‎Godard Magdeleine (fin XIX°-début XX°), violoniste, soeur du compositeur Benjamin Godard.‎
‎Lettre autographe signée‎

‎P.A.S., sd [dimanche], 2p In-12 (19 lignes). Elle écrit à l'écrivain Charles Fuster que Mademoiselle Borghes (?) pourra chanter le 1er mars, que pour le 25 (février), elle jouera « l'Angelus de Jeanne d'Arc », un menuet pour violon extrait de la composition de Benjamin Godard, publiée en 1891 et que Mademoiselle Martine Murat pourra y trouver quelque-chose à chanter.‎

Reference : 001133


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‎DOUCET, Camille ; MONVAL, Georges ; DELPIT, Albert‎

Reference : 65128

(1885)

‎[ 3 L.A.S. adressées à Mlle Simone Arnaud Delage ] Lettre autographe signée de Camille Doucet, de l'Académie Française, 1 page à en-tête de l'Institut de France sous enveloppe marquée "Académie Française", datée du 25 mai 1885 : "Mademoiselle et chère confrère, Rien de plus touchant et de plus dramatique que votre Roche "Mengan", j'en suis encore tout ému & je m'empresse de joindre mes très sincères compliments aux remerciements que je vous dois pour votre bon et gracieux souvenir" ; Lettre autographe signée de Georges Monval, Bibliothécaire Archiviste de la Comédie Française, datée du 12 février 1883, 1 page sous enveloppe : "Mademoiselle, J'ai l'honneur de vous informer que, dans sa séance du 8 février, le Comité d'Administration du Théâtre Français a pris connaissance du rapport fait par la Commission d'examen sur votre comédie : "Mademoiselle du Vigean". J'ai en même temps le plaisir de vous annoncer que le Comité, s'associant aux conclusions de ce rapport, a réservé votre ouvrage pour l'envoyer devant le Comité de Lecture" ; Lettre autographe signée de l'écrivain Albert Delpit, 4 pages sous enveloppe : "Mademoiselle, j'irai vous voir demain. [ ... ] Il est fort possible que je ne sois pas libre à 4 h ; mais plus tard. Et j'ai besoin de vous voir car j'ai des conseils importants à vous donner sur Jane Grey. Voulez-vous que nous admettions ceci ? Si vous ne receviez rien de moi, demain avant midi, c'est que j'irai rue St Pétersbourg [ ... ] ‎

‎[ 3 L.A.S. adressées à Mlle Simone Arnaud Delage ] Lettre autographe signée de Camille Doucet, de l'Académie Française, 1 page à en-tête de l'Institut de France sous enveloppe marquée "Académie Française", datée du 25 mai 1885 : "Mademoiselle et chère confrère, Rien de plus touchant et de plus dramatique que votre Roche "Mengan", j'en suis encore tout ému & je m'empresse de joindre mes très sincères compliments aux remerciements que je vous dois pour votre bon et gracieux souvenir" ; Lettre autographe signée de Georges Monval, Bibliothécaire Archiviste de la Comédie Française, datée du 12 février 1883, 1 page sous enveloppe : "Mademoiselle, J'ai l'honneur de vous informer que, dans sa séance du 8 février, le Comité d'Administration du Théâtre Français a pris connaissance du rapport fait par la Commission d'examen sur votre comédie : "Mademoiselle du Vigean". J'ai en même temps le plaisir de vous annoncer que le Comité, s'associant aux conclusions de ce rapport, a réservé votre ouvrage pour l'envoyer devant le Comité de Lecture" ; Lettre autographe signée d'Albert Delpit, 4 pages sous enveloppe : "Mademoiselle, j'irai vous voir demain. [ ... ] Il est fort possible que je ne sois pas libre à 4 h ; mais plus tard. Et j'ai besoin de vous voir car j'ai des conseils importants à vous donner sur Jane Grey. Voulez-vous que nous admettions ceci ? Si vous ne receviez rien de moi, demain avant midi, c'est que j'irai rue St Pétersbourg [ ... ] ‎


‎Ensemble de 3 lettres autographes signées adressées à la future Mme Copin-Albancelli, par Camille Doucet, Georges Monval et Albert Delpit.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR295.00 (€295.00 )

‎Villenave (fils) 1798-1866 Théodore [Soirées de Momus]‎

Reference : 16135

‎(Gastronomie) Lettre autographe signée à Monsieur, Beraud, président des Soirées de Momus‎

‎. "Lettre autographe signée datée du 4 mars, 5 heures du soir. 1p. In-4, adresse d'expédition au verso (Monsieur Béraud, président des Soirées de Momus / Au Plais Royal...). Le cachet de cire a disparu. Il s'excuse de ne pouvoir assister au dîner des Soirées de Momus, ""société choisie où j'ai constamment trouvé tout ce qui pouvait plaire à l'esprit et satisfaire le coeur."" Théodore Villenave (Nantes, 26 Juillet 1766 - 1866) dit Eugène de Villenave ou Villenave fils, était auteur dramatique et historien. Il est le fils de Mathieu Villenave , avocat journaliste, pamphlétaire et bibliophile, qui contribua à la chute de Carrier. Restauration et cachet de collection sur la face interne. "‎


EUR45.00 (€45.00 )

‎Mâcé Desbois [Villenave / Tribunal Révolutionnaire / Angers / Nantes]‎

Reference : 15075

‎Lettre autographe signée de Mâcé Desbois, directeur du jury d'accusation chargé d'instruire le procès des Terroristes de Nantes, à Guillaume de Villenave, avocat Nantais‎

‎. "Lettre autographe signée datée d'Angers 29 Fructidor An III (15 septembre 1795) au citoyen Barnave ( sic pour Villenave, Guillaume Matthieu Thérèse de, Avocat et homme de lettres nantais, 1762-1846, défenseur du Comité Révolutionnaire). 2pp.in-4. Il comprend le désir de Villenave de ne pas comparaître devant le Tribunal puisqu'il a été le défenseur de plusieurs des accusés. ""Cependant, comme votre témoignage recevroit le caractère religieux du serment je crois que c'eut été un dernier moyen de tirer d'accusation les infortunés pour lesquels vous avez écrit de la manière la plus persuasive et la plus éloquente vous auriez peut-être par vos dépositions démontrés l'innocence de vos clients et dont je plains bien sincèrement les épouses surtout celle de Proust. Cet homme n'a qu'un malheur celuy de s'estre trouvé associé à des hommes exaspérés ou peut-être mauvais par caractère et cherchant à se masquer sous des dehors d'un feint patriotisme."" ""Citoyen ce sera avec bien de l'intérest que les Angevins vous écouteront à la tribune des défenseurs de l'humanité le triomphe vous y attend parce que ne cherchant que la vérité vous ne vous attacherez qu'à ceux que votre âme vous dira innocents."" Discret cachet de collection."‎


EUR150.00 (€150.00 )

‎Pierre-Joseph-Marie PROUDHON‎

Reference : 68629

(1851)

‎Lettre autographe signée de 4 pages rédigée depuis la prison de Sainte-Pélagie‎

‎Paris, Prison de Sainte-Pélagie 12 Novembre 1851 | 13 x 20.50 cm | une feuille‎


‎Lettre autographe signée de 4 pages datée du 12 novembre 1851. 124 lignes à l'encre noire. Le manuscrit est présentésous une chemise en demi maroquin vert sapin, plats de papier vert marbré portant une pièce de maroquin avec lamention "Lettre autographe" incrustée sur le premier plat, contreplats doublés d'agneau vert,étui bordé du même maroquin, ensemble signé Goy & Vilaine. Lettre autographe inédite sur le progrès, signée de Pierre-Joseph-Marie Proudhon, figure incontournable de la pensée sociale française, et «père de l'anarchie» selon le président de la République française Armand Fallières. Le philosophe emprisonné depuis 1849 développe dans un style virulent et combatif ses convictions socialistes et condamne les absolutismes de son temps. Extraordinaire profession de foi philosophique, politique et sociale d'un penseur à la marge, dont la fortune critique et l'influence se retrouvent de Karl Marx à Émile Durkheim en passant par Benjamin Tucker. La missive est rédigée d'une écriture rapide et dense, comportant de nombreux passages soulignés appuyant certains concepts philosophiques. Le premier feuillet présente un en-tête du journal Le Peuple de 1850, un des quatre journaux dirigés par Proudhon sous la seconde République, qui lui valurent d'être emprisonné pour «incitation à la haine du gouvernement» «provocation à la guerre civile» et «attaque à la Constitution et à la propriété». Cette lettre inédite, datée du 12 novembre 1851, constitue une réflexion passionnée et inédite, proche d'une lettre intitulée «De l'Idée de Progrès», écrite une dizaine de jours plus tard, que Proudhon publie avec une autre («De la Certitude et de son criterium») dans l'ouvrage Philosophie du progrès. Cet ensemble de textes fut composé seulement deux semaines avant la prise de pouvoir définitive de Louis-Napoléon Bonaparte, à laquelle il s'opposa immédiatement. Une fois sorti de prison en 1852, Proudhon publia les deux lettres chez Lebègue à Bruxelles afin d'échapper à la censure, qui avait interdit la vente de l'opuscule sur le territoire français. Déjà détenu depuis deux ans dans les geôles du futur empereur des Français, Proudhon écrit depuis la prison de Sainte-Pélagie à Romain Cornut, journaliste de La Presse, qui venait de terminer une série d'articles sur le positivisme d'Auguste Comte (Etudes critiques sur le socialisme, octobre-novembre 1851). Il faut voir cette lettre comme un admirable plaidoyer de quatre pages, ou plutôt une confession de sa vision socialiste du progrès, un «positivisme social» qui se fonde sur la remise en cause de l'ordre ancien: «on recule devant une négation intellectuelle, qui est la condition sine qua non du progrès ultérieur». Proudhon tente dans cette lettre de convaincre son destinataire du bien-fondé de ses convictions, et n'hésite pas à user de flatteries qui contrastent étrangement avec sa verve habituelle («Ce n'est pas croyez-le bien, [..] que je désire le moins du monde influencer votre opinion, quelque désir que j'aie de faire la conquête d'un esprit aussi judicieux que le vôtre»). Il établit au fil de la lettre un équilibre entre son âme de polémiste et son désir de légitimité, aspirant à être reconnu par ses pairs non plus comme un simple agitateur mais comme un véritable penseur. On se souvient en effet de ses célèbres traits d'esprit («la propriété c'est du vol?!»), ses sympathies pour les soulèvements de 1848 ainsi que ses pamphlets au vitriol dans Le Peuple qui avaient consacré sa réputation de radical: «J'ai été, jusqu'à ce jour, si sottement jugé, même par les socialistes [...] Parce que j'ai conduit la critique des vieux principes aussi loin qu'elle pouvait aller [...] je n'apparais encore à beaucoup de gens comme la négation pure et simple de tout ce qui est». Proudhon affirme cependant son intention de quitter les remparts de la critique («laissant pour le moment la polémique de circonstance, dans mes nouvelles études») et annonce ainsi à demi-mots l'écritur‎

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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR8,000.00 (€8,000.00 )

‎Kahn Gustave‎

Reference : 16457

‎Lettre autographe signée à son ami Médéric Dufour. Il propose des thèmes de conférences, surtout autour de Verlaine‎

‎. "6pp. in-8 Non datée (vers 1905, date de la publication de l’étude sur Boucher à la librairie Renouard). Lettre adressée au professeur helléniste Mérédic Dufour (1866-1933), enseignant à Lille, dont l’essai Une philosophie de l’Impressionnisme, l’esthétique de Jules Laforgue (Vanier 1904) était dédié à Gustave Kahn. Il rédigeait également des articles pour la revue L’Art Moderne. Gustave Kahn (1859-1936), né à Metz, fut tour à tour et souvent en même temps, journaliste, poète, directeur de revue et critique d’art. Ami de Jules Laforgue, c’est grâce à lui qu’il devint le secrétaire du grand collectionneur d’art, Charles Ephrussi.Il dirigea La Revue Indépendante, Le Symboliste et surtout La Vogue dans laquelle Rimbaud fut publié pour la première fois.// Dans sa lettre, G. Kahn propose trois thèmes pour des conférences à venir en Belgique. ""1°Une conférence intitulée de Watteau à Verlaine sur la grâce française. Étudiant les Fêtes galantes des peintures, la poésie du XVIIIème siècle en réhabilitation partielle et la petite survivance de cet esprit de grâce à travers le Parny des Élégies, Gérard de Nerval, Gautier, Banville, enfin comment cette vision complexe de la grâce du XVIIIème siècle qui n’était plus qu’un épisode chez Gérard et Banville, est retrouvée toute, d’un coup, par Verlaine qui épuise le sujet"" ""2°ou bien une conférence sur les cités futures, l’utopie en clair, née bien de Bellamy, Morris, avec les origines chez [Moilini ?] et Rimbaud, et l’utopie en sombre, celle de Wells dans Les Temps à venir.""""3°ou bien l’acte social, tel que le donne le littérateur des grandes villes"". Bellamy : Edward Bellamy (1850-1898) auteur américain de Looking Backward ou Cent ans après ou l’An 2000 (1888) traduit en français en 1891. *Morris : William Morris (1834-1896) News from Nowehere 1890 (Nouvelles de Nulle part) traduit en 1902. Roman utopique qui constitue une réponse à celui de Bellamy. // Belle lettre amicale dans laquelle on retrouve toute la passion de Gustave Kahn pour l'art du XVIIIème siècle et la poésie symboliste. (transcription complète remise à l'acheteur)"‎


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