Pierre Mille (1864-1941), écrivain, journaliste. L.A.S., 6 janvier 1921, 2p in-12. A l'écrivain Jean Ajalbert (1863-1947). « Mon cher ami, Il a été décidé que le prix colonial serait décerné dans le courant de février. Comme vous êtes le seul membre du jury hors de Paris, le plus rare, par conséquent, dans cette Babylone, et d'autre part l'un de ceux dont la présence et l'avis seront le plus nécessaire, je viens vous demander de désigner vous-même le jour qui vous dérangerait le moins dans ce mois de février, la réunion devant avoir lieu vers quatre heures, chez moi. C'est ce jour-là que je notifierai aux autres jurés. Charles Pettit est sur les rangs. Je vous le recommande. Il me parait avoir du talent. Toutes mes meilleures amitiés. Pierre Mille ». Sympathique courrier. [383]
Reference : 016604
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1 lettre autographe signée (1 page in-12), adressée à Jean Ajalbert. Larguier lui confirme un jury à 7 au lieu de 10 (Ponchon, Ajalbert, Daudet, Neveux, Chérau, Rosny aîné et lui).
Paul Ginisty (1855-1932), écrivain, journaliste. 4 L.A.S., ca.1925, 4p. A l'écrivain Jean Ajalbert (1863-1947). Félicitations (probablement pour la Légion d'honneur en 1925) et remerciements. Une lettre à une petite note autographe d'Ajalbert. [387]
1 lettre autographe signée (2 pages en 1 feuillet in-12), adressée à Jean Ajalbert. Hennique lui précise que sa santé risque de l’empêcher d’être présent aux délibérations du jury 1912
Pierre Brisson (1896-1964), journaliste. 5 L.A.S.,ca.1929, 7p in-8 & in-12. A l'écrivain Jean Ajalbert (1863-1947). Intéressant ensemble autour de la publication des souvenirs d'Ajalbert sur l'Académie Goncourt dont les Annales publieront des extraits. Une note autographe d'Ajalbert indique le titre de son livre : Les Mystères de l'Académie Goncourt. [387]
Henry Gauthier-Villars dit Willy (1859-1931), écrivain, journaliste.
Reference : 017284
Henry Gauthier-Villars dit Willy (1859-1931), écrivain, journaliste. L.A.S., Genève, 26 novembre 1919, 1p in-8. A l'écrivain Jean Ajalbert (1863-1947). « Cher Ajalbert, Tes lignes émouvantes, sur Paris, m'ont remis en mémoire un passage du pleutre [Anton] Frendrich, socialo domestiqué, qui fit un voyage sans danger sur le front "Mit dem Auto" et raconta ce qu'on lui fit voir dans une brochure infiniment prétentieuse (30 000 exemplaires vendus) dont j'ai rendu compte dans le Mercure. Cet animal parle , gracieusement, de Garros ; je traduis : "Un petit monsieur élégant, 25 ans environ, nez en bec d'oiseau de proie, l'air plus espagnol que français. il affirme au major W que le gouvernement français donnerait volontiers plusieurs millions pour obtenir qu'on le mette en liberté." Ce Fendrich est un lâche baveux. Ton vieil ami Willy ». Anton Fendrich avait en effet publié à Stuttgart une brochure intitulée « Mit dem Auto an der Front : Kriegserlebnisse » (Stuttgart, Franckh, 1918). Jolie lettre. [110]