Genève, Jaeger, sans date. In-8 broché à l'italienne, couverture couleurs. 16 vues photographiques en noir. Quelques rousseurs.
Reference : 23265
La Bergerie
Mme Aline Berger
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Reference : 85915
Fascicules reliés en un unique volume, bradel papier, environ 22x14cm, pièce de titre manuscrite, reliure frottée par endroits, table des titres manuscrite sur la page de garde, sinon intérieur propre.
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Album in-4° oblong , demi-chagrin noir de l' époque, plats de toile noire, titre doré "Souvenir 1863" au 1er plat. Ensemble de 19 lithographies en couleurs contrecollées sur les feuillets de l'album, chez différents éditeurs et imprimeurs.
Chez Frédéric Margeron, Editeur à Genève , 4 vues de 9,7 X 14,5 cm hors marges : 3 vues de Genève ( Grand Hotel Quai de l' Ecu, le Jardin anglais et l' Hotel Métropole, Du Quai du Mont-Blanc) et 1 vue de Chillon ( Lac de Genève). - / - Imprimerie Lermercier à Paris, Briquet et Fils à Genève, 13 vues Lithographies de Cuvillier : environ 8,5 X 11, 5 ou 12 cm hors marges : Evian ( Lac de Genève) - Coppet ( Lac de Genève) - Bex (Canton de Vaux) - Ile Rousseau (Quais des Berques et du Mont-Blanc à Genève) - Thonon ( Lac de Genève) - Chamouni et le Mont-Blanc - Lausanne et l' Hotel Beaurivage à Ouchy - Le Mont-Blanc vu du Jardin ( Chamouni) - Chillon ( Lac de Genève) - Villeneuve ( lac de Genève)- Meillerie ( Lac de Genève)- Louesch ( valais) - Hotel Byon près Chillon - / -Chez Krauer Lithographe à Genève : Le Chateau des Allinges dessiné d'après nature et lithographié par Lips( 10, 5 X 16,5 cm hors marges). - / - Anonyme : Morges et Chateau de Vuflens ; 8,5 X 12 cm hors marges) . Reliure passée, rares piqûres,.( Reu-CH1 )
[SUISSE - GENÈVE] M. F. ROCH COMMISSAIRE INSPECTEUR DE POLICE A GENÈVE
Reference : 26971
(1871)
Genève 1871 une carte préimprimée en noir et manuscrite à l'encre brune dans un encadrement d'un filet imprimé en noir sur papier crème , format : 9 x 13,5 cm, côté pile : carte signée et datée par M. F. ROCH COMMISSAIRE INSPECTEUR DE POLICE A GENEVE avec un tampon rond : "commissaire de Police du 2ème arrondissement - Canton de Genève", département de Justice et Police, au dos : écrit à ,la mine de plomb : Prolongation de séjour prolongé de 24 Heures , signature illisible, GENEVE M. F. ROCH COMMISSAIRE INSPECTEUR DE POLICE LE 2 FEVRIER 1871,
bel Exemplaire RARE ..en trés bon état (very good condition). en trés bon état NOUS SOMMES EN CONGÉ DU 29 AVRIL 2025 AU 13 MAI 2025 merci de votre compréhension!
Ensemble de 6 pièces reliées en un volume in-8 (195 x 122 mm), plein veau marbré de l'époque, dos à 5 nerfs orné de compartiments fleuronnés et cloisonnés, pièce de titre de veau orange, roulette sur les coupes, tranches rouges.
Recueil factice, peut-être unique, réunion à l'époque des premières uvres de Rousseau, premières éditions comme réimpressions, qui serait une première tentative du libraire parisien Pissot pour offrir une édition collective des écrits du "citoyen de Genève". Par la suite, dès 1756, Pissot fit paraître un recueil désigné comme tel ("Oeuvres diverses de Mr. Jean Jaques [sic] Rousseau citoyen de Genève, Chez Pissot, quai de Conti") légèrement différent dans sa composition que celui-ci, sous page de titre générale, accompagné d'une table des pièces (cf. Bibliothèque de Genève, OCLC, 718016431 et Dufour, n°366 sans détail).Pour le détail des pièces contenues ici:1- Troisième édition en 63 pages, parue l'année de l'originale, à sa suite du "livre qui rendit Rousseau célèbre"; son succès foudroyant propulsa le Citoyen de Genève sur lavant-scène de la République des Lettres. Elle est illustrée de la même planche frontispice que celle du premier tirage, gravée par Ch. Baquoy: "Satyre, tu ne le connais pas".Selon Rousseau ("Confessions", livre VIII), Diderot remit "gratuitement" le manuscrit à son libraire parisien Pissot pour impression. Louvrage parut sous la fausse adresse de Barrillot à Genève peut être à la demande de Rousseau qui souhaitait laccorder avec le titre de "Citoyen de Genève" quil se donnait ici pour la première fois (cf. Sénelier, p. 57-58). Gagnebin (O.C. éd. de la Pléiade) souligne que ce tirage qui corrige un certain nombre de fautes typographiques est meilleur que les précédents. (Dufour, n°14. Gagnebin, I, n°3, p. 1855-1856).2- Edition originale. Vignette de titre, lettrine et bandeau (signé : "N" = Nioul) gravés sur bois. (Conlon, Ouvrages relatifs à J.J. Rousseau, n°2).3- Edition originale de la réponse de Rousseau à la brochure de Stanislas Leszczynski (cf. ci-dessus). Bien complet du feuillet blanc final. (Dufour, n°23). 4- Édition originale de cette réfutation en règle du discours de Rousseau présentée par Charles Borde devant lacadémie de Lyon. La "réponse" de Rousseau figure, sous faux-titre particulier, à partir de la page 61. (Conlon, n°5. Dufour, n°24).5- Edition originale. Borde revient à la charge, dans ce "second discours" lu à l'académie de Lyon les 1er et 31 août 1752. "Le Lyonnais avait compris que le Discours de Rousseau ne relevait pas du paradoxe, mais d'un système concerté dont on commençait à entrevoir l'ampleur" (R. Trousson, 'J.J. Rousseau jugé par ses contemporains', p. 29). (Conlon, n°10).6- Deuxième édition, quasi identique à la rarissime originale (cf. Gagnebin). Rousseau composa cette comédie à l'âge de 18 ans et la fit jouer en décembre 1752 par les comédiens du Roi, sans succès. Il accompagne le texte de la pièce dune importante nouvelle préface dans laquelle il relate les conditions de sa rédaction et revient sur sa thèse concernant linfluence des Sciences et des Arts sur les murs, pour compléter, préciser et se justifier devant la critique. Rousseau avait toujours manifesté un intérêt particulier pour cette pièce, "sorte de miroir du moi profond de son auteur". (Dufour, n°53. Gagnebin, II, B, p. 1979).Infime trace de restauration à la reliure.Bel exemplaire, grand de marges, très frais, bien relié à l'époque.
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Chambéry, Geoffroy Dufour, [1611]. In-12 de (6)-219 pp., 1 f.bl., maroquin rouge, dos à nerfs, dentelle intérieure, tranches dorées sur marbrure (Hardy).
Édition originale de la plus grande rareté. Premier tirage non daté en 219 pages chiffrées à l'adresse de Geoffroy Du Four à Chambéry dont l'épître dédicatoire est signée avec les initiales V.E.I.H.D.F. (Valet Et Imprimeur Du Four) distinct du second tirage daté 1611 en 223 pages chiffrées.Un des premiers témoignages de l'établissement de la Réforme à Genève établi par la soeur Jeanne de Jussie (Jussy 1503 - Annecy 1561), savoyarde qui y voyait une révolte organisée par les Suisses contre la Maison de Savoie. « En 1521, elle entre au couvent des clarisses de Genève et en est bientôt l'écrivain. En août 1535, les religieuses quittent la ville pour se réfugier à Annecy, au couvent de Sainte-Croix. En 1548, J. devient la septième abbesse de la communauté, charge qu'elle exerce jusqu'à sa mort. Elle entreprend, probablement en 1535, de rédiger une Petite Chronique, qu'elle achève entre 1541 et 1546. Le texte, remanié sur le fond et la forme, est publié pour la première fois à Chambéry en 1611, sous le titre Le Levain du calvinisme ou commencement de l'hérésie de Genève. La chronique s'ouvre sur la combourgeoisie signée par Genève en 1526 avec Berne et Fribourg. J. traite ensuite des événements de 1530, puis des débuts de la Réforme dans la ville, de la tension grandissante entre catholiques et réformés aboutissant à la violence et à l'iconoclasme, de la pression de Berne sur les autorités genevoises pour passer à la nouvelle foi. Bien informée malgré la clôture, J. devient témoin oculaire lorsque la foule fait irruption dans son couvent en août 1535. Elle expose les menaces contre les soeurs, les semaines d'angoisse qu'elles vivent avant de recevoir des syndics l'autorisation de quitter la ville, enfin le voyage Genève-Annecy. Pressée par les "hérétiques" (dont Marie Dentière qu'elle tient en abomination) d'abandonner la vie religieuse, J. s'y refuse véhémentement. Horrifiée par les pratiques des protestants, J. reste fidèle à ses croyances, attribuant par exemple sa guérison en 1535 à saint Romain. La chronique fait revivre des années cruciales pour Genève et donne un bon éclairage du parti catholique et pro-Savoie » (Lucienne Hubler, Dictionnaire historique de la Suisse).Imprimé à Chambéry peu après la Guerre de Savoie, Le Levain du calvinisme est également « un document précieux pour l’histoire de la langue française en Suisse. Outre le fait qu’il s’agit du premier texte du corpus de la littérature romande rédigé par une femme, (il) nous apporte des informations utiles sur le français écrit à Genève au XVIe siècle » (Sara Cotelli). Saint-Réal le réimprima en 1689 sous le titre Relation de l'apostasie de Genève ; une réimpression sous son premier titre parut en 1853.Bel exemplaire. Traces brunes légères sur la reliure.Brunet (III, 603) confond la date de rédaction du manuscrit (1535) avec sa première édition ; Dufour, L'Imprimerie, les imprimeurs et les libraires en Savoie du XVe au XIXe siècle, p. 82 : « C'est l'édition princeps de ce livre » ; Desgraves. Répertoire des ouvrages de controverse entre catholiques et protestants en France (1598-1685), n°1274 ; Paul-F. Geisendorf, Bibliographie raisonnée de l'histoire de Genève, des origines à 1798 (1966), n°4176 ; Sara Cotelli, La Petite chronique de Jeanne de Jussie et le français régional de Genève à l'aube du XVIe siècle, étude lexicale in Vox romanica (2007). Un exemplaire incomplet du second tirage (daté) à la B.N.F.