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‎Saint Germain‎

‎La Pierre Qui Vire Zodiaque 1960 In-8 Broché Très bon ‎

Reference : 006457


‎Brochure agrafée à la couverture de papier gris illustré en bleu-vert ; 64pp dont 8ff de planches photos HT en noir et blanc (16 ill) ; Il s'agit du N°45 de la collection "Les cahiers du coeurs meurtris", avril 1960 ; publié par les éditions "zodiaque" ; le dossier principal a pour objet l'oratoria de Georges Migot Saint Germain d'Auxerre ‎

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Au Point du Jour
M. Gildas Collignon
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‎André-Georges Legrand (1665-ap.1736), seigneur des Alluets, conseiller du Roy, Président Prévost, Lieutenant général de Police de Saint-Germain-en-Laye, Saint Léger, Le Pecq, Achères et dépendances‎

Reference : 002153

‎Important document manuscrit daté de 1736, 24p, sur Saint-Germain-en-Laye‎

‎In-4, 24p sur peau de vélin. Cachets de la généralité de Paris. Le document mentionne différents personnages des Yvelines. On y retrouve Jean Baldé, vinaigrier à Saint Germain, Jacques Lefevre, boulanger à Saint-Germain et sa femme Catherine Jamme, demeurant rue de Louviers à Saint-Germain-en-Laye (à 2 pas du château). Lefevre et Jamme se sont mariés le 23 octobre 1730 à Saint-Germain. Il est question d'une somme de 200 livres que le couple doit à Baldé mais refuse de payer. Il est fait ensuite mention de maisons appartenant à René Le Breton, après la porte de Poissy, d'une maison appartenant à Pierre Allin, incendiée. Le couple Lefevre les aurait acquises aux enchères et il est question de saisir le couple Lefevre, qui doit payer 6450 livres pour la maison de René Le Breton. Il est aussi fait mention de la rue de Poissy et de la maison du Soleil d'Or, qui était semble-t-il une auberge à l'époque. Le document est signé, vraisemblablement par le greffier qui l'a copié. Document judiciaire important par les petits détails qu'il apporte sur la vie de Saint-Germain-en-Laye, à découvrir. ‎


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Phone number : +33 6 30 94 80 72

EUR450.00 (€450.00 )
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‎Saint Germain en Laye Enchères Alain Schmitz et Frédéric Laurent‎

Reference : 1103325

‎Saint Germain en Laye Enchères. 18 octobre 2009. Le voyage.‎

‎Saint Germain en Laye, Saint Germain en Laye Enchères Alain Schmitz et Frédéric Laurent, 2009 in-4, 65 pages, illustrations, 420 lots. Broché, bon état.‎


‎Saint Germain en Laye Enchères. 18 octobre 2009. Le voyage. (Saint Germain en Laye, Saint Germain en Laye Enchères Alain Schmitz et Frédéric Laurent, 2009) [M.C.: catalogue de vente / auction catalogue, beaux-arts, bibliophilie, voyage, orientalisme, africanisme]‎

EUR20.00 (€20.00 )

‎SAINT-GERMAIN .//. Claude-Louis-Robert, comte de Saint-Germain (1707-1778).‎

Reference : 9100

(1789)

‎Correspondance particulière du Cte de Saint-Germain,... avec M. Paris Du Verney,... On y a joint la Vie du Cte de Saint-Germain [par le général de Grimoard] et plusieurs pièces qui le concernent.‎

‎Londres, sn , 1789, 2 tomes en 1 volume, petit in-8, relié, VI-232 p. / 281 p.. Quelques notes en bas de pages. Reliure d'époque, demi basane fauve clair, dos lisse avec caissons et fleurons dorés, pièce de titre noire, coiffe supérieure manquante, petite usure aux coins, déchirure avec manque de texte à la page265/266 du tome 2, petites rousseurs.‎


‎Claude-Louis-Robert, comte de Saint-Germain, né le 15 avril 1707 au château de Vertamboz (Jura) et décédé le 15 janvier 1778 à Paris, est un militaire et homme d'État français. A ne pas confondre avec le comte de Saint-Germain, l'immortel médium mystique, dont on n'a plus de nouvelles depuis fort longtemps. Bon état. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).‎

Yves Oziol - Clermont-Ferrand

Phone number : 04 73 91 84 71

EUR80.00 (€80.00 )

‎VIAN Boris‎

Reference : 84063

(1948)

‎Ensemble complet du manuscrit et du tapuscrit de la chanson de Boris Vian intitulée "Les gens de Saint-Germain"‎

‎S.n., s.l. s.d. (1948-1949), 31x20cm, 16,5x11cm et 20,7x26,7cm, 3 feuillets.‎


‎L'hymne tabou du maître des zazous Secrète et précoce chanson, à l'écriture hâtive et aux nombreuses ratures, sans doute écrite sur le coin de table d'un caveau, hommage aux troglodytes célèbres et aux zazous anonymes de Saint-Germain-des-Prés - Un feuillet à carreaux perforé rédigé par Boris Vian à l'encre bleue, nombreuses ratures et corrections, quelques déchirures marginales. Ce feuillet est plié en trois, comme s'il s'agissait de la maquette d'un tract. En tête du feuillet, quelques essais manuscrits de la main de Vian confirment que ce texte était peut-être destiné à devenir l'hymne d'un cercle de germanopratins : « CLAC : Cercle Littéraire des amis des caves / Cercle libre des amateurs de cuisse. » Au verso de ce feuillet, des notes manuscrites de Vian probablement en vue d'animer ce cercle qui ne fut, à notre connaissance, jamais créé : « Tableau d'affichage - signé le troglodyte de la semaine [...] Manifestes à faire signer toutes les semaines. » -Un papillon perforé prélevé sur un feuillet de cahier d'écolier reprenant la strophe « Pour venir au Tabou » et la suivante, également de la main de Boris Vian. La première strophe n'apparaît pas dans son intégralité sur le feuillet principal. Une trace d'adhésif au verso. -Un feuillet perforé tapé à la machine, mise au propre du manuscrit. En bas à droite, la date « 1948-1949 » est indiquée. Cette chanson - une des toutes premières de Vian - est un véritable hymne germanopratin, qui ne fut jamais interprétée hors des caveaux.Il préfigure le fameux Manuel de Saint-Germain-des-Prés qui ne paraîtra qu'en 1974. Elle fut retranscrite, avec les strophes dans un ordre différent, dans le tome 11 des uvres complètes de Boris Vian consacré à ses chansons, mais certains vers barrés de notre manuscrit demeurent bien lisibles et inédits : « Quand on n'sait pas danser / Il vaut mieux s'en passer ». Alexandre Astruc, cité à deux reprises dans la chanson, témoigne dans ses mémoires de la création de celle-ci : « Je dois reconnaître qu'en dépit de l'alcool qu'on pouvait y ingurgiter, je n'aimais pas vraiment les caves, ni les pitreries de Vian, auquel je reconnaissais pourtant un réel talent de pasticheur et de pince-sans-rire. Il avait écrit une chanson très drôle sur les cocktails que donnait Gaston Gallimard chaque premier vendredi du mois. Tout ce que la littérature française comptait de plus sérieux s'y retrouvait, cul par-dessus tête, les jambes des femmes battant l'air dans leurs jupes new-look, sur l'herbe tendre des pelouses de Gaston, tant le préposé à la boisson, un homme rougeâtre du nom de Bitodos, avait coutume de forcer sur la dose d'alcool. En voici, autant que je m'en souvienne les paroles édifiantes : « Et le vendredi soir / On va chez Gallimard / On mang' des pt'its gâteaux / Offerts par Bitodos / Et l'on voit Jean Genet / qui se fait... enculer / Tandis que sur l'gazon / Astruc rend son gougeon... » (A. Astruc, La tête la première, 1975). Cette mention précise de l'impertinente chanson dans ses souvenirs des caveaux parisiens prouve qu'Astruc a entendu Vian l'interpréter, sans doute même à plusieurs reprises. La mémoire d'Astruc n'est pourtant pas tout à fait exacte et la chanson de Boris Vian, bien au-delà de l'évocation des garden-parties de Gaston Gallimard, constitue un véritable hommage au mode de vie germanopratin, alors en péril. Cette chanson grivoise fut en effet rédigée aux derniers souffles du Tabou, célébrissime club-cave fondé en 1947 où Boris Vian régnait en maître, entouré d'autres illustres personnalités citées dans ce tableau : « Les gens de Saint-Germain S'amusent comme des gamins ls lisent du Jean-Paul Sartre En mangeant de la tartre. » Deux strophes rendent hommage à la mythique cave de la rue Dauphine : « Pour venir au Tabou Faut être un peu zazou Faut porter la barbouze Et relever son bénouze - Dans une ambiance exquise On mouille sa chemise Et quand y'a trop d'pétard Ça finit au mitard » tandis que deux autres évoquent l'avenir des zazous : « Mais quand nous serons vieux Tout ira bien mieux On s'paiera des p'tites filles Pour s'occuper la quille - Et on viendra toujours Fidèle a ses amours Au Cercle Saint-Germain Pour y voir des gens bien. » Cette nouvelle évocation du « Cercle » adjointe aux annotations « clac » en tête du feuillet peuvent laisser supposer que Vian souhaiter créer un collectif qui survivrait au-delà du Tabou. Quoi qu'il en soit, à l'époque de la création de cet hymne aux « gens de Saint-Germain », naît le Club Saint-Germain, nouvelle cave plus « select » que son aînée qui deviendra la première scène jazz de Paris. Provenance : Fondation Boris Vian. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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EUR4,000.00 (€4,000.00 )

‎CAMPARDON (Emile).‎

Reference : 122918

(1970)

‎Les Spectacles de la foire : théâtres, acteurs, sauteurs et danseurs de corde, monstres, géants, nains, animaux curieux ou savants, marionnettes, automates, figures de cire et jeux mécaniques des Foires Saint-Germain et Saint-Laurent, des Boulevards et du Palais-Royal, depuis 1595 jusqu'à 1791: Documents inédits recueillis aux Archives Nationales.‎

‎ Genève, Slatkine Reprints, 1970, 2 vol. in-8°, xlviii-405 et 511 pp, reliure pleine toile verte, dos lisse avec titres dorés, bon état. Réimpression de l'édition de Paris, 1877‎


‎"On ne saurait sans injustice refuser à M. Emile Campardon l'honneur d'avoir ouvert une source entièrement nouvelle à l'étude des deux derniers siècles. Cette source, ce sont les archives des commissaires au Châtelet, supprimés en 1791 et obligés, par la loi du 5 germinal an V, de déposer leurs papiers aux Archives Nationales. Ces papiers constituent aujourd'hui une partie importante de la série Y (Châtelet de Paris) et forment 5,303 liasses numérotées qui vont de 1595 à 1791. L'ancienne administration française, surtout celle qui a précédé immédiatement la Révolution, est aujourd'hui si peu connue, même des érudits, que quelques-uns de nos lecteurs ne seront peut-être pas fâchés d'apprendre en quoi consistaient les fonctions des commissaires au Châtelet. M. Campardon a pris soin dans sa préface de satisfaire une curiosité aussi légitime. Les magistrats dont il s'agit avaient les attributions des commissaires de police actuels et remplissaient de plus, en diverses circonstances, les fonctions exercées aujourd'hui par nos juges de paix. En matière criminelle, ils faisaient les informations sur l'ordonnance du lieutenant-général de police et les interrogatoires des accusés, décrétés d'ajournement personnel. En matière civile, ils apposaient les scellés après décès, faillite ou interdiction. (...) Enfin, ils se rendaient en personne sur les marchés, et avaient à tour de rôle la police des foires Saint-Germain, Saint-Laurent, Saint-Ovide et Saint-Clair. Comme beaucoup des pièces publiées par M. Campardon sont des procès-verbaux dressés à l'occasion de ces foires, il importe de dire quelques mots de ces assises annuelles du commerce et aussi des divertissements, qui ont tenu une si grande place dans l'histoire de Paris, au moyen âge et même dans les temps modernes. Mentionnée pour la première fois pendant la seconde moitié du XIIe siècle, déplacée par Louis XI au mois de mars 1482, la foire Saint-Germain, dont la durée avait plusieurs fois varié durant cet intervalle, s'ouvrait au XVIIIe siècle le 3 février et se fermait le dimanche de la Passion. Postérieure d'un siècle et demi par sa fondation à la foire Saint-Germain, la foire Saint-Laurent s'ouvrait ordinairement au dernier siècle le 9 août, veille de la fête de ce saint, et finissait le 29 septembre, jour de la Saint-Michel. Après s'être tenue primitivement entre Paris et le Bourget, elle avait fini par se rapprocher de l'église Saint-Laurent, et dans les derniers temps elle était installée sur les terrains occupés aujourd'hui par les bâtiments du chemin de fer de l'Est. Quant à la foire Saint-Ovide, l'origine en remonte seulement à 1665, année où Charles, duc de Créquy, pair de France, qui affectionnait beaucoup les Capucines de la place Vendôme, fit présent à ces religieuses du corps de saint Ovide exhumé des Catacombes. Depuis cette année, pendant l'octave de la fête de ce saint, qui se célébrait le 31 août, un concours immense de peuple venait honorer les reliques. Cette affluence s'accroissant de plus en plus, on avait construit en 1764 des loges de charpente pour les marchands tout au pourtour de la place Vendôme. Cette foire, qui se tenait du 14 août au 15 septembre, avait pris ainsi tout à coup un développement considérable qu'augmenta encore sa translation à la place Louis XV, où elle resta de 1771 à 1777, époque où elle fut incendiée. Enfin, une quatrième foire, la foire Saint-Clair, qui s'ouvrait le 18 juillet et durait huit jours, se tenait le long de la rue Saint- Victor. C'est seulement à la fin du XVIe siècle qu'on voit apparaître aux foires Saint-Germain et Saint-Laurent ces représentations de troupes ambulantes, ces théâtres forains, d'un ordre plus ou moins inférieur, qui ont fourni à M. Campardon la matière principale de son livre. L'histoire de ces théâtres funambulesques n'intéresse véritablement l'art dramatique qu'à partir des dernières années du XVIIe siècle. Les comédiens italiens ayant été expulsés au mois de mai 1697 par Louis XIV, les entrepreneurs forains se portèrent leurs héritiers de fait et de droit et s'emparèrent de leur répertoire. Ainsi naquit, au prix d'une lutte acharnée et sans cesse renaissante contre les prétentions rivales de la Comédie française et de l'Académie royale de musique, un genre nouveau, l'Opéra-Comique, qui compta parmi ses fournisseurs Lesage, Panard, Sedaine, et qui vit éclore le talent si français de la plus touchante comédienne du XVIIIe siècle, de Justine Favart. Toutefois, on se tromperait étrangement si l'on s'imaginait que l'ouvrage dont nous rendons compte apporte seulement un appoint considérable à l'histoire des théâtres parisiens. Cet ouvrage mérite aussi au plus haut degré d'attirer l'attention du moraliste. Les Français et surtout les Parisiens, contemporains de Louis XV, ont offert au monde ce spectacle, plus intéressant encore, nous en demandons pardon au savant archiviste, que les spectacles de la foire, d'une société dont la tête se pique de ne croire à rien, excepté à l'esprit, au plaisir et à la sociabilité la plus raffinée. C'est un fait que nous constatons ici simplement. Le livre de M. Campardon nous permet de saisir sur le vif, dans un raccourci aussi exact que pittoresque, les conséquences pratiques de ce fait dominant..." (Siméon Luce, Bibliothèque de l'École des chartes, 1877) ‎

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