‎Georges Ville (1824-1897), chimiste et agronome.‎
‎Brouillon d'une lettre‎

‎Georges Ville (1824-1897), chimiste et agronome. Brouillon, Paris, sd, 1p et demi in-4. Brouillon de sa lettre au ministre de l'instruction publique mentionnant les difficultés financières du laboratoire de physique végétale qui n'a que des « dotations modestes » ne permettant pas d'entretenir correctement le matériel tout en ayant quelques élèves. [92-4] ‎

Reference : 013030


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‎Georges Ville (1824-1897), chimiste et agronome.‎

Reference : 013026

‎Brouillon d'une lettre à Charles de Rémusat‎

‎Georges Ville (1824-1897), chimiste et agronome. Brouillon signé, 27 octobre 1872, 2p in-folio. Brouillon de sa lettre au ministre de l'instruction publique, Charles de Rémusat. Il se réjouit que le laboratoire de Physique Végétale, au muséum d'Histoire naturelle, soit intégré à l'école des Hautes Etudes. Intéressant document. [92-4] ‎


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‎Georges Ville (1824-1897), chimiste et agronome.‎

Reference : 013037

‎Brouillon d'une lettre à Adolphe de Forcade Laroquette‎

‎Georges Ville (1824-1897), chimiste et agronome. Brouillon autographe, Paris, 23 août 1868, 1p et un quart in-folio. Brouillon de sa lettre au ministre de l'instruction publique, Adolphe de Forcade Laroquette, pour lui offrir un livre sur les enfrais chimiques. Il parle aussi de résultats obtenus sur la betterave en France et la canne à sucre en Guadeloupe. Intéressant document. [291] ‎


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‎[INDE] — PEYNIER (Louis Antoine de Thomassin, comte de).‎

Reference : LBW-8731

‎Brouillon d’une lettre à «Monseigneur».‎

‎A l’isle de France, 15 mai 1785. 4 pp. in-folio (32,3 x 20,5 cm), avec corrections autographes ; sur une feuille double.‎


‎La fin de la campagne de l’Inde. En 1782, une division navale fut envoyée en Inde pour renforcer l’escadre du bailli de Suffren qui s’y trouvait depuis l’année précédente. Ces renforts, commandés par le comte de Peynier, arrivèrent sur place au début de 1783. En juin de la même année, Peynier participa à la bataille de Gondelour, puis succéda à Suffren en 1784 au moment où celui-ci fut rappelé en France. Lui-même quitta Pondichéry l’année suivante et arriva à l’île de France (Maurice) le 2 mai 1785: «J’étois parti de Pondichéry le 19 mars, avec 240 hommes du régiment d’Austrasie […]. J’ai trouvé à mon arrivée le vaisseau l’Annibal que j’avois expédié le 6 mars de Pondichéry avec 200 hommes du régiment d’Austrasie […]. On m’a remis à mon arrivée les paquets que vous m’avez adressé par la frégate la Subtile commandée par M. La Croix de Castries. Cette frégate étoit partie le 3 avril pour Pondichéry, elle y a passé M. le vicomte de Souillac qui m’a laissé en partant les dispositions qu’il avoit fait pour faire passer le régiment de Bourbon dans l’Inde sur le vaisseau le Brillant et la flûte l’Osterlaÿ: pour remplir leur mission, j’ai accéléré les travaux que l’on faisoit à ses vaisseaux, ils ne seront prêts à partir qu’à la fin du mois. Je ferai travailler ensuite au radoub et à la carène indispensable, de l’Argonaute, de l’Annibal, et de la frégate la Surveillante. Le peu d’ouvriers qu’il ÿ a dans le port rendra les ouvrages à faire très longs; je ne négligerai rien pour remplir le plus tôt possible les ordres que vous me donnez pour mon retour en Europe; je prévois que les radoubs à faire ne me permettront pas de partir avant le mois de septembre prochain. M. de Souillac me propose dans sa lettre de ne laisser qu’un vaisseau avec les frégates et corvettes, et de ramener les trois autres qui seront suffisants pour passer le régiment d’Austrasie. Je suivrai ses avis…». La suite concerne sa promotion au grade de chef d’escadre, ainsi que les promotions et distinctions à accorder aux officiers qui ont rendu d’importants services lors de la campagne de l’Inde: «M. Daugas enseigne très ancien qui doit être lieutenant mérite la croix de St Louis. M. de Saint-Laurent enseigne a rempli la place de major et officier chargé du détail général de l’escadre. Depuis mon départ d’Europe il s’en est acquitté avec valeur, zèle et la plus grande intelligence, il a des connaissances bien au-dessus du commun […], je vous demande le grade de lieutenant et la croix de St Louis pour lui et je vous assure qu’il mérite vos bontés…». Le destinataire de cette lettre, Charles Eugène de La Croix, marquis de Castres (1727-1801), avait remplacé Sartine en 1780 au secrétariat d’Etat à la Marine. Il poussa activement les opérations navales en Amérique et dans l’océan Indien, mit en place de grands travaux dans les ports et rationalisa les constructions navales. Cf. Taillemite, Dictionnaire des marins français. Provenance: archives personnelles de Louis-Antoine de Thomassin, comte de Peynier.‎

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‎Maurice RAVEL‎

Reference : LRB_035

‎BROUILLON DE LETTRE AUTOGRAPHE À SON FRÈRE‎

‎RAVEL (Maurice). BROUILLON DE LETTRE AUTOGRAPHE À SON FRÈRE. Signé, sous cadre, au dos d'une facture pour des vêtements. 21,5 × 13,5 cm. Exceptionnel et bouleversant document, l’un des tout derniers rédigés de sa main par Ravel, vers mars 1934. On y voit l’un des plus grands créateurs artistiques du vingtième siècle réduit à l’impuissance devant la nécessité d’exprimer dans sa langue maternelle le quotidien le plus simple. Il s’agit d’un brouillon de lettre adressée à son frère Édouard, au crayon ; la signature est à l’encre. À la date de rédaction de ce document, les effets de la maladie cérébrale de Ravel sont manifestes et se lisent sur ce brouillon même. Ainsi du mot « petit », qui figure en haut à gauche, probablement à titre d’essai. Il se retrouve au tout début de la lettre, dans l’adresse de Ravel à son frère. À la dernière ligne, toutefois, Ravel commet une faute d’orthographe sur ce même terme appartenant au vocabulaire le plus élémentaire de sa langue maternelle. D’autres éléments — surcharges, ratures... — dans ce document témoignent de la situation dramatique dans laquelle a définitivement sombré Ravel. Publié par Arbie Orenstein dans Maurice Ravel. Lettres, écrits, entretiens, Harmoniques, Flammarion, 1989, numéro 334, p. 281.‎


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‎DE SCIBOR RYLSKI, Comtesse ; DENTU, Edouard‎

Reference : 44505

(1872)

‎Mystérieuse correspondance d'une jeune femme exaltée avec l'éditeur Edouard Dentu [ 3 Lettres manuscrites signées Comtesse de Scibor Rylski puis Augusta, et brouillon autographe d'Edouar Dentu ] I : "Lyon, ce 14 août 1872. Monsieur, puisque vous ne voulez pas être mon éditeur, voulez-vous être mon ami. Car pour le moment nous ne pouvons être que deux amis. Pourquoi cherchez-vous un ami dans un inconnu direz-vous. Votre personne m'est inconnue, m'est (sic) votre esprit, votre coeur me sont connus, ils me plaisent ; et puis je me sens des sentiments dans l'âme qui veulent un homme de génie pour unique confident. Je ne veux pas que le Poëme de mon coeur soit inutile. Il brillera pour vous comme il eût brillé popur vous seul..." ... "Permettez-moi de vous tendre la main, oh une main bien amie, celle de votre Servante. Comtesse de Scibor Rylski, 174 Cours Lafayette, Lyon, ce 14 août" ; II : Brouillon de réponse non daté de la main d'Edouard Dentu : "Chère Madame, Je suis blessé, et par vous ! Aussi je vous demande de me continuer vos ravissantes confidences, priant Dieu qu'il épargne à votre coeur de nouveaux déchirements car votre nature si délicieusement fine est de celles qui ressentent cruellement les meurtrissures de cette vie" ... "...soyez assez bonne pour m'adresser à l'avenir les lettres dont vous voudrez bien m'honorer à mon domicile personnel, rue Sainte Claire 9 à Passy-Paris".III : 27 août 1872 : "J'ai été ravie je ne voudrais pas autrement que vous êtes dans cette lettre La première oh qu'elle ne soit pas la dernière. Quel autre que vous aurait pu jamais excuser et répondre si gracieusement à une inconnue et la deviner... aussi je vous salue au fond de mon coeur comme on salue un phar qui nous a montré les écueils où l'on pouvait périr. Maintenant que nous voilà amis je vous demande pour le moment une alliance proprement morale et mystérieuse. Venez dans mon coeur quand vous serez malheureux, fatigué, où blessé par quelques-uns de ces échecs moraux qui vous attendent à tous les passages importants de la vie" ... "... votre Augusta". IV : "Lyon, ce 15 Septembre 1872. Mon ami, Laissez-moi vous donner ce nom et comprenez-moi bien, en parlant à Dieu nous lui demandons une foule de choses, il reste muet, moi je veux trouver en vous les réponses que Dieu ne nous fait pas. De plus, je crois qu'il est possible de faire exister, comme dans une symphonie deux harpes qui à distance se répondent, vibrent, et produisent une délicieuse mélodie" ... "ordinairement, les mariages, même les liésons, se font au rebours du sens commun, une famille prend des renseignements sur un jeune homme. Si le Léandre fourni par la voisine ou pêché dans un bal n'a pas volé, s'il n'a pas de tare visible, s'il a la fortune qu'on lui désire, s'il sort d'un collège ou d'une école de Droit, ayant satisfait aux idées vulgaires sur l'éducation, et s'il porte bien ses vêtements, on lui permet de venir voir une personne, lacée dès le matin à qui sa mère ordonne de bien veiller sur sa langue, et recommande de ne rien laisser passer de son âme, de son coeur, sur sa physionomie"... "J'attends votre réponse et suis de grand coeur votre Augusta"‎

‎3 lettres signées Comtesse de Scibor Rylski puis Augusta, 1872, format in-12 de 2 ff. (4 pages), 2 ff. (4 pages), et 4 ff. (7 pages) et 1 brouillon autographe d'Edouard Dentu, s.d., format in-12, 1 f. (une page) : Suivent qq. extraits : 3 Lettres manuscrites signées Comtesse de Scibor Rylski puis Augusta, et brouillon autographe d'Edouar Dentu ] I : "Lyon, ce 14 août 1872. Monsieur, puisque vous ne voulez pas être mon éditeur, voulez-vous être mon ami. Car pour le moment nous ne pouvons être que deux amis. Pourquoi cherchez-vous un ami dans un inconnu direz-vous. Votre personne m'est inconnue, m'est votre esprit, votre coeur me sont connus, ils me plaisent ; et puis je me sens des sentiments dans l'âme qui veulent un homme de génie pour unique confident. Je ne veux pas que le Poëme de mon coeur soit inutile. Il brillera pour vous comme il eût brillé popur vous seul..." ... "Permettez-moi de vous tendre la main, oh une main bien amie, celle de votre Servante. Comtesse de Scibor Rylski, 174 Cours Lafayette, Lyon, ce 14 août" ; II : Brouillon de réponse non daté de la main d'Edouard Dentu : "Chère Madame, Je suis blessé, et par vous ! Aussi je vous demande de me continuer vos ravissantes confidences, priant Dieu qu'il épargne à votre coeur de nouveaux déchirements car votre nature si délicieusement fine est de celles qui ressentent cruellement les meurtrissures de cette vie" ... "...soyez assez bonne pour m'adresser à l'avenir les lettres dont vous voudrez bien m'honorer à mon domicile personnel, rue Sainte Claire 9 à Passy-Paris".III : 27 août 1872 : "J'ai été ravie je ne voudrais pas autrement que vous êtes dans cette lettre La première oh qu'elle ne soit pas la dernière. Quel autre que vous aurait pu jamais excuser et répondre si gracieusement à une inconnue et la deviner... aussi je vous salue au fond de mon coeur comme on salue un phar qui nous a montré les écueils où l'on pouvait périr. Maintenant que nous voilà amis je vous demande pour le moment une alliance proprement morale et mystérieuse. Venez dans mon coeur quand vous serez malheureux, fatigué, où blessé par quelques-uns de ces échecs moraux qui vous attendent à tous les passages importants de la vie" ... "... votre Augusta". IV : "Lyon, ce 15 Septembre 1872. Mon ami, Laissez-moi vous donner ce nom et comprenez-moi bien, en parlant à Dieu nous lui demandons une foule de choses, il reste muet, moi je veux trouver en vous les réponses que Dieu ne nous fait pas. De plus, je crois qu'il est possible de faire exister, comme dans une symphonie deux harpes qui à distance se répondent, vibrent, et produisent une délicieuse mélodie" ... "ordinairement, les mariages, même les liésons, se font au rebours du sens commun, une famille prend des renseignements sur un jeune homme. Si le Léandre fourni par la voisine ou pêché dans un bal n'a pas volé, s'il n'a pas de tare visible, s'il a la fortune qu'on lui désire, s'il sort d'un collège ou d'une école de Droit, ayant satisfait aux idées vulgaires sur l'éducation, et s'il porte bien ses vêtements, on lui permet de venir voir une personne, lacée dès le matin à qui sa mère ordonne de bien veiller sur sa langue, et recommande de ne rien laisser passer de son âme, de son coeur, sur sa physionomie"... "J'attends votre réponse et suis de grand coeur votre Augusta"‎


‎Etonnante correspondance dont on ne sait s'il faut réellement l'imputer à la Comtesse de Scibor Ryslki (Agnès Veth ?) qui signe par la suite "Augusta". Mais curieux lot, révélateur de la passion que pouvait alors (toujours ?) susciter un éditeur célèbre du temps. Un mystère à élucider...‎

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