‎Bosc Jean: ‎
‎Mort au tyran. ‎

‎ Jean-Jacques Pauvert, 1959. In-12 broché à l'italienne, couverture décorée. ‎

Reference : 8158


‎Album de dessins imprimés en noir ou en deux tons, portrait de Bosc sous les barreaux en frontispice. L'une des pages est ajourée, incluant l'illustration suivante dans le gag. ‎

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La Bergerie
Mme Aline Berger

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‎[PROCÈS DE LOUIS XVI] GUFFROY (Armand-Benoît-Joseph)‎

Reference : 140822

‎Discours contre le sursis à l'arrêt de mort du tyran.‎

‎Paris, Imprimerie Nationale, s.d. (1793) in-8, 11 pp., dérelié. ‎


‎L'auteur était député du Pas-de-Calais.Martin et Walter, 15957. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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Phone number : 06 46 54 64 48

EUR40.00 (€40.00 )

‎[Michel LEPELLETIER] ‎

Reference : 188632

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EUR40.00 (€40.00 )

‎Citoyen POULTIER [François-Martin Poultier d'Elmotte]‎

Reference : 34070

‎Discours décadaires pour toutes les fêtes de l'année républicaine. Cinquième Livraison : Sixième Discours. ANNIVERSAIRE DE LA MORT DU TYRAN.‎

‎Paris, imprimerie des Discours décadaires, An III de la république, 32 pp, in-8 broché sans couverture, 210X135mm. Titre manuscrit en page de titre. BON ETAT.‎


‎PHOTO SUR DEMANDE.‎

Phone number : 06 34 99 23 95

EUR36.00 (€36.00 )

‎RENARD, Maurice‎

Reference : 53850

(1902)

‎[ Manuscrit autographe signé ] Page d'Histoire : [ Il évoque la mort du dauphin Louis puis continue ... ] "Et le peuple affranchi déjà de son tyran / Se souvint tout à coup des Comtes émigrants, / Douta de voir jamais leur race anéantie / Et n'osa point trouver la Libert grandie / Avec sous son pied rouge un cadavre nouveau, / Ce cadavre d'enfant et non de tyranneau. / Or, comme un meurtrier poursuivi par son crime / Voit toujours devant lui les traits de sa victime / O France qui ne fut méchante qu'une fois / Tu devrais le revoir ce fils blond de tes Rois / Et quand des imposteurs t'ont dit chacun : "Regarde!" / "Je suis Louis dix-sept ! " tu répondis, hagarde : / "Tous mes Rois sont morts, tous !" Et tu devais souffrir, / Car tu connaissais bien comme ils savaient mourir !" / 'Et c'était tout le temps et l'angoisse et la gêne / Dans cette liberté que tu goûtais à peine ! / Sans cesse on l'habillais de régimes nouveaux / Aussitôt rejetés, n'étant pas aussi beaux; / Tel un amant jaloux qui cherche avec ivresse / Les plus brillants joyaux pour parer sa maîtresse / Et n'en juge pas un digne de sa beauté, / Tel, le peuple, voulant orner la Liberté / Lui mit le Consulat après le Directoire / Et trouvant tour à tour chaque robe trop noire, / Chaque gouvernement trop étroit ou trop laid, / Enfin croyant trouver celui-là qu'il fallait / La força d'embrasser un vêtement, le pire / Et lui meurtrit le cou dans ce carcan : l'Empire / Mais nul ne supposa que son avènement / Sonnait pour nos aïeux l'heure du châtiment. / [ ... ] "Et la France partit dans la gloire au trépas ! / Et la France mourut ne s'apercevant pas / Qu'elle payait ainsi quelque dette divine, / Qu'un sabre châtiait alors la guillotine / Et que livrant à l'Aigle un par un tous ses fils / L'Aigle en les dévorant vengeait la fleur de Lys".‎

‎4 pages autographes de 49 vers signés sur 2 feuillets in-4 (avec deux repentirs), avec mention à l'encre, d'une autre main, en bas de la dernière page : "Paris Bd Saint Germain 1902" : Nous en livrons une transcription partielle : [ Manuscrit autographe signé ] Page d'Histoire : [ Il évoque la mort du dauphin Louis puis continue ... ] "Et le peuple affranchi déjà de son tyran / Se souvint tout à coup des Comtes émigrants, / Douta de voir jamais leur race anéantie / Et n'osa point trouver la Liberté grandie / Avec sous son pied rouge un cadavre nouveau, / Ce cadavre d'enfant et non de tyranneau. / Or, comme un meurtrier poursuivi par son crime / Voit toujours devant lui les traits de sa victime / O France qui ne fut méchante qu'une fois / Tu devrais le revoir ce fils blond de tes Rois / Et quand des imposteurs t'ont dit chacun : "Regarde!" / "Je suis Louis dix-sept ! " tu répondis, hagarde : / "Tous mes Rois sont morts, tous !" Et tu devais souffrir, / Car tu connaissais bien comme ils savaient mourir !" / 'Et c'était tout le temps et l'angoisse et la gêne / Dans cette liberté que tu goûtais à peine ! / Sans cesse on l'habillait de régimes nouveaux / Aussitôt rejetés, n'étant pas aussi beaux; / Tel un amant jaloux qui cherche avec ivresse / Les plus brillants joyaux pour parer sa maîtresse / Et n'en juge pas un digne de sa beauté, / Tel, le peuple, voulant orner la Liberté / Lui mit le Consulat après le Directoire / Et trouvant tour à tour chaque robe trop noire, / Chaque gouvernement trop étroit ou trop laid, / Enfin croyant trouver celui-là qu'il fallait / La força d'embrasser un vêtement, le pire / Et lui meurtrit le cou dans ce carcan : l'Empire / Mais nul ne supposa que son avènement / Sonnait pour nos aïeux l'heure du châtiment. / [ ... ] "Et la France partit dans la gloire au trépas ! / Et la France mourut ne s'apercevant pas / Qu'elle payait ainsi quelque dette divine, / Qu'un sabre châtiait alors la guillotine / Et que livrant à l'Aigle un par un tous ses fils / L'Aigle en les dévorant vengeait la fleur de Lys".‎


‎Beau poème autographe signé de Maurice Renard (1875-1939), l'écrivain à succès de nombreux romans fantastiques et de science-fiction, parmi lesquels le célèbre ouvrage "Les Mains d'Orlac". Dans le présent poème manuscrit, il évoque la mort tragique du dauphin Louis-Charles de France (1785-1795), connut comme "Louis XVII", et le poids de ce crime sur la conscience de la Nation... Bon tat (petites fentes en pliures)‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR390.00 (€390.00 )

‎Collectif‎

Reference : R300326720

(2017)

‎Les journaux de guerre 1939-1945 - n°76 - 5 mars 1953 : Staline est mort - Un rapport au tyran ambivalent : tous fils du père - D'une guerre à l'autre : Staline en héritage - Staline et les petits chats - Guerre de succession : l'avènement de Nikita Khrou‎

‎CEGES/BNF. 2017. In-Folio. En feuillets. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 4 pages environ - nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans le texte + avec des documents en fac-similé. Texte sur plusieurs colonnes.. . . . Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945‎


‎Sommaire : 5 mars 1953 : Staline est mort - Un rapport au tyran ambivalent : tous fils du père - D'une guerre à l'autre : Staline en héritage - Staline et les petits chats - Guerre de succession : l'avènement de Nikita Khrouchtchev - Lisez : L'humanité du samedi 7 mars 1953 ; Le monde du samedi 7 mars 1953 ; Le populaire de Paris du jeudi 5 mars 1953 Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945‎

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