‎SUE Eugene‎
‎MATHILDE.‎

‎Mmoires d'une jeune femme. Nouvelle dition, revue par l'auteur. Imp. Bthune et Plon / Schneider et Langrand, Parigi, 1844-1845. In-8 gr. (mm. 265x174), 2 volumi, tela coeva, tit. oro al dorso, pp. (6),548 (compresa l'antiporta figurata); (4),548; molto ben illustrato nel t. e in 67 tavole f.t. da composizioni di Tony Johannot, Gavarni e Cel Nanteuil, incise su legno da Porret. "Prima edizione illustrata, in prima tiratura". Cfr. Carteret,III, p. 576: Un des romantiques les plus rares et des mieux illustrs. Con qualche arross. ma complessivamente ben conservato.‎

Reference : 29371


‎‎

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‎MARCHAL REBOUL, Ninette‎

Reference : 55717

(1978)

‎Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎

‎1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎


‎Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR750.00 (€750.00 )

‎SOUZA Adélaïde de‎

Reference : 15854

(1811)

‎Eugénie et Mathilde, ou mémoires de la famille du Comte de Revel , par l'auteur d'Adèle de Senange‎

‎Chez L. Deconchy., à Londres 1811, in-12 (10,5x18cm), (2) 257pp. et (2) 297pp. et (2) 279pp., 3 volumes reliés.‎


‎Cette édition est parue en même temps que l'édition originale de Paris, chez Shoell. Cette édition semble moins courante que la parisienne, et ne se trouve d'ailleurs que dans les catalogues anglais. Reliures en demi veau caramel à coins. Dos lisse à filets dorés. Pièce de titre en veau noir. 2 coiffes supérieurs légèrement élimées. Frottements. Madame de Souza fut une des femmes les plus intelligentes sous le règne de Louis XVI durant lequel elle tint salon, elle fut forcée de quitter la France en 1793, devint bientôt veuve (son mari fut guillotiné), puis se remaria en 1802. Ses romans, empreints de l'esprit et de la manière de la fin du XVIIIe connurent un franc succès. Ils sont malheureusement peu étudiés aujourd'hui et mériteraient une réhabilitation. « Dans Eugénie et Mathilde, où elle a peint l'impression des premiers événemens de la révolution sur une famille noble, il est permis de lui attribuer une part du sentiment de Mathilde, qui se dit ennuyée à l'excès de cette révolution, toutes les fois qu'elle n'en est pas désolée. on trouve dans celui d'Eugénie et Mathilde, qui parut seulement en 1811, des reflets non moins frappans de la nature du nord, des rivages de Hollande, des rades de la Baltique, où se prolongeait tristement l'exil de Mme de Flahaut (le premier mariage de Mme de Souza). Eugénie et Mathilde, que nous avons déjà beaucoup cité, est le plus long et le plus soutenu des ouvrages de l'auteur. L'auteur y a représenté au complet l'intérieur d'une famille noble pendant les années de la révolution. Dans Eugénie et Mathilde, Mme de Souza s'est épanchée personnellement plus peut-être que partout ailleurs. » (Extraits de Sainte-Beuve, Revue des deux mondes, T1, 1834). - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR250.00 (€250.00 )

‎[Henri Laurens] - ‎ ‎MAUCLAIR, Camille ; ARBEY, Mathilde‎

Reference : 56369

(1933)

‎Marrakech. Trente planches en couleurs d'après les tableaux de Mathilde Arbey [ Edition originale - Livre dédicacé par Mathilde Arbey ]‎

‎1 vol. grand in-8 br., Henri Laurens, Paris, 1933, 171 pp.‎


‎Bel envoi autographe signé du peintre Mathilde Arbey : "A Madame G. Bonneau qui apprécie la beauté dans toutes ses expressions et aimerait les couleurs du Maroc". Etat moyen (couv. abîmée avec traces d'adhésif, dos faible, bon état intérieur). Rare exemplaire de cet ouvrage recherché, dédicacé par l'artiste Mathilde Arbey (1890-1966) qui fut notamment l'élève de Jean-Paul Laurens, Fernand Humbert ou Fernand Sabatté ; l'ouvrage mériterait d'être établi dans une reliure de qualité. Prix en l'état.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR295.00 (€295.00 )

‎[SCUDÉRY (Madeleine de)].‎

Reference : 42633

(1667)

‎Mathilde. Dédié à Monsieur frère unique du Roy.‎

‎Paris, Chez Edmé Martin et Français Eschart, 1667. 2 parties en 1 vol. in-12 de (4)-122 pp. 1 f. blanc, 518 pp. 1f. blanc, frontispice, maroquin janséniste rouge, dos à nerfs, dentelle intérieure, tranches dorées sur marbrure (Duru et Chambolle 1863). ‎


‎Édition originale illustrée d'un frontispice gravé d'après Chauveau, accompagnée de l'importante préface intitulée Les Jeux, servant de préface à Mathilde. « Non pas vraiment inconnue, mais plutôt méconnue, la nouvelle que fit paraître Madeleine de Scudéry en 1667 devrait pourtant connaître un autre sort. En effet, loin d'être alors un auteur sur le déclin, la romancière (1607-1701) y démontre ses qualités traditionnelles jointes à une audace littéraire - voire politique - qui surprend. En ressuscitant Laure et Pétrarque, elle fonde la légitimité historique du courant galant; en racontant les amours d'Alphonse et de Mathilde dans l'Espagne sanglante du XIVe siècle, elle entrelace idylle galante et intrigues de cour, amour et ambition, comme le fera onze ans plus tard Mme de Lafayette dans La Princesse de Clèves; enfin, jouant de la fiction du non-fictif, elle va jusqu'à donner à son écriture historique des accents critiques étonnants. Frappée de mutisme pendant cinq ans à la suite de l'affaire Foucquet, Madeleine de Scudéry recommença à publier avec Mathilde, dont le texte constitue un des sommets de l'art de la romancière. » (Nathalie Grande, édition moderne Honoré Champion). Le roman fut réédité sous le titre Mathilde d'Aguilar, histoire galante (1702).Provenance : baron Léopold Double (deux ex-libris dont une croix potencée, le second Ex museo L. Double), bibliophile et grand collectionneur, acquéreur en 1848 de la bibliothèque de Louis XIV ; Lucien Scheler, « Coll.complet » paraphé.Très bel exemplaire relié en maroquin janséniste rouge signé Chambolle-Duru.Tchemerzine-Scheler, V, p.786 ; Lever, Fiction narrative en prose au XVIIe siècle, p. 261 ; Catalogue de la bibliothèque M. Léopold Double, 1863, n° 204, acheté par le comte du Tillet pour 131 francs : Superbe exemplaire d'un volume rare. ‎

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Phone number : 33 01 46 33 57 22

EUR6,000.00 (€6,000.00 )

‎BARTHÉLEMY (Auguste Marseille) ‎

Reference : 186

(1854)

‎A S.A.I. Madame la Princesse Mathilde Bonaparte‎

‎S. l. 1854 [4] pp. in-f° (359 x 229 mm), 106 lignes, écriture cursive à l'encre brune. ‎


‎Violent pamphlet anti-Bourbon en vers, autographe et inédit, sous forme de dialogue entre l'auteur et Mathilde Bonaparte signé et daté du 7 juin 1854. L'auteur accuse Mathilde Bonaparte, qui vient de donner son patronage en présence de L'abbé Moret et de monseigneur Sibour à un ouvroir de jeunes filles dit « asile Mathilde », de n'avoir fait « en ouvrant un asile à ces jeunes Ultra » que former « un dangereux essaims de serpens » dont la « pensée obstinement aspire à la destruction de notre jeune empire ». Et de continuer « qu'ils sont tous ennemis nés de toute dynastie qui de Robert-le-fort n'est pas, tout droit, sortie, et machinent sans cesse, avec un zèle ardent, un retour d'Henri-quint leur digne Prétendant. » Il finit par « Que dira l'empereur ? ». Il est fait référence ici à l'oeuvre de Notre-Dame des Sept Douleurs, créée pour secourir des jeunes filles nées ou domiciliées dans le département de la Seine. Fondée en 1853 par l'abbé Moret, curé de Saint-Philippe du Roule, la paroisse de Mathilde fut placée sous le patronage de la princesse en 1854. Auguste Barthélemy (1796-1867), est un poète satirique français. Après avoir acquis une certaine réputation locale comme poète, Barthélemy gagna Paris. Il produisit alors plusieurs oeuvres en collaboration avec Joseph Méry dont le succès fut immédiat. En 1829, Barthélemy fut emprisonné pour la publication de leur Fils de l'homme, puis fut libéré lors de la révolution de Juillet 1830. De mars 1831 à avril 1832, ils publièrent une série de satires en vers dans l'hebdomadaire La Némésis, où ils attaquaient le gouvernement de Louis-Philippe. En 1832, il publia un poème anonyme soutenant certains actes du gouvernement dirigés contre la faction libérale du parti orléaniste. Ce changement d'allégeance mit fin à son influence et ses écrits ultérieurs passèrent inaperçus. Pendant quelques années, il bénéficia d'une pension convenable du gouvernement et s'abstint d'écrire des satires. Il reprit son ancienne manière en 1844, mais sans renouer avec le succès. ‎

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