Michel Lafon 2015 414 pages 24x16x3cm. 2015. Broché. 414 pages.
Reference : 95489
ISBN : 9782749927213
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Démons et Merveilles
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S.l., 4 décembre 1700 (1701) in-12, 108 pp., couvertes d'une écriture fine et très lisible (environ 30 lignes par page, quelques biffures et ratures), avec un frontispice gravé avec un cartouche vide (Paris, chez Bonnart), portant un titre manuscrit Journal du sr. Frigard, ordinaire de la musique du Roy, veau brun, dos à nerfs cloisonné et fleuronné, tranches mouchetées de rouge (reliure de l'époque).
Très important et très intéressant témoignage historique parfaitement inédit. Il mériterait au demeurant une publication critique, tant il documente excellemment et au plus près des réalités le voyage effectué par le jeune Philippe V pour rejoindre ses États espagnols après l'acceptation du testament de Charles II par son grand-père Louis XIV.Selon les indications portées dans le cartouche de titre, son auteur serait donc Pierre Frigard, originaire de Louviers et musicien ordinaire du Roi (voix de basse). Effectivement, son nom figure dans la liste donnée par le Mercure galant des principaux musiciens qui firent le voyage jusqu'à la frontière espagnole. Il devait ultérieurement épouser Louise-Marie Simart, gouvernante du Prince de Lambesc, et demeurer au service de la chapelle royale de Versailles. De surcroît, de nombreuses notations du texte concernent les prestations musicales, tant vocales qu'instrumentales, qui furent délivrées pendant le périple, ce qui offre une cohérence bienvenue avec l'affirmation initiale. Par exemple, p. 3 : "Le lendemain dimanche, les princes entendirent la messe et le Roy n'y alla qu'après nous commençâmes à y chanter la messe en musique ; ce que nous avons tousjours continué à l'une et à l'autre messe pendant tout le voyage ; il est aussi à remarquer que nous chantâmes un pseaume en musqiue aux vespres auxquelles le Roy et les princes ne manquèrent point d'assister toutes les festes et dimanches". De même, les quelques noms de ses collègues correspondent à la liste du Mercure : "Nous ne fûmes que 5 qui eurent l'honneur d'être nommez par Sa Majesté dont voicy les noms : Mrs Gaye, Roger, Boutiller [Bouteiller], Abaillard [Abélard] et moy, les reste étoient de 5 symphonistes appartenant à Mr. le comte d'Ayen".La date qui figure au début (4 décembre 1700) correspond à celle fixée par Louis XIV pour le départ de la suite, mais la rédaction complète doit être au moins de 1701, voire ultérieure.La relation d'un homme instruit mais qui ne fait pas partie du monde des "grands".Après une énumération assez sèche de toutes les étapes du voyage (Chartres, Étampes, Orléans, Blois, Amboise, Loches, Poitiers, Lusignan, Saintes, Blaye, Bordeaux, Langon, Bazas, Tartas, Dax, Bayonne, Saint-Jean-de-Luz), le texte commence ainsi : "Monseigneur le Duc d'Anjou Roy d'Espagne et Messeigneurs le Duc de Bourgogne et de Berry partirent de Versailles sur les onze heures et prirent le chemin de Sceaux [pour saluer le Dauphin] où ils arrivèrent à midi". De la page 2 à la page 38, chaque étape est soigneusement décrite, tant les cérémonies officielles prévues par les échevins et les autorités locales, que les messes, les repas, les divertissements (dont une tauromachie à Bayonne décrite aux pp. 30-31), les hébergements - généralement mauvais, spécialement à Bordeaux, comme indiqué p. 22 : "Pour moy tous ceux à, qui j'eus affaire me reçurent assés mal". Mais notre aimable musicien n'est pas agneau à tondre, comme on le verra par le traitement qu'il réserva à un bourgeois bordelais lui ayant fermé sa porte malgré un bon de logement en règle. L'anecdote vaut la peine d'être reproduite : "Je fis un peu le diable à quatre et comme j'avois des logements de relais, je fus dans un autre endroit ; mais le lendemain venu, je fus accompagné de deux de mes amis chés le dit sieur, où il eut la gueule torchée tant et plus, rien n'y manquoit, non content de l'avoir quasi assommé, j'envoyai dix palferniers [sic] loger dans sa maison, et il fut par mes plaintes contraint de céder jusqu'à son lit, et de loger ailleurs."Quand on ajoute qu'il exerce des jugements tranchés sur son entourage (par exemple son mot sur l'évêque de Dax, "Il a autant l'air d'un évêque que j'en ay du pape"), on comprendra toute la valeur d'un témoignage pris sur le vif, détaillé, et émanant d'un témoin instruit, mais n'appartenant pas au monde des Grands.La dernière messe chantée le 22 janvier 1701, Philippe V passa sur le territoire espagnol et prit congé de sa suite, dont ses musiciens.À partir de la page 38, Frigard donne le récit de son voyage de retour avec les princes, qui forme en fait une longue pérégrination, de Bayonne à Versailles en passant par Auch, Toulouse, Castelnaudary, Carcassonne, Béziers, Montpellier, Nîmes, Beaucaire, Salon, Tarascon, Aix, Marseille, Toulon, Aubagne, Cavaillon, Avignon, Montélimart, Valence, Romans, Grenoble, Lyon, Mâcon, Chalon, Beaune, Dijon, Auxerre, Sens, Fontainebleau, et Essonne. Ce circuit allongé avait lui aussi été programmé par Louis XIV pour une sorte de "tour de France" de ses deux petits-fils. En fait, le texte de notre musicien passe très rapidement sur les étapes de Dijon à Versailles. Mais, pour le reste du trajet, il regorge encore de détails sur chacune des étapes où les préoccupations principales, une fois les messes chantées, tournent autour de la table et des "nymphes" (entendez que Frigard et son compagnon Abélard eurent le temps de tomber amoureux de jeunes demoiselles lors de l'étape d'Auch). Les descriptions des villes, de leurs églises et de leurs habitants l'emportent également dans cette partie : Aix suscite particulièrement l'admiration de Frigard ; mais Marseille retient aussi son attention (avec une liste des 40 galères et de leurs capitaines, pp. 70-72). Anecdotes piquantes et bons mots continuent tout au long, telle cette réplique à un riche bourgeois de Marseille (encore un, appelé "gros cochon de magasinier à cinquante mille escus de rentes") réticent à les héberger : "Comme j'eus l'honneur de voir Madame sa femme en même temps que lui, sur la réponse impertinente je lui fis réponse, qu'il ne devoit rien apréhender par rapport à Madame puisque c'étoit un remède d'amour ; j'avois raison puisqu'elle étoit laide comme un démon". Mais il faudrait en citer bien d'autres.Enfin, tout s'achève à Versailles, et par une messe auprès du Soleil de l'époque, comme il se doit : "Nos chevaux trouvèrent assés de jambes pour nous rendre à huit heures à Versailles où je fus assés tost pour entendre la messe du Roy. Mr. le Duc de Bourgogne fut surpris de me voir".Cf. Morales (Nicolas) : L'Artiste de cour dans l'Espagne du XVIIIe siècle ; étude de la communauté des musiciens au service de Philippe V. Madrid, Casa de Velazquez, 2007, p. 144. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT - LIEN DE PAIEMENT, NOUS CONSULTER.
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1 vol. in-4 reliure demi-vélin à coins, couvertures conservées, tirage sur BFK Rives, s.l.n.n., mai 1924, 14 pp. avec 6 planches hors texte (y compris le frontispice) et 8 planches ajoutées (dont beau portrait gravé ancien de Vauban, d'après Rigaud, dessiné et gravé par Bertonnier et une volante) et 8 L.A.S. jointes [ Contient notamment : ] 1 L.A.S. à en-tête du Château de Versailles, de Pierre de Nollhac - 1 L.A.S. à en-tête du Château de Versailles, datée de janvier 1913 de Gaston Brière : "Votre idée au sujet de l'inconnu de Versailles est intéressante [... mais il faut cette objection : ] "notre militaire de porte aucun ordre de Chevalerie. Or, dans les grands bustes de gros personnages du 17e siècle, je n'ai jamais trouvé l'oubli des insignes. Un Villars sans le Saint Esprit ou la Toison ne peut être un Villars... D'où je conclus que notre personnage doit être un ministre, quelque mestre de camp ou brigadier des armées du Roi, et que nous ne saurons probablement jamais son nom. C'est la conclusion mélancolique de bien des requêtes quand nul fil conducteur ne permet de relier l'oeuvre d'art à un lieu d'origine. Je souhaite que vous soyez heureux dans vos recherches d'archives sur le beau buste de Bordeaux. Plusieurs personnes consultées ont connu le nom de l'armateur Goëthals, j'espère quelques renseignements sur lui. Il serait fort curieux de savoir que le J.Louis Lemoyne du Musée viendrait également de la même collection" - 1 L.A.S. à en-tête du Château de Versailles, d'André Pératé, du 15 décembre 1916 : "Grâce à vous, l'histoire des bustes de Versailles et de St Cyr est définitivement éclairci. Le buste de St Cyr est une copie moderne de notre buste (envoi de l'Etat en 1886) ; copie fidèle au point que la signature A. Coysevox f. y est soigneusement reproduite [ suivent d'autres renseignement sur la signature de leur buste et d'un autre exemplaire, dans les collections royales d'Angleterre ] - 1 billet autographe signé de Pierre Nolhac (bon de visite salles du 18e siècle) - 1 L.A.S. à en-tête du Château de Versailles, d'André Pératé, du 20 Janvier 1917 : "Voici Monsieur un frottis, pris par notre sculpteur Alègre, de la signature du pseudo-Vauban [ ... ] Les intéressantes constatations que vous venez de faire sur le buste de Windsor nous montrent qu'il ne faut accepter qu'avec prudence certaines découvertes des critiques d'art anglais [ ... ]" - 1 L.A.S. à en-tête du Château de Versailles, d'André Pératé, du 5 mars 1917 : [ il remplace pour la correspondance Pierre de Nolhac, qui s'est cassé le bras droit ] "Je vous envoie le frottis de la signature de Coysevox pris par M. Alègre sur le bronze de la Garonne au Parterre d'eau [...] PS : Que pensez-vous de notre pseudo-Vauban ? Est-ce vraiment et sûrement un Villars ?" - 1 L.A.S. à en-tête du Château de Versailles, d'André Pératé, du 9 Avril 1917 : [ il le remercie pour les photos, conclut avec P. de Nolhac au caractère moderne du buste de Villars conservé à Windsorn malgré le caractère curieux d'un tel faux il y a une centaine d'année : ] "Quoi qu'il en soit de l'authenticité de ce buste, il donne les traits de Villars, et se rapproche singulièrement du nôtre, dont la copie est à St Cyr. Voilà, tout au moins, en ce qui concerne notre buste, une question d'attribution du personnage représenté qui est, grâce à vous, résolue, et nous vous en sommes très reconnaissants [...]" - 1 L.A.S. de Gaston Brière - 1 longue note autographe récapitulative de l'auteur - 1 courrier d'un correspondant anglais - 1 courrier tapuscrit Ville de Bordeaux
Exemplaire unique de l'auteur, enrichi des nombreux courriers autographes signés ayant servi à l'élaboration de l'ouvrage et de planches supplémentaires. L'intérêt de Maurice Meaudre de Lapouyade pour un buste conservé au Musée de Bordeaux et attribué à Lemoyne l'a conduit à d'intéressantes recherches à Versailles, Saint Cyr et Windsor. S'il conclut l'ouvrage en avouant son ignorance sur le personnage représenté dans le buste de Bordeaux, il a indiqué au crayon sous la figure de ce dernier : "Samuel Bernard". Bon état (frott. en plats, bel exemplaire par ailleurs).
A Paris, chez Audin, Libraire, quai des Augustins, n° 25, A Paris, chez Delaunay, Libraire, Palais Royal, A Paris, chez Giraldon-Bovinet, marchands d'estampes, galerie Vivienne, n° 26, A Versailles, Chez Etienne, Libraire du Roi, rue Satory, n° 9, A Versailles, chez Charbonneau, Libraire, rue Royale, n°3, A Versailles, chez Barreswil-Cambon, avenue St-Cloud, n° 15, Et aux Bureaux des Parisiennes Relié 1828 Petit in-18° relié demi veau taupe, dos lisse, xvj et 278 pages, un plan dépliant de la ville, du château et du parc en début d'ouvrage, ouvrage peu commun ; mors frotté et fragile, bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
In total 28 pieces in 1 volume. (4), 116 pp.; 34 pp.; 36 pp.; 2 pp.; 26 pp.; 21 pp.; 24 pp.; 16 pp.; 8 pp.; 16 pp.; 4 pp.; 8 pp.; 8 pp.; 7 pp.; 7 pp.; 6 pp.; 4 pp.; 6 pp.; 18 pp.; 14 pp.; 8 pp.; 16 pp.; 15 pp.; 30 pp.; 11 pp.; 38 pp.; 4 pp.; 20 pp. 4to. Contemporary half calf, spine with raised bands, marbled boards. First work: Not in Kress (cf.: B.360 & B.361); not in INED; not in Einaudi; Goldsmiths 12183 & 12184. At least three issues appeared in 1781: two from the Imprimerie Royale and 1 from the Imprimerie du Cabinet du Roi. The latter was intended for royal use only and was not put in the trade. The Compte rendu was published in Monday, February 19 and fell on such fertile soil that even Necker must have been astonished at the eagerness with which the public seized upon the treatise, noting minutely every figure in the account, toting up the sums of revenue and expenditure, seeing how much the king spent on favors and pensions, adn what the royal household cost, and exactly what tribute was levied upon the people. .... But there was much more than figures in the treatise. Necker surveyed for the king (and the public) everything he had accomplished during his ministry. He expressed his ideas on reform and summarized what had been accomplished, and what he hoped to accomplish when the war (the American War of Independence) ended. The principles of moderate reform generated strong public support.Second work: Goldsmiths 13421; Einaudi 798; cf. Kress B.1173; not in INED.Third work: Discourses by Louis XVI, De Lamoignon, Loménie de Brienne, Dillon, d'Aligre, a.o.5th text: Not in Kress; not in Goldsmiths; not in Einaudi.9th-16th text: Each text is the separate convocation of each individual province of France and it is interesting to note the differences of textual wording for each part of France.19th-20th texts: These are the formal texts with open spaces in the text where the names and dates were to be filled in.21st text: Not in Kress; not in Goldsmiths; not in Einaudi.22nd text: Not in Kress; not in Goldsmiths; not in Einaudi.23rd text: Kress B.1618; not in Goldsmiths; not in Einaudi.24th text: Kress B.1617; not in Goldsmiths; not in Einaudi.25th text: Kress B.1612; not in Goldsmiths; not in Einaudi.26th text: Not in Kress; not in Goldsmiths; not in Einaudi.27th text: Kress B.1615; not in Goldsmiths; not in Einaudi.28th text: Not in Kress; not in Goldsmiths; not in Einaudi.- At end one leaf loose. A very interesting collection detailing the financial situation, the convocation of the Estats and ending with the various financial reports to the thus assembled representatives.
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Paris, 1674. Trois ouvrages en un volume in-12 (141 x 78 mm), 102 pp.; 80 pp.; 114 pp., 1 f. n. ch. Veau brun, dos à nerfs orné de caissons de fleurons dorés, titre doré, tranches mouchetées, mouillure dans la marge inférieure, habiles restaurations (reliure de l’époque).
Réunion de trois rares ouvrages de Félibien sur Versailles au temps de Louis XIV. La Description sommaire du chasteau de Versailles et Les Divertissemens de Versailles sont en édition originale. La Description de la grotte de Versailles avait paru pour la première fois en 1672. Marqué dès son plus jeune âge par l’épisode de la Fronde, Louis XIV entreprit en 1661 la transformation du pavillon de chasse de Versailles en demeure royale. À partir de cette date et jusqu’à la fin de sa vie, le château et son domaine vont connaître d’importants travaux : avant-cour en 1662, enveloppe de Le Vau en 1668-1670, pavillons des Secrétaires d’État en 1670-1671… Le roi quittera définitivement le Palais du Louvre en mai 1682 pour s’installer avec la Cour à Versailles, devenu le symbole de son pouvoir absolu. Les trois ouvrages d’André Félibien (Chartres, 1619-Paris, 1695), historiographe du roi et premier secrétaire de l’Académie royale d’architecture, rendent compte des premières transformations du château. Ils sont d’autant plus intéressants que bon nombre d’éléments qu’ils décrivent furent supprimés ou modifiés lors des réaménagements successifs. «La Description sommaire du chasteau de Versailles, publiée par Félibien, précisément en cette même année 1674, vient à l’appui du plan de Silvestre, confirmant ou complétant ses renseignements, fournissant sur la distribution des appartements, sur la décoration des fontaines, des détails qu’un plan ne saurait indiquer. Le plan et la description de 1674 méritaient une attention particulière; nous n'avons pas de témoignage contemporain plus complet sur les grands travaux de la première partie du règne de Louis XIV» (Jules Guiffrey). Édifiée en 1666, la «grotte de Thétys» était un des éléments majeurs du jardin de Versailles. Elle comprenait trois importants groupes sculptés en marbre représentant Apollon baigné par les nymphes et les chevaux du char du Soleil, qui furent déplacés pour créer le Bosquet des Bains d’Apollon lors de la construction de l’aile nord du Château en 1684. Le dernier opuscule, les Divertissemens de Versailles, décrit les six journées de fêtes somptueuses qui eurent lieu entre le 4 juillet et le 31 août 1674 pour célébrer la reconquête de la Franche-Comté. Ex-libris manuscrit au nom de Jacques ou Jean Barre sur le dernier feuillet et le titre. Bon exemplaire en reliure de l’époque. Jules Guiffrey, Comptes des bâtiments du Roi sous le règne de Louis XIV, I, 1881, p. XLIV.