1859 1859 Garnier Frères 1859 1 in 8 411 dans l'affaire Goezman
Reference : LCI-139
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Garnier 1859 in12. 1859. reliure demi-basane. 411 pages. Bon Etat intérieur propre
P., Garnier Frères, 1859, in-12, xx-411 pp, reliure demi-chagrin noir, dos à 4 nerfs soulignés à froid, titres et fleurons dorés, tranches pennées (rel. de l'époque), bon état
Le 17 juillet 1770, le financier Pâris-Duverney meurt et les dispositions qu'il a prises dans son testament en faveur de Beaumarchais sont contestées par le comte de La Blache, son légataire universel. Un procès s'ensuit et les biens de Beaumarchais sont finalement saisis lorsqu'en 1773 il publie à propos des agissements du rapporteur à son procès, le juge Goëzman, quatre mémoires dont l'esprit et la dialectique ont un retentissement considérable et font condamner le juge, le 26 février 1774. Ces mémoires singuliers sont encore le plus beau titre littéraire de leur auteur ; ils l'environnèrent d'une réputation bruyante qui alarma Voltaire lui-même, jaloux de toute espèce de gloire et lui concilièrent je ne sais quelle faveur publique, dont il tira plus de force que de considération, mais qui n'en préparèrent pas moins le succés de tous ses ouvrages. (Michaud).
Nouvelle édition collationnée avec le plus grand soin sur les éditions originales et précédée d'une appréciation tirée des causeries du lundi par Sainte-Beuve. Le 17 juillet 1770, le financier Pâris-Duverney meurt et les dispositions qu'il a prises dans son testament en faveur de Beaumarchais sont contestées par le comte de La Blache, son légataire universel. Un procès s'ensuit et les biens de Beaumarchais sont finalement saisis lorsqu'en 1773 il publie à propos des agissements du rapporteur à son procès, le juge Goëzman, quatre mémoires dont l'esprit et la dialectique ont un retentissement considérable et font condamner le juge, le 26 février 1774. Ces mémoires singuliers sont encore le plus beau titre littéraire de leur auteur ; ils l'environnèrent d'une réputation bruyante qui alarma Voltaire lui-même, jaloux de toute espèce de gloire et lui concilièrent je ne sais quelle faveur publique, dont il tira plus de force que de considération, mais qui n'en préparèrent pas moins le succès de tous ses ouvrages. (Michaud) volume in8, 180x100, relié demi cuir, frottements, bel état intérieur, frais, 451pp. Paris, Garnier frères, 1878 ref/207
Paris, Garnier frères 1884 In-12 18 x 11 cm. Reliure demi-chagrin brun, dos à nerfs, XVI-411 pp. Reliure légèrement frottée.
Bon état d’occasion
Paris, Garnier Frères, 1859. Un vol. au format in-12 (188 x 123 mm) de 1 f. bl., 1 frontispice gravé n.fol., xx - 411 pp. et 1 f. bl. Reliure de l'époque de demi-veau glacé citron, dos à nerfs orné d'un décor ''à la grotesque'' comportant filets gras à froid, roulette dorée sur les nerfs, doubles caissons d'encadrement dorés, important entrelacs de fleurons dorés, pièces de titre de maroquin vieux-rouge et émeraude, titre doré, filet en pointillés dorés, double filet doré et entrelacs de filets dorés en queue, tranches mouchetées.
Exemplaire revêtu d'une délicate reliure du temps. Il s'ouvre sur un portrait-frontispice gravé par Ambroise Tardieu d'après Saint-Aubin. ''Les années 1770-1773 sont pour Beaumarchais des années de procès et de défaveur : outre ses démêlés judiciaires avec le comte de la Blache, engendrés par la succession testamentaire de Joseph Pâris Duverney, il est selon lui victime de la corruption régnant au sein de la Grande-Chambre du Parlement, ce qui va entraîner l'affaire Goëzman. Il y manifeste un art consommé des factums, allant jusqu'à renouveler le genre mais il y perd sa fortune et ses droits civiques. Cependant ses 'Mémoires contre Goëzmann', par leur faconde et leur hardiesse, l'ont rendu populaire. Il incarne ainsi la résistance citoyenne envers le pouvoir absolu et acquiert aussi une notoriété internationale''. Angles et coiffe supérieure élimés. Rousseurs affectant le frontispice ; très rares dans le texte.