graphic support by impression and/or scraping. BEAUTIFUL "ART BRUT" DOCUMENT and interesting testimony of the creative vitality of Adrien DAX.
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