Editions Naïve 2014 93 pages 21x15x1cm. 2014. Broché. 93 pages.
Reference : 77740
ISBN : 9782350213156
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Démons et Merveilles
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Paris, Henri Plon, 1861, Demi-chagrin à coins. Dos à nerfs. Fleurons., IV,441 pages. Frontispice. Bon exemplaire. Planches hors-texte.
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Paris, L'Edition Française Illustrée / Collection " Littéraire des Romans Fantaisistes " 1919. In-12 broché de 124 pages au format 18,5 x 12 cm. Superbe couverture illustrée. Dos carré. Plats et intérieur frais. Cet ouvrage, dans l'esprit de ceux de Pierre Cami, est une parodie de romans populaires, dont " La Comtesse Tatouée " qui est un pastiche de Sherlock Holmes, mettant en scène le fameux détective Jim Joë et fidèle ami le Dr Weston. Superbes illustrations, en noir, in et hors texte de l'Henri Avelot. Superbe état général. Rarissime édition originale.
Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 8,50 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
( Humour ) - François-Georges Maréchal, Marquis de Bièvre sous le pseudonyme de Sieur de Bois-Flotté.
Reference : 30579
A Amsterdam. Aux dépens de la Compagnie de Perdreaux, 1770. Plaquette in-8 relié de 28 pages, au format 20 x 13 cm. Belle reliure chagrin bleu, avec plats en papier marbré. Dos rond avec pièce de titre et filets dorés et date en pied. Infimes frottis aux coins et au mors du 4ème plat. Magnifique gravure en frontispice de Dienkerpergh. Intérieur frais. Feuille d'errata en fin d'ouvrage. Le marquis de Bièvre, surnommé le Prince du calembour, fit partie des encyclopédistes, cette pléiade d’écrivains, de penseurs, de philosophes, de scientifiques et de savants. François-Georges Maréchal, Marquis de Bièvre, ancien mousquetaire, arrière–petit-fils de Georges Mareschal, premier chirurgien du roi Louis XIV, fut un écrivain mondain, aujourd’hui méconnu, qui avait acquis une grande célébrité par ses jeux de mots et ses calembours. Il devint un personnage à la mode, à la cour puis auprès du grand public, grâce à ses bons mots régulièrement repris dans les almanachs et les publications populaires. En 1770, sa " Lettre écrite à Madame la Comtesse Tation (contestation) " , publiée sous le pseudonyme de Sieur de Bois-Flotté, rencontra un succès considérable et fit l’objet de quinze éditions successives, au grand dam du monde littéraire parisien, qui la jugeait insipide. Rarissime édition originale, malgré la fausse mention de nouvelle édition, en état superbe.
Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 8,50 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Triel s. d. [8 juillet 1889] | 9.90 x 15.20 cm | 3 pages sur un feuillet rempliée
Lettre autographe signée de Guy de Maupassant à la comtesse Potocka, 38 lignes à l'encre noire sur un feuillet double. Publiée dans Marlo Johnston, «Lettres inédites de Maupassant à la comtesse Potocka»,Histoires littéraires, n°40, octobre-novembre-décembre2009. Plus sombre que d'ordinaire, Maupassant semble tracassé par un fait qu'il ne mentionne pas mais dont il s'excuse auprès de la comtesse: «Je vous demande encore pardon, ce qui du reste n'atténue pas mon remords; et je vous assure qu'il est cuisant car j'ai cette arrière-pensée que cous m'en voudrez un peu pendant longtemps.» Maupassant s'était fait une réputation de farceur ainsi que d'homme au langage très libre, sans doute avait-il dépassé une limite en parole ou en action. Quelques années auparavant, il s'était illustré avec la fameuse blague des poupées. La comtesse Potocka avait offert à Maupassant des poupées de chiffon représentant les invitées d'un dîner qu'elle organisait chez elle. Par jeu, il bourra le ventre des dites poupées et les renvoya le lendemain à la comtesse, prétendant ainsi les avoir engrossées dans la nuit. La farce fut connue et provoqua bien des réactions outrées mais la comtesse avait fini par lui assurer son pardon. Quel qu'ait été l'événement malheureux, les courriers semblent s'être croisés: «Votre lettre m'a été renvoyée à Triel car le facteur ne me savait pas à Paris.» Pensant subir de nouveau des remontrances il avoue avoir: «[...] été, en la lisant pénétré de confusion.» Soucieux de plaire à la comtesse, il exprime son inquiétude: «Pourquoi suis-je ainsi nerveux, par moments, comme une femme, sans motifs réels, et sans avoir ressenti, vraiment, aucun froissement. Je n'en sais rien. Je ne peux que le constater.» Qu'ils soient les signes avant-coureurs de la folie où il terminera ses jours, ou les conséquences de ses sentiments pour la comtesse, qu'il s'effraie de fâcher, ces accès de nervosité ne cesseront plus de la vie de l'auteur. Pour s'assurer de la venue de la comtesse à Triel, Maupassant lui demande confirmation: «Je compte sur vous demain n'est-ce pas.» Pour ce faire, il lui conseille le train: «Si vous venez par le chemin de fer, comme vous y paraissez décidée, j'irai vous attendre à Meulan [...]Si vous veniez par le bateau de Georges je vous prie de vouloir bien m'en informer par une dépêche.» Le Georges en question est Georges Legrand, journaliste, «Macchabée» de la comtesse, qu'il fit connaître à Maupassant, et selon le peintre Jacques-Émile Blanche, le seul qui ait eu ses faveurs. Provenance : collection Jean Bonna. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Paris s. d. [16 janvier 1884] | 10.10 x 13 cm | 2 pages sur un feuillet rempliée
Lettre autographe signée de Guy de Maupassant à la comtesse Potocka, 26 lignes à l'encre noire sur un feuillet de papier vergé à en-tête "GM 83, rue Dulong". Publiée dans Marlo Johnston, «Lettres inédites de Maupassant à la comtesse Potocka»,Histoires littéraires, n°40, octobre-novembre-décembre2009. Maupassant évoque l'épisode qui marque son entrée dans la familiarité avec la comtesse: la fameuse histoire des poupées. À la suite d'un pari perdu, la comtesse Potocka avait fait envoyer à Maupassant des poupées de chiffon représentant les dames invitées à un futur dîner. Par jeu, Maupassant pris six d'entre elles et leur bourra le ventre de tissu avant de les renvoyer à la comtesse. Dans un mot qui accompagnait l'envoi, Maupassant se vantait de les avoir toutes engrossées en une seule nuit. Pour se sortir d'une soirée qu'il préfèrerait passer chez la comtesse il a du : « [...] faire des démarches de diplomate, d'employer des ruses et des machinations des plus habiles.» Malgré tout, il ne pourra que se:«[...] sauver vers onze heures ou onze heures et demie.» Afin de connaître les invitées qui se trouveront à cette soirée, il demande à Potocka: «Il faudra me redonner six poupées». Une petite boutade qui reflète leur niveau d'intimité. Il regrette de s'être engagé pour cette soirée qui l'empêche de se rendre chez la comtesse: «Voyez-vous où j'en suis? La soirée pour laquelle je m'étais engagé ne devant commencer à être agréable que vers minuit, tous invités partis.» À bout, il se propose de: «[...] crier, comme le beau-frère de votre amie: "A moi le camphre et le nénuphar"!», les deux substances étaient utilisées comme anaphrodisiaque ou pour calmer l'énervement. Malgré son peu d'envie, il devra se rendre à ce dîner mais il compte offrir: «[...] à Dieu, et à Vous, ce sacrifice qui me semblera délicieux. Je viendrai avec des sentiments de contrition et d'exaltation sacrée.» Pour conclure la plus humoristique des lettres de Maupassant à la comtesse Potocka, l'auteur signe: «Maupassant prêtre libre». Provenance : collection Jean Bonna. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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