Marquise de Polignac, non identifiée (peut-être Pommery Louise, marquise de Polignac (1857-1922)?). L.A.S., 7 janvier 1898, 2p In-8 (27 lignes environ). Elle écrit à son avoué pour lui dire de réclamer de l'argent et que « la famille de Polignac [lui] doivent 450fr de pension ». Il est question aussi d'une décision de justice où elle pense qu'elle touchera 13000 fr. [181]
Reference : 000877
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Philippe Chabaneix, Albert Deumié, Jean Nougayrol, Pierre Senaux, Henry Sirben, Claude Verney (Comité de la revue)
Reference : 33585
Toulouse et La Rochelle. Du n° 1, anvier-février-mars 191 au n° 3, juillet-août-septembre 1916. Collection complète. 3 numéros en 3 livraisons en 1 vol. in-12 relié pleine toile écrue, titre au dos, couvertures conservées. Textes de Pierre Camo, Francis Carco, Philippe Chabaneix, Tristan Derème, André Derzac, Paul Fort, Maurice Magre, Jacques Nervat, Jean Nougayrol, Pierre Senaux, Henry Sirben, Hector Talvart, Hélène Vacaresco, Claude Verney, etc. ON JOINT : Une photo originale de Philippe Chabaneix avec bel envoi autographe signé à André Vasseur ; Une lettre autographe signée de Tristan Derème (septembre 1923) à [Jacques Boulenger], avec son portrait ; Un portrait de Francis Carco. En bel état, rare.
Un feuillet (262 x 204 mm) plié en deux, 21 lignes à l'encre noire sur papier bleu au recto, adresse et timbre au verso, petit cachet de cire, traces de plis.
Lettre autographe signée d'Elisabeth Vigée-Lebrun adressée à une amie demeurant "rue du Mont Blanc" (?) à Meudon, datée du 4 novembre [1802] à Paris.De retour dexil en 1802, sous le Consulat, la célèbre portraitiste confie dans ses Mémoires avoir quitté Paris pour sinstaller quelque temps à Meudon, dans un endroit qu'on appelait "la Capucinière", éprouvant alors un profond besoin de solitude. Elle y rencontre madame de Bellegarde, ainsi que la duchesse de Fleury, connue pour tenir salon durant la période. La destinataire de cette lettre pourrait être lune de ces personnes croisées durant ce séjour à Meudon."A Meudon, Madame Gain, rue du Mont Blanc (?)""Paris 4 9bre,Très aimable j'envoie savoir de vos nouvelles. J'espère et désire que vous êtes de retour a paris, car le mauvais tems n'est pas suportable [sic] a la campagne comme au chemin de versaille, la pluie, le vent est plus suportable dans notre grande ville ; enfin esperant que vous y etes revenue j'envoye savoir de vos nouvelles ? en attendant que je puisses aller moi-même m'en informer, car en ce moment je suis occupée aux arrangements de ma maison; ce qui nécessite ma présence; mais si tôt qu'il me sera possible j'irai vous embrasser toute bien attachée. LeBrun"Les autographes et lettres personnelles d' Elisabeth Vigée-Lebrun sont peu courants.Document bien conservé.
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2 feuillets rempliés de 8 pages (210 x 136 mm), un feuillet (210 x 135 mm), et un feuillet remplié (205 x 135 mm) "En prison", [Montpellier, 1843].
Importante lettre manuscrite autographe de Marie Lafarge (1816-1852). Accusée davoir empoisonné son mari à l'arsenic, Marie Lafarge, comparut au tribunal de Tulle et fut reconnue coupable en septembre 1840. Son procès suscita de multiples controverses, une intense curiosité et éveilla pour la première fois l'intérêt du public aux questions scientifiques et médico-légales. Le milieu social de Marie Capelle-Lafarge, son probable cousinage avec Louis-Philippe, sa personnalité, l'énigme de l'empoisonnement, les expertises d'Orfila et de Raspail, contribuèrent également au retentissement de laffaire.Longue lettre dans laquelle Marie Lafarge commente, à la troisième personne, les circonstances de sa propre condamnation et lacharnement judiciaire dont elle a été victime en raison de sa position sociale. Elle sindigne du livre 'Les Femmes en prison de Joséphine Mallet' (1843), revient sur les analyses supplémentaires demandées au Dr Orfila et sur le réquisitoire qui avait mis laccent sur le principe dégalité devant la loi. "On dresse un procès-verbal dautopsie, il ny a pas darsenic, il ny a pas de lésions, doù les médecins concluent pour la pauvre femme quil ny a pas empoisonnement pour la grande dame, que les symptômes sont naturels, que la mort ne lest pas. On sadresse à la chimie une première fois lexpérience manque le tube se casse le résultat est nul mais les médecins qui veulent avoir de la conscience et ne pas se laisser influencer par la position de linculpée, déclarent unanimement que dun résultat nul il résulte les preuves de lempoisonnement. Dautres chimistes () ne trouvent pas de poison!... Mais un procès célèbre ne peut pas sarrêter () pour une grande dame ce nest pas assez que deux expériences négatives ce nest pas assez de onze chimistes qui nont quun mérite de province et dhonnête homme. Il faut mander le prince de la science ! (...)"Marie Lafarge occupe une place à part dans l'histoire de la criminalité féminine. Son procès fait figure dexemple. Héritière des affaires de sorcellerie et de poison des siècles précédents, la justice dresse pour la première fois la menace de l'expertise médico-légale pour détourner les femmes de leurs ambitions meurtrières. On joint L. A. S. signée "M. C." (Marie Cappelle Lafarge) à M. Espagne réclamant une cuillerée de potion dun remède antipoison : "Jai des crampes destomac à me tordre. Jai pris de léther, du laudanum et rien ne me fait, je souffre le martyre".On joint également une autre L. A. S. de Marie de Léotaud (la victime du vol de diamants dont Madame Lafarge fut accusée).
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[ 3 L.A.S. adressées à Mlle Simone Arnaud Delage ] Lettre autographe signée de Camille Doucet, de l'Académie Française, 1 page à en-tête de l'Institut de France sous enveloppe marquée "Académie Française", datée du 25 mai 1885 : "Mademoiselle et chère confrère, Rien de plus touchant et de plus dramatique que votre Roche "Mengan", j'en suis encore tout ému & je m'empresse de joindre mes très sincères compliments aux remerciements que je vous dois pour votre bon et gracieux souvenir" ; Lettre autographe signée de Georges Monval, Bibliothécaire Archiviste de la Comédie Française, datée du 12 février 1883, 1 page sous enveloppe : "Mademoiselle, J'ai l'honneur de vous informer que, dans sa séance du 8 février, le Comité d'Administration du Théâtre Français a pris connaissance du rapport fait par la Commission d'examen sur votre comédie : "Mademoiselle du Vigean". J'ai en même temps le plaisir de vous annoncer que le Comité, s'associant aux conclusions de ce rapport, a réservé votre ouvrage pour l'envoyer devant le Comité de Lecture" ; Lettre autographe signée d'Albert Delpit, 4 pages sous enveloppe : "Mademoiselle, j'irai vous voir demain. [ ... ] Il est fort possible que je ne sois pas libre à 4 h ; mais plus tard. Et j'ai besoin de vous voir car j'ai des conseils importants à vous donner sur Jane Grey. Voulez-vous que nous admettions ceci ? Si vous ne receviez rien de moi, demain avant midi, c'est que j'irai rue St Pétersbourg [ ... ]
Ensemble de 3 lettres autographes signées adressées à la future Mme Copin-Albancelli, par Camille Doucet, Georges Monval et Albert Delpit.
Sans date. Format : 320x202 mm - 1 page - papier filigrané. ".dans un moment si pénible que notre Majesté dégnerai prendre en considération ma pénible et touchante position ayant toujours conservée les plus vives sentiments de reconnaissance. à la perte d'un fils mort après neuf années. à la bataille de Moscou.". Bon état général - Envoi protégé