La Folla, Milano, 1924. In-8 p., mz. tela, tit. oro al dorso, pp. 199. Prima edizione. Cerniere interne leggerm. allentate, ex-libris, peraltro ben conservato.
Reference : 131182
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Paris, Flammarion 1938, 215x150mm, 218pages, broché. Reste d’étiquette de cotation sur le bas du dos, autrement bel exemplaire, non coupé.
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Paris, Flammarion 1938, 215x150mm, 148pages, broché. Reste d’étiquette de cotation sur le bas du dos, autrement bon état, non coupé.
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Lausanne, Université de Lausanne 1987, 295x210mm, 247pages, illustré, broché.
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Paris, Bloud et Gay sans date, vers 1929, 185x120mm, IV - 339pages, demi-percaline. Plats papier marbré. Auteur et titre dorés au dos. Bel exemplaire.
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Fayard, 1960, in-8°, 504 pp, chronologie, broché, bon état (Coll. Les Grandes études contemporaines)
"Auteur d’un livre sur l’Italie fasciste paru avant la guerre, ayant connu personnellement le Duce, M. Georges-Roux était bien placé pour évoquer la figure du dictateur fasciste. Quinze années ont passé depuis la mort de celui-ci ; perspective suffisante, semble-t-il, pour parler d’un personnage historique, même s’il s’agit du fondateur du fascisme..." (Le Monde diplomatique) — "... Assez proches des historiens fascistes, quelques observateurs, en particulier des diplomates étrangers, ont été frappés par les réalisations dues au génie et à l'autorité d'un chef exceptionnel. Georges Roux qui, comme beaucoup de représentants de la droite européenne, a vu dans Mussolini le sauveur de l'ordre et de la civilisation occidentale en face de la révolution bolchevique, le dépeint comme l'une des personnalités européennes les plus efficaces et les plus lucides. Malheureusement, à partir de 1936, son abdication devant Hitler qu'il avait pourtant jugé, lors des premières rencontres, comme un histrion et un fanatique, allait entraîner sa ruine et celle de son pays..." (Geneviève Bibes, Le fascisme italien : Etat des travaux depuis 1945, 1968) — "Le destin de Mussolini est certainement l’un des plus extraordinaires de notre temps. Georges-Roux a écrit sur lui un livre de haute qualité, dont la division en chapitres relativement courts, rend la lecture particulièrement aisée, malgré l’importance de l’ouvrage. L’exposé des faits, leur enchaînement, leur signification, sont très clairement présentés, aussi complexe que soit, au-delà de l’aventure même de Mussolini, cette tranche de l’histoire contemporaine. L’auteur montre d’abord comment Mussolini a su s’imposer à tout un peuple, et en partie au monde, lorsqu’il a pris le pouvoir. Absence de doctrine écrite et préétablie, mais volonté puissante et amour du pouvoir pour lui-même, trois conditions nécessaires pour mener une politique à la fois souple et ferme. L’image tracée par l’auteur, dans les premières années du Fascisme, est sympathique et compréhensive ; c’est celle d’un homme que n’anime aucune passion basse, et que l’amour de son pays transcende. Puis le héros devient le prisonnier de son personnage, et, repoussé par les Occidentaux, succombe, pour son malheur et celui de l’Europe, à la fascination hitlérienne. Et c’est une autre image du Duce qui nous est offerte : celle d’un homme malade, dominé par un Allié dont il ne peut on n’ose secouer le joug, et qui s’achemine vers les actes les plus contraires aux intérêts de son pays et à la volonté de son peuple, avant de tomber dans la trahison. Car, outre Mussolini, il y a dans ce livre un autre héros, moins visible, mais toujours présent : c’est le peuple italien, le petit peuple, pétri de finesse et d’intelligence par des siècles de haute civilisation, et qui suit son chef tant qu’il le conduit vers un progrès réel – même s’il s’amuse du spectacle et des gestes théâtraux, tout en s’y montrant sensible – mais qui s’en sépare lorsque ce chef dépasse la mesure et s’écarte de la voie nationale. Au fond, au-delà des drames familiaux et locaux dont cette histoire abonde, il y a cet accord ou ce désaccord entre le chef et le peuple, où réside en réalité toute la vérité de la vie d’une nation." (Jean Nemo, Revue Défense Nationale, 1961)