‎Gabriel Bigault de Boureuille (1807-1893), polytechnicien, secrétaire général du ministère de l'agriculture, proche d'Eugène Rouher.‎
‎Lettre signée‎

‎Gabriel Bigault de Boureuille (1807-1893), polytechnicien, secrétaire général du ministère de l'agriculture, proche d'Eugène Rouher. L.S., Paris, 11 septembre 1867, 1p in-folio. Au chimiste et agronome Georges Ville (1824-1897). Lettre circulaire annonçant à Ville qu'il a été choisi pour faire partie de la députation aux obsèques du médecin Pierre Rayer, mort la veille. [291] ‎

Reference : 013036


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‎[s.n.] - ‎ ‎Service Central de l'Ingénieur en Chef Compagnie des Chemins de fer de l'Est ; SAUVAGE ; DIETZ, David‎

Reference : 56071

(1870)

‎[ Dossier de 11 courriers manuscrits adressés à David Dietz, chef d'atelier : La Compagnie des Chemins de Fer de l'Est aux débuts de la Guerre franco-allemande de 1870 ] I : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 20 juillet 1870, précisant le rôle de leurs services et l'organisation des Corps Francs des Chemins de fer. M. Dietz est nommé dans ce cadre chef du matériel roulant, 2 pp. ; II : Lettre de nomination à ce poste signée du Directeur de la Compagnie M. Sauvage, 1 p. ; III : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 30 juillet 1870 ; IV : Copie manuscrite de la décision de nomination d'un second, M. Doré ; IV : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 30 juillet 1870 à M. Dietz, précisant les "divers travaux ou fournitures qu'exigent les transports militaires" qui sont de deux sortes, "les uns qui restent à la charge de la Compagnie, tels que confections de strapontins... les autres directement demandés par l'autorité militaire et restant à la charge de l'Etat" ; V : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 2 août 1870 à M. Dietz, approuvant notamment les hamacs installés par Dietz [ pour le confort des blessés ] ; VI : Copie conforme signée par Vuillemin d'une réquisition de l'Armée du Rhin ; VII : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 3 août 1870, évoquant la livraison de bidons, d'urinoirs et de deux modèles de hamacs ; VIII : Lettre à en-tête de l'Exploitation de la Compagnie, datée du 4 août 1870 "J'ai immédiatement adressé à Messieurs les médecins de la Cie de l'Est une circulaire pour les inviter à prêter leur concours tant pour le transport que pour la visite des blessés de l'armée" ; IX : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 4 août 1870, relative à l'envoi d'un troisième modèle de hamac, de 30000 pitons, etc. ; X : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 5 août 1870 ; XI : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef signé de Vuillemin à M. Dietz, datée du 5 août 1870 : "J'ai remarqué que pour les transports des blessés militaires, sur vos hamacs dans les wagons N ou autres, il faut un temps assez long pour amener les blessés aux wagons et pour les placer sur les hamacs. En supposant que les gares dans lesquelles doit s'effectuer l'embarquement soient pourvues de hamacs avec les cordes et leurs pitons, nos hommes seraient en mesure de tout disposer dans le premier wagon venu, pour peu qu'ils soient prévenus quelques heures d'avance. Il ne serait donc pas nécessaire de garnir tous nos wagons de pitons, mais il faudrait toujours avoir aux gares d'embarquement des pitons que nos ouvriers placeraient dans les wagons..." ; XII : on joint 3 autres pièces‎

‎Lot de 14 courriers dont 11 adressés à David Dietz, chef d'atelier à la Compagnie des Chemins de Fer de l'Est aux débuts de la Guerre franco-allemande de 1870, du 20 juillet 1870 au 5 août 1870 (en général 1 ou 2 pages par lettres) : I : Lettre signés de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 20 juillet 1870, précisant le rôle de leurs services et l'organisation des Corps Francs des Chemins de fer. M. Dietz est nommé dans ce cadre chef du matériel roulant, 2 pp. ; II : Lettre de nomination à ce poste signée du Directeur de la Compagnie M. Sauvage, 1 p. ; III : Lettre signés de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 30 juillet 1870 ; IV : Copie manuscrite de la décision de nomination d'un second, M. Doré ; IV : Lettre signés de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 30 juillet 1870 à M. Dietz, précisant les "divers travaux ou fournitures qu'exigent les transports militaires" qui sont de deux sortes, "les uns qui restent à la charge de la Compagnie, tels que confections de strapontins... les autres directement demandés par l'autorité militaire et restant à la charge de l'Etat" ; V : Lettre signés de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 2 août 1870 à M. Dietz, approuvant notamment les hamacs installés par Dietz [ pour le confort des blessés ] ; VI : Copie conforme signée par Vuillemin d'une réquisition de l'Armée du Rhin ; VII : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 3 août 1870, évoquant la livraison de bidons, d'urinoirs et de deux modèles de hamacs ; VIII : Lettre à en-tête de l'Exploitation de la Compagnie, datée du 4 août 1870 "J'ai immédiatement adressé à Messieurs les médecins de la Cie de l'Est une circulaire pour les inviter à prêter leur concours tant pour le transport que pour la visite des blessés de l'armée" ; IX : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 4 août 1870, relative à l'envoi d'un troisième modèle de hamac, de 30000 pitons, etc. ; X : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 5 août 1870 ; XI : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef signé de Vuillemin à M. Dietz, datée du 5 août 1870 : "J'ai remarqué que pour les transports des blessés militaires, sur vos hamacs dans les wagons N ou autres, il faut un temps assez long pour amener les blessés aux wagons et pour les placer sur les hamacs. En supposant que les gares dans lesquelles doit s'effectuer l'embarquement soient pourvues de hamacs avec les cordes et leurs pitons, nos hommes seraient en mesure de tout disposer dans le premier wagon venu, pour peu qu'ils soient prévenus quelques heures d'avance. Il ne serait donc pas nécessaire de garnir tous nos wagons de pitons, mais il faudrait toujours avoir aux gares d'embarquement des pitons que nos ouvriers placeraient dans les wagons..." ; XII : on joint 3 autres pièces‎


‎Lot de 14 courriers dont 11 adressés à David Dietz, chef d'atelier à la Compagnie des Chemins de Fer de l'Est aux débuts de la Guerre franco-allemande de 1870, du 20 juillet 1870 au 5 août 1870 (en général 1 ou 2 pages par lettres) [ Dossier de 11 courriers manuscrits adressés à David Dietz, chef d'atelier : La Compagnie des Chemins de Fer de l'Est aux débuts de la Guerre franco-allemande de 1870 ] I : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 20 juillet 1870, précisant le rôle de leurs services et l'organisation des Corps Francs des Chemins de fer. M. Dietz est nommé dans ce cadre chef du matériel roulant, 2 pp. ; II : Lettre de nomination à ce poste signée du Directeur de la Compagnie M. Sauvage, 1 p. ; III : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 30 juillet 1870 ; IV : Copie manuscrite de la décision de nomination d'un second, M. Doré ; IV : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 30 juillet 1870 à M. Dietz, précisant les "divers travaux ou fournitures qu'exigent les transports militaires" qui sont de deux sortes, "les uns qui restent à la charge de la Compagnie, tels que confections de strapontins... les autres directement demandés par l'autorité militaire et restant à la charge de l'Etat" ; V : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 2 août 1870 à M. Dietz, approuvant notamment les hamacs installés par Dietz [ pour le confort des blessés ] ; VI : Copie conforme signée par Vuillemin d'une réquisition de l'Armée du Rhin ; VII : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 3 août 1870, évoquant la livraison de bidons, d'urinoirs et de deux modèles de hamacs ; VIII : Lettre à en-tête de l'Exploitation de la Compagnie, datée du 4 août 1870 "J'ai immédiatement adressé à Messieurs les médecins de la Cie de l'Est une circulaire pour les inviter à prêter leur concours tant pour le transport que pour la visite des blessés de l'armée" ; IX : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 4 août 1870, relative à l'envoi d'un troisième modèle de hamac, de 30000 pitons, etc. ; X : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 5 août 1870 ; XI : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef signé de Vuillemin à M. Dietz, datée du 5 août 1870 : "J'ai remarqué que pour les transports des blessés militaires, sur vos hamacs dans les wagons N ou autres, il faut un temps assez long pour amener les blessés aux wagons et pour les placer sur les hamacs. En supposant que les gares dans lesquelles doit s'effectuer l'embarquement soient pourvues de hamacs avec les cordes et leurs pitons, nos hommes seraient en mesure de tout disposer dans le premier wagon venu, pour peu qu'ils soient prévenus quelques heures d'avance. Il ne serait donc pas nécessaire de garnir tous nos wagons de pitons, mais il faudrait toujours avoir aux gares d'embarquement des pitons que nos ouvriers placeraient dans les wagons..." ; XII : on joint 3 autres pièces‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR950.00 (€950.00 )

‎François René de CHATEAUBRIAND‎

Reference : 88852

(1849)

‎Mémoires d'outre-tombe : "Tout à vous du fond de ma tombe" enrichi d'une exceptionnelle lettre signée‎

‎Eugène Victor Penaud frères | Paris 1849-1850 ; 14 avril 1839 (lettre manuscrite) | 13.7 x 21.2 cm | 12 volumes reliés et une lettre signée‎


‎Édition originale rare et recherchée, exemplaire de première émission. Notre exemplaire est bien complet de la liste des souscripteurs et de l'avertissement qui furent supprimés lorsque le solde de cette édition passa aux mains d'un autre éditeur : Dion-Lambert et comprend bien la faute de pagination au tome 2 : Page 164 au lieu de 364. Enrichi d'une lettre de l'auteur avec sa signature autographe, rédigée et datée du 14 avril 1839, par son secrétaire. Une page à l'encre noire sur un double feuillet. Légèrement ombrée sur l'extrémité supérieure, avec quelques rousseurs, trois déchirures marginales sans atteinte au texte dûes au décachetage, et les plis habituels inhérents à l'envoi. Notre exemplaire est enrichi d'une exceptionnelle, prophétique et macabre lettre de François-René de Chateaubriand : "mais moi je suis mort, absolument mort et s'il me fallait écrire un mot dans un journal, j'aimerais mieux être enseveli à mille pieds sous terre." Signée de la main chancelante de l'auteur, cette lettre vraisemblablement inédite a été rédigée par son secrétaire : "Vous connaissez la main de [Hyacinthe] Pilorge que j'employe pour remplacer la mienne souffrante de la goutte" explique l'auteur en guise d'introduction à la lettre. Reliures en demi chagrin noir, dos lisses ornés de doubles filets dorés et doubles caissons estampés à froid, plats de cartonnage noir, très légers frottements sans aucune gravité sur certains plats, contreplats et gardes de papier à la cuve, tranches mouchetées, reliures de l'époque. Rousseurs éparses. * "Vous connaissez la main de Pilorge que j'employe pour remplacer la mienne souffrante de la goutte. Je vais lire avec un plaisir extrême vos souvenirs [] mais moi je suis mort, absolument mort et s'il me fallait écrire un mot dans un journal, j'aimerais mieux être enseveli à mille pieds sous terre. J'en ai fini avec la vie ; il me serait bien doux de ressusciter pour vous être utile [] Soyez bien sûr que personne ne prendra un intérêt plus réel et une part plus vive que moi à vos succès. Tout à vous du fond de ma tombe Chateaubriand le 14 avril 1839" Cette missive fut dictée par l'écrivain à son secrétaire, qui apporta une aide précieuse à l'élaboration même des Mémoires : « Demeuré au service de Chateaubriand pendant vingt-cinq ans, Hyacinthe Pilorge fut le principal artisan de la transcription desMémoires d'outre-tombe.Il avait pour mission de « mettre au propre » au fur et à mesure tout ce qu'écrivait ou dictait son patron.C'est à partir de sa copie que Chateaubriand pouvait ensuite se relire, puis se corriger ; et lorsque la nouvelle page se recouvrait à son tour de trop nombreuses ratures, Pilorge procédait à une nouvelle mise au net.C'est lui qui exécuta en 1840 la première copie intégrale desMémoires d'outre-tombe.Ce manuscrit représenta longtemps le texte de référence. C'est alors un ensemble de plus de quatre mille pages, regroupées par livres dans des chemises de carton, et où chaque feuillet pouvait être corrigé, déplacé ou remplacé à volonté. Ce travail achevé (en 1841), le mémorialiste laissa « reposer » son uvre pour quelque temps. Mais grâce à la souplesse de ce montage, lesMémoires d'outre-tombeont encore la vocation de rester une uvre ouverte, une sorte dework in progress. »(Bibliothèque nationale de France). Le destinataire de la lettre est lauteur de «Souvenirs » que Chateaubriand refuse ici de promouvoir. Lécrivain parle déjà depuis la tombe, presque dix ans avant sa fin : « mais moi je suis mort, absolument mort et s'il me fallait écrire un mot dans un journal, j'aimerais mieux être enseveli à mille pieds sous terre. J'en ai fini avec la vie ; il me serait bien doux de ressusciter pour vous être utile». Ces magistrales lignes sont empreintes dun humour souvent rencontré dans les pages des Mémoires, quAndré Lebois appellera «l'expression sarcastique de la dérision que répand sur nos actes la certitude de la mort [] L'humour est une armure, l'ultime rec‎

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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR18,000.00 (€18,000.00 )

‎NOUGARET (Pierre Jean Baptiste).‎

Reference : 46404945

‎5 lettres autographes signées et une lettre signée concernant l’édition de ses ouvrages chez l’éditeur Claude Brunot-Labbé.‎

‎ Il s’agit reçus signés en faveur de son éditeur pour des sommes reçues en échange de droits à publier ses ouvrages. Pierre-Jean-Baptiste Nougaret (1742-1823) est originaire de La Rochelle. Il fut un polygraphe très productif, parmi la centaine d’ouvrages qu’on lui connaît on compte des pièces de théâtre, recueils de poésie, romans licencieux ou non, écrits politiques, historiques, recueils d’anecdotes, anas, etc.- Lettre de la main de Claude Brunot-Labbé, signée par Nougaret, du 1er décembre 1814, 1 p. et 3 lignes in-4. “Entre nous soussignés (...) de me composer pour en jouir comme chose à moi appartenant pour toujours, un ouvrage intitulé Beauté de l’histoire des États Unis d’Amérique Septentrionale ou récit des découvertes (...) trois cent francs lorsqu’il me remettra le manuscrit et je lui donnerai en outre quinze exemplaires (...)”- Lettre autographe portant trois fois la signature de Nougaret pour des sommes reçues pour son ouvrage sur l’Amérique Septentrionale en avril 1815. 1 p. in-8.- L.A.S. du 21 juillet 1817 “(...) reconnais avoir cédé et transporté pour toujours à Monsieur Brunot Labbé (...) Beautés de l’histoire de Sicile et de Naples moyennant la somme de trois cent francs (...)” 7 lignes in-4.- L. A. S. du 10 mars 1818. “(...) avoir reçu de M. Bruno-Labbé, libraire à Paris la somme de trois cents vingt francs en son billet à mon ordre pour un ouvrage de ma composition intitulé Beautés de l’histoire de Prusse (...)” 8 lignes in-4.- L. A. S. du 4 nov. 1818. “(...) avoir reçu de M. Bruno-Labbé la somme de six cent francs pour l’ouvrage de ma composition que je lui ai vendu Beautés et merveilles de la Nature (...)” 7 lignes in-4. Cet ouvrage n’a jamais paru.- L. A. S. du 26 février 1821. “Je soussigné P. J. B. Nougaret (...) avoir vendu à M. Lerouge, libraire, un manuscrit ayant pour titre Beautés du règne des Bourbon (...)” 15 lignes in-4. Signée par les 2 contractants : Lerouge et Nougaret. Au verso, note signée de Lerouge du 8 nov 1832 : “Je cède et transporte mon droit de propriété dont il est parlé d’autre part à Mr. Brunot Labbé moyennant la somme de cinquante francs (...)” 4 lignes in-4.‎


Librairie du Manoir de Pron - Montigny sur Canne

Phone number : 03 86 50 05 22

EUR150.00 (€150.00 )

‎DORGELES, Roland‎

Reference : 68391

(1952)

‎[ Lettre signée adressée par Roland Dorgelès à Maurice Magre :] Lettre signée à en-tête de "L'Image, magazine hebdomadaire", datée du 21 juillet 1952 : "Monsieur M. Magre, Hôtel Napoléon (Var). Mon cher Maurice Magre, Je recueille des photographies pour illustrer votre bel article sur Toulouse. Vous recevrez ces jours-ci votre chèque de Frs:500 et j'espère que vous continuerez votre collaboration à l'Image. Croyez à mon très cordial souvenir". ‎

‎1 L.S. d'une page format A4 : Lettre signée à en-tête de "L'Image, magazine hebdomadaire", datée du 21 juillet 1952 : "Monsieur M. Magre, Hôtel Napoléon (Var). Mon cher Maurice Magre, Je recueille des photographies pour illustrer votre bel article sur Toulouse. Vous recevrez ces jours-ci votre chèque de Frs:500 et j'espère que vous continuerez votre collaboration à l'Image. Croyez à mon très cordial souvenir". ‎


‎Bon état. ‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR150.00 (€150.00 )

‎PAULHAN, Jean‎

Reference : 12926

(1941)

‎Lettre signée datée du 8 décembre 1941 [adressée à la journaliste et écrivain bordelaise Luce Doll ] : "Oui, c'est bien P. L. Couchoud avec son Fil de l'eau qui a été le premier haïjin français. "‎

‎1 L. dactylographiée signée de 1 p. in-8 , avec l'enveloppe jointe. : "Mademoiselle, Je vous donne bien volontiers l'autorisation que vous souhaitez. Oui, c'est bien P. L. Couchoud avec son Fil de l'eau qui a été le premier haïjin français. Lui avez-vous écrit (9 ter Boulevard du Montparnasse) ? Je crois qu'il vous répondrait très volontiers ; et sur le genre de haï-kaï, lui seul a qualité pour vous répondre. Quant à René Maublanc, vous pouvez lui écrire au lycée Henri IV (23 rue Clovis, Paris Ve) où il est professeur".‎


‎Intéressante lettre signée de Jean Paulhan, dans laquelle il reconnaît à Paul Louis Couchoud le statut de "premier haï jin français". La lettre est adressée à la journaliste Luce Doll (pseudonyme de Francine Ollivier), qui avait publié en 1936 une des premières études de référence sur le haï-kaï français : "Regards haï-kaï". ‎

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