Gallimard 1960 (retirage de 1970), in-8 broché sous jaquette illustrée, 377 p. (très bon état) Véritable chant d'amour à la gloire de sa mère ; un livre qu'on n'oublie pas.
Reference : 48261
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Paris, Gallimard, 1960. In-8 (210 x 145 mm), 374 pp., 6 ff. n. ch. Demi-veau noir, dos lisse, auteur, titre et date argentés, non rogné, couvertures et dos conservés (Boichot).
Édition publiée la même année que l'originale. Roman autobiographique mêlant l’amour, la tendresse, l’humour et l’autodérision. Romain porte les espoirs de triomphe et de célébrité de sa mère Mina, qui l’entoure d’un amour inconditionnel et démesuré. Mina, exilée russe, personnalité excentrique et excessive, est animée d’une détermination inébranlable pour permettre à son fils de devenir un homme exceptionnel. "Avec l'amour maternel, la vie vous fait à l'aube une promesse qu'elle ne tient jamais. […] Après cela, chaque fois qu'une femme vous prend dans ses bras et vous serre sur son coeur, ce ne sont plus que des condoléances" (chapitre 4, p. 36). L'exemplaire de l'académicien Maurice Druon, avec son ex-libris de l’Académie française et sa devise "À l'immortalité" entourée de deux rameaux d’olivier. Maurice Druon (Paris, 1918-Paris, 2009) a été élu, en 1966, au 30e fauteuil de l’Académie française, en remplacement de Georges Duhamel. Il en devint secrétaire perpétuel de 1985 à 1999. Écrivain, récipiendaire de nombreux prix dont le prix Goncourt en 1948 pour son roman Les Grandes familles, il fut ministre des Affaires culturelles (1973-1974). Résistant, engagé dans les rangs de la France Libre comme son oncle Joseph Kessel, également membre de l’Académie française (1962), ils composèrent ensemble Le Chant des partisans (1943). Proposé pour succéder au fauteuil d’académicien de Joseph Kessel, Romain Gary déclina son entrée chez les "Immortels". Bel exemplaire.
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