GLM "Sources" 1939, petit in-16 broché, 158 p. (tache sans gravité au quatrième de couverture, sinon très bon état) Tirage limité à 1365 exemplaires, 1 des 1300 numérotés sur vélin. Anthologie d'autant plus intéressante que le choix des textes et la préface sont dues à Paul Eluard ; portrait de Baudelaire par Marcoussis en frontispice.
						Reference : 51737
					
Librairie Jean-Michel de Laubrière
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 1896 Paris, Bibliothèque artistique et littéraire, 1896. In-4, demi-maroquin noir à coins, dos à nerfs, tête dorée, couverture et dos conservés (Duhayon).Édition originale de cet ouvrage collectif établi sous la direction de Stéphane Mallarmé. Illustré d'un frontispice de Félicien Rops, du fac-similé d'une page dessinée par Baudelaire, il comprend une importante étude des Fleurs du Mal par A. Ourousof, une trentaine de poèmes en hommage à Baudelaire, en vers signés Mallarmé, Coppée, Hérold, Louys, Régnier, Rodenbach, Richepin..., en prose par Claretie, Jacques des Gachons, Nadar... ; suivent des œuvres posthumes inédites, et des notes pour une iconographie. La justification donne la liste détaillée des souscripteurs.Tirage unique à 255 exemplaire, celui-ci est un des 200 sur vélin, justifié à la plume n° 191, souscrit par M. Vidal Naquet, Marseille. 
s. d. [mai 1854] | 13.9 x 21.7 cm | une page sur un feuillet
Lettre autographe signée de Charles Baudelaire adressée à Antoine Arondel, rédigée à l'encre noire sur un feuillet de papier bleu. Pliures inhérentes à l'envoi, d'habiles restaurations d'infimes manques n'affectant pas le texte, une petite déchirure sur la signature discrètement restaurée. Cette lettre a été retranscrite dans laCorrespondance I de Baudelaire (Collection de la Pléiade, p. 277) et datée par Claude Pichois de mai 1854. Baudelaire envoie des places de théâtre à son marchand d'art Antoine Arondel personnage sulfureux et sans scrupules qui profita du goût immodéré du poète pour les beaux-arts et excita sa manie de la collection. * Baudelaire possédant le génie de la poésie mais non celui des affaires, avait rapidement dépensé une grande partie de l'héritage paternel de 70 000 francs reçus à sa majorité en 1842. Son correspondant, le peintre-brocanteur Antoine Arondel, habitait en même temps que Baudelaire à l'hôtel de Lauzun, alors connu sous le nom de lhôtel Pimodan, sur l'île Saint-Louis. Au rez-de-chaussée, son dépôt de curiosités installé dans la cour de l'hôtel fut un « véritable lieu de perdition pour le prodigue »(Marie-Christine Natta, Baudelaire) : Arondel lui procura un grand nombre de « rêves peints sur la toile » - espagnolsà la manière du peintre baroque Zurbaran, et italiens dans le genre du Bassan.Le poète paya bien cher son antiquomanie, «s'endettant par des billets et des traites, dont le plus ancien remonte au 5 novembre 1843; plusieurs autres furent antérieurs à la dation du conseil judiciaire intervenue le 21 septembre 1844. Cet usurier fit tant et si bien que son client s'aperçut assez tôt qu'il était berné, mais sans pouvoir se dégager. D'où une moquerie décochée sous l'anonymat dans Les Mystères galans des Théâtres de Paris en 1844 et des mentions, mi-figue mi-raisin, dans les Salons de 1845 et de 1846.» (Claude Pichois, Lettres à Charles Baudelaire, 1973, p. 13). Baudelaire se vengea en effet dans un paragraphe sanglant des Mystères galans, qui visait également le baron Pichon à qui le poète louait ses appartements de lhôtel Lauzun: « N'avez-vous pas aujourd'hui MM. Hiéronyme Pichon, lordArundellet pas mal d'amateurs de rosses plus ou moins arabes, qui lésinent sur leur débauche, et grapillent sur le revenu du rat qu'ils paient, on ne fait aujourd'hui que de la débauche pot-au-feu». A la lecture de cette insulte, Arondel exigea que Baudelaire fasse des excuses à Pichon. Sous la menace, le poète consigna même par écrit sa rétractation. A lécriture de cette lettre en 1854, Baudelaire nétait toujours pas libre dArondel: «Les années passant, Baudelaire renouvelait les billets augmentés des intérêts. Arondel cherchait à recouvrer, multipliait les manuvres et se heurtait au refus de tout paiement par Ancelle[responsable de sa tutelle] » (Claude Pichois, ibid). Lune de ces manuvres fut de revendre les obligations à des hommes de paille. Désespéré, Baudelaire sollicite ici dans un cryptique et dramatique passage l'aide d'Arondel pour apaiser lun de ces désagréables personnages qui réclamait paiement : «Je vais vous écrire une lettre, dès ce soir, où je vous expliquerai très clairement ce que je puis faire, ce que je désire, - le possible, et l'impossible, puis vous m'écrirez pour me donner un rendez-vous pour voir votre Perducet, dont il faut absolument que je triomphe,- avec votre aide». Selon Pichois, «il nen fut rien», et Baudelaire nécrivit pas dautre lettre à son correspondant. Pour amadouer Arondel, Baudelaire lui offre des places de théâtre: «Je vous engage, si vous voulez voir mes merveilleux Chinois, à aller là-bas de bonne heure, car si vous vouliez esquiver le drame précédent, vous risqueriez fort de ne pas trouver de places, - le papier que je vous laisse étant un simple mot du directeur, et n'impliquant pas la retenue de places numérotées. » Cette troupe dacrobates avait satisfait le goût pour lexotisme de Baudelaire, qui louera « la grâce divine du cos
 
								 
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Bureau de la revue. Janvier 1958. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 30 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Sommaire : Charles Baudelaire, le plus grand des poètes maudits, Réflexions sur l'art poétique de Charles Baudelaire par Yves Gérard Le Dantec, A quoi bon la critique ? par Charles Baudelaire, Charles Baudelaire : essai de biographie, Oeuvres de Charles Baudelaire Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : alb045c129881745d1f
Charles Baudelaire. Baudelaire Charles. LArt romantique. Par Charles Baudelaire. Romantic art. In French (ask us if in doubt)./Charles Baudelaire. Bodler Sharl'. LArt romantique. Par Charles Baudelaire. Romanticheskoe iskusstvo. In French. Paris. Calmann-Levy editeurs. Kalmann-Levy 1891. 412 p. SKUalb045c129881745d1f.
Avec 5 eaux-fortes originales dont 2 de Manet. [BAUDELAIRE (Charles)] - ASSELINEAU (Charles).
Reference : 12837
(1869)
 1869 P., Alphonse Lemerre, 1869, 1 vol. in-12 (182 x 115 mm), relié 1/2 basane marron époque, dos lisse, auteur, titre et série de 6 double-filets dorés, plats de papier marbré lie-de-vin, de (2) ff. (faux-titre et titre) - 109 pp. - (1) f. (table).Dos légèrement insolé, pâles rousseurs éparses. 
Edition originale de la première biographie de Charles Baudelaire parue 2 ans après sa mort. Exemplaire sur papier fort.5 eaux-fortes originales représentant des portraits de Baudelaire : 1. gravé par Bracquemond daprès Emile Deroy (1844) en frontispice - 2. gravé par Bracquemond daprès un autoportrait de lauteur (1848) - 3. gravé par Bracquemond daprès Gustave Courbet (1848) - 4. Baudelaire de profil en chapeau peint et gravé par Manet (1862) - 5. Baudelaire de face peint et gravé par Manet (1865).Réf. biblio. : Vicaire, I-129 ; Clouzot, 9 : "Recherché surtout pour les 5 portraits de Baudelaire (). Assez souvent piqué et peu commun en reliure dépoque" ; Berès, Manet, dessins, aquarelles, eaux-fortes, lithographies1978, fiche 41 : Baudelaire de profil en chapeau - Eau-forte originale en 2e état, Manet ajoute son initiale M sur un petit rectangle hachuré - fiche 46 : Baudelaire de face III - Eau-forte, 4 états (?) : 1e tirage dans Asselineau en 1869.