‎LINHART Virginie ‎
‎Le jour où mon père s'est tu.‎

‎Couverture souple. Broché. 178 pages.‎

Reference : 129062


‎Livre. Editions du Seuil, 2008.‎

€7.20 (€7.20 )
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5 book(s) with the same title

‎LINHART Virginie ‎

Reference : 77866

(2008)

‎Le jour où mon père s'est tu.‎

‎Couverture souple. Broché. 175 pages.‎


‎Livre. Editions du Seuil, 2008.‎

Librairie et Cætera - Belin-Beliet

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EUR6.30 (€6.30 )

‎Virginie LINHART‎

Reference : 125973

(2008)

ISBN : 2020913674

‎Le jour ou mon père s'est tu‎

‎ Paris Seui 2008. In Paris Seui 2008. In-8 broché de 174 pages. Très bon état‎


‎ Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo. ‎

Phone number : 05 65 42 95 21

EUR8.00 (€8.00 )

‎LINHART VIRGINIE‎

Reference : RO20171887

(2008)

ISBN : 2020913674

‎LA JOUR OU MON PERE S'EST TU‎

‎SEUIL. 2008. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 175 pages - bandeau d'editeur. . . . Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle‎


‎ Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR39.80 (€39.80 )

‎CLAVEL, Bernard‎

Reference : 56244

(1991)

‎2 très belles lettres de Bernard Clavel évoquant la guerre du Golfe et son pacifisme : 1 L.A.S. signées de 2 pages adressées à l'écrivain bordelais Michel Suffran, datée du 16 janvier 1991 : [ ... ] "votre lettre du 14 arrive en ce jour où il n'est plus question ni de roman ni de quoi que ce soit d'autre que cette épouvantable guerre qu'on nous annonce, qui est là, sur nous, même si elle n'a encore tué que très peu. Je suis à terre. Je n'arrive pas à écrire. Je suissuspendu à la radio, le coeur chaviré, comme l'étaient, à mon grand étonnement, les adultes en 39. Je viens de relire "La Célébration de l'Art Militaire" ce chef-d'oeuvre du Père Lelong, et je me replonge dans l'admirable "Journal des années noires" de Jean Guéhenno. Il y a trois photos dans mon bureau (en plus de celle de Josette) Casamayor, Guéhenno, Lecoin. Il y en aurait quatre si celles que je possédais du Père Lelong ne m'avaient pas été prises. Les vrais hommes de paix que j'ai pu rencontrer ne sont pas nombreuses. Triste journée où des socialistes en peau de fesses vont encore se réclamer de Jaurès qu'ils trahissent tant qu'ils peuvent. Je suis écoeuré et découragé" ; 1 L. signée de 2 pp. avec mentions autographes à Michel Suffran : "Cher Michel, voici copie d'une lettre à Jacques Bofford qui lit chaque jour une lettre à la radio suisse", dans laquelle il évoque également la Guerre du Golfe‎

‎2 lettres à savoir à une L.A.S. de 2 pages et une lettre tapuscrite enrichie d'une mention autographe signée, de 2 pages : 2 très belles lettres de Bernard Clavel évoquant la guerre du Golfe et son pacifisme : 1 L.A.S. signées de 2 pages adressées à l'écrivain bordelais Michel Suffran, datée du 16 janvier 1991 : [ ... ] "votre lettre du 14 arrive en ce jour où il n'est plus question ni de roman ni de quoi que ce soit d'autre que cette épouvantable guerre qu'on nous annonce, qui est là, sur nous, même si elle n'a encore tué que très peu. Je suis à terre. Je n'arrive pas à écrire. Je suissuspendu à la radio, le coeur chaviré, comme l'étaient, à mon grand étonnement, les adultes en 39. Je viens de relire "La Célébration de l'Art Militaire" ce chef-d'oeuvre du Père Lelong, et je me replonge dans l'admirable "Journal des années noires" de Jean Guéhenno. Il y a trois photos dans mon bureau (en plus de celle de Josette) Casamayor, Guéhenno, Lecoin. Il y en aurait quatre si celles que je possédais du Père Lelong ne m'avaient pas été prises. Les vrais hommes de paix que j'ai pu rencontrer ne sont pas nombreuses. Triste journée où des socialistes en peau de fesses vont encore se réclamer de Jaurès qu'ils trahissent tant qu'ils peuvent. Je suis écoeuré et découragé" ; 1 L. signée de 2 pp. avec mentions autographes à Michel Suffran : "Cher Michel, voici copie d'une lettre à Jacques Bofford qui lit chaque jour une lettre à la radio suisse", dans laquelle il évoque également la Guerre du Golfe‎


‎Très belles lettres, témoignant remarquablement de l'engagement pacifiste de Bernard Clavel. Voir également dans notre catalogue notre exemplaire de "Lettre à un képi blanc" de Bernard Clavel, évoquant la figure du contestataire et défenseur de l'objection de conscience Louis Lecoin.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR395.00 (€395.00 )

‎[Imprimerie Emile Flouret] - ‎ ‎DE LA BATUT, Jeanne et Pierre‎

Reference : 44471

(1900)

‎Carnet Manuscrit de "Souvenirs et anecdotes de Tante Lair", Angèle Lair, fille du peintre Alexandre-Gabriel Decamps, vraisemblablement notés par sa nièce Jeanne Dentu Epouse De La Batut puis son petit neveu Pierre de La Batut.[ Anecdotes sur Decamps, Gambetta, Emile Gaboriau, etc. ] : [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎

‎1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎


‎Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.‎

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