José Germain (1884-1964), écrivain. L.A.S., 15 septembre 1933, 1p in-8. A l'écrivain Jean Ajalbert (1863-1947). « Bien Cher Ami, Après le Congrès des Intellectuels du Centre, je rentre le 20 à Paris. Et comme ma femme ne rentre que le 25, entre ces deux dates, je m'arrangerai pour filer à Beauvais afin de bavarder de votre chef-d'oeuvre, de visiter la manufacture et de déguster la cuisine dirigée de Madame Finebranche. Quelle joie de vous revoir ! Dès que je me sens isolé de mes amis, je m'ennuie. Mes hommages à Madame Ajalbert. Votre tout dévoué. José Germain ». [386]
Reference : 016713
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1 lettre autographe signée (1 page in-12), adressée à Jean Ajalbert. Larguier lui confirme un jury à 7 au lieu de 10 (Ponchon, Ajalbert, Daudet, Neveux, Chérau, Rosny aîné et lui).
1 lettre autographe signée (2 pages en 1 feuillet in-12), adressée à Jean Ajalbert. Hennique lui précise que sa santé risque de l’empêcher d’être présent aux délibérations du jury 1912
Paul Ginisty (1855-1932), écrivain, journaliste. 4 L.A.S., ca.1925, 4p. A l'écrivain Jean Ajalbert (1863-1947). Félicitations (probablement pour la Légion d'honneur en 1925) et remerciements. Une lettre à une petite note autographe d'Ajalbert. [387]
Pierre Brisson (1896-1964), journaliste. 5 L.A.S.,ca.1929, 7p in-8 & in-12. A l'écrivain Jean Ajalbert (1863-1947). Intéressant ensemble autour de la publication des souvenirs d'Ajalbert sur l'Académie Goncourt dont les Annales publieront des extraits. Une note autographe d'Ajalbert indique le titre de son livre : Les Mystères de l'Académie Goncourt. [387]
Henry Gauthier-Villars dit Willy (1859-1931), écrivain, journaliste.
Reference : 017284
Henry Gauthier-Villars dit Willy (1859-1931), écrivain, journaliste. L.A.S., Genève, 26 novembre 1919, 1p in-8. A l'écrivain Jean Ajalbert (1863-1947). « Cher Ajalbert, Tes lignes émouvantes, sur Paris, m'ont remis en mémoire un passage du pleutre [Anton] Frendrich, socialo domestiqué, qui fit un voyage sans danger sur le front "Mit dem Auto" et raconta ce qu'on lui fit voir dans une brochure infiniment prétentieuse (30 000 exemplaires vendus) dont j'ai rendu compte dans le Mercure. Cet animal parle , gracieusement, de Garros ; je traduis : "Un petit monsieur élégant, 25 ans environ, nez en bec d'oiseau de proie, l'air plus espagnol que français. il affirme au major W que le gouvernement français donnerait volontiers plusieurs millions pour obtenir qu'on le mette en liberté." Ce Fendrich est un lâche baveux. Ton vieil ami Willy ». Anton Fendrich avait en effet publié à Stuttgart une brochure intitulée « Mit dem Auto an der Front : Kriegserlebnisse » (Stuttgart, Franckh, 1918). Jolie lettre. [110]