Couverture souple. Broché. 128 pages.
Reference : 115671
Livre. Editions P.U.F (Collection : Que sais-je? N° 635), 1977.
Librairie et Cætera
Mme Sophie ROSIERE
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Paris, Charles Mendel, 1897. 2110 g In-4, demi basane havane, [2] ff., vii-512 pp., [1] f.. Illustré de 13 planches hors-texte (en couleurs et en noir, parfois dépliantes) et de 41 figures (dont 40 in-texte et une hors-texte). L'ouvrage contient également 2 planches hors-texte supplémentaires qui ne sont pas annoncées dans le titre. Par ailleurs on trouve quelques notes manuscrits qui semblent être des corrections appartenant à l'édition. Edition originale rare de ce livre curieux. Petits frottements. . (Catégories : Arts, Esthétique, Philosophie, )
Paris, Editions Rue d'Ulm, 2019, 19 x 20, 360 pages sous couverture rempliée illustrée. Introduction de Gilles A. Tiberghien. Traduction et notes de Gilles A. Tiberghien avec la collaboration de Rita de Lorenzo. "Ce livre est un grand traité d'esthétique, le plus important venu d'Italie depuis L'Esthétique comme science de l'expression et comme linguistique (1902) de Benedetto Croce. En rupture avec la pensée crocéenne de l'oeuvre accomplie, Luigi Pareyson s'interroge sur le processus de formation … Ce livre est un grand traité d'esthétique, le plus important venu d'Italie depuis L'Esthétique comme science de l'expression et comme linguistique (1902) de Benedetto Croce. En rupture avec la pensée crocéenne de l'oeuvre accomplie, Luigi Pareyson s'interroge sur le processus de formation lui-même, la forme formante dans son rapport à la forme formée. La théorie de la formativité produit une philosophie de la création et une critique de type herméneutique qui inspirera, de l'aveu même de son auteur, L'Ouvre ouverte d'Umberto Eco. Faisant grand cas du matériau lui-même, cette esthétique montre comment le mouvement de l'interprétation est indissociable de la production des oeuvres. Inscrite dans la tradition morphologique inaugurée par Goethe et Dilthey, la pensée esthétique de Pareyson dépasse l'opposition entre historicisme et structuralisme et invente une approche originale de l'activité artistique."
Très bon état.
Gallimard, 1978, in-8 br., 305 p., coll. "Bibliothèque des Idées", traduit de l'allemand par Claude Maillard, préface de Jean Starobinski, bon état.
Trop souvent l'esthétique marxiste ne veut voir dans la littérature qu'un épiphénomène, un "reflet" de la réalité sociale ; le formalisme, au contraire, la considère comme un absolu, un système clos, coupé de cette réalité. L'esthétique de la réception, qui s'est amplement développée en Allemagne depuis une vingtaine d'années, tente de dépasser cette opposition figée de deux approches également partielles. Activité de communication, la littérature n'est pas un simple produit mais aussi un facteur de production de la société. Elle véhicule des valeurs esthétiques, éthiques, sociales qui peuvent contribuer aussi bien à transformer la société qu'à la perpétuer telle qu'elle est. Ainsi l'esthétique de la réception rend à la littérature, à l'art, l'importance et la dignité qui leur ont été si souvent contestées. Voir le sommaire sur photos jointes.
Revue d'Esthétique - Etienne Souriau - Paul Montel - Edouard Monod-Herzen - Lucien Rudrauf - Ianis Xenakis - Lucien Stephan - Michel Bataille - Elisa Maillard - J. Venturini
Reference : DJE78AP
ISBN : B00FMZUF62
Librairie Philosophique J. Vrin Revue d'Esthétique Broché D'occasion bon état 01/01/1961 150 pages
Hachette, 1933, gr. in-8°, xii-736 pp, biblio, index, broché, bon état, envoi a.s.
"M. Ferran consacre un gros volume de 732 pages à l'Esthétique du poète, « bréviaire poétique du siècle » comme dit l'auteur. Cet ouvrage est un monument tout à l'honneur de la science française : le scrupule de la documentation y est presque excessif : il s'ensuit que du point de vue analytique, ce livre est définitif. Grâce à M. Ferran des gazettes et d'autres documents d'un accès difficile nous restituent l'atmosphère des articles de Baudelaire ; les citations courtes et longues se multiplient, les noms se suivent en rangs serrés, tous les grands et les menus faits de la vie artistique sont rappelés : une fresque imposante se déroule, fouillée jusque dans les moindres détails : avec une conscience, une patience, une minutie admirables se reconstitue la pensée de Baudelaire se développant dans son milieu naturel. Certes, Baudelaire n'est pas un philosophe, mais ses articles pleins de remarques pénétrantes touchent à toutes les grandes questions de l'esthétique et les éclairent parfois d'un éclat singulier : ne signalons, pour commencer, que les idées sur la forme artistique, les caractères du beau et du comique, le mystère de la création, le sens métaphysique de l'art. L'œuvre de M. Ferran est une mine de documents et de références. Cent cinquante pages d'excellentes tables facilitent l'accès. Le plan suivi est simple. Première partie : l'auteur suggère l'atmosphère générale de l'époque et synthétise l'esthétique du poète à ses débuts : c'est ici que nous trouvons l'analyse des meilleures pages de Baudelaire sur la peinture qui résument, croyons-nous, toute son esthétique. La deuxième partie, la plus importante, met Baudelaire en face des grands auteurs dont il a subi l'influence : ce sont, comme on sait, Edgar Poe, Eugène Delacroix, Richard Wagner. M. Ferran défend la thèse que ces grands artistes ont amené Baudelaire à se découvrir plus qu'ils ne l'ont transformé. Leur influence serait plus révélatrice que créatrice. En toute hypothèse, elle est réelle et profonde..." (E. De Bruyne, Revue Philosophique de Louvain, 1936)