JCLattès Sans date.
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Bon état
Démons et Merveilles
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Gallimard Paris 2000 In-8 ( 240 X 150 mm ) de 305 pages, broché sous couverture illustrée. Illustrations hors-texte. Intérieur très frais. Très bel exemplaire. µµ
Ecole Supérieure De Guerre Se In-4 ( 270x210 mm ) demi percaline verte? Etiquette collée au centre du 1er plat.94 pages.4 croquis reliés en fin d'ouvrage.
P., E. Dentu, 1879, in-8°, iv-532 pp, reliure demi-veau glacé fauve, dos lisses, filet à 5 nerfs filetés soulignés de doubles filets dorés, pièce de titre basane aubergine, filets à froid sur les plats (rel. de l'époque), pt accroc au 1er plat, bon état
"« Où est l’Ennemi? » Sous ce titre piquant a paru ces jours derniers une étude politique et religieuse du plus vif intérêt. L’auteur n’a pas livré son nom à la publicité. Aussi bien, était-ce inutile, car il n’est personne ayant suivi les brillantes discussions de l’Assemblée nationale qui ne retrouve dans ces pages émues, pleines de verve et d’originalité, la méthode et l’allure de l’un des plus jeunes membres de cette assemblée, qui fut un instant l’enfant gâté du parti conservateur. Après avoir lu ce livre, on éprouve un sentiment étrange. – On voudrait partir en guerre ; on se sent prêt au combat. L’ennemi est si clairement démasqué, ses procédés malhonnêtes apparaissent avec tant de clarté que l’on a envie de lui courir sus. Inutile d’ajouter que l’ennemi, c’est le radicalisme. « J’ai cherché, dit l’auteur, qui avait tort, des catholiques accusés de trahir la France et de violer ses lois, ou de ceux qui profèrent ces accusations. » Dans cet examen très approfondi, très détaillé, aucune trace de passion religieuse. C’est avant tout au point de vue politique que s'est placé l’écrivain, et c’est en politique qu’il traite les questions délicates et scabreuses de son livre. (...) Où notre approbation est entière, c’est lorsque l’auteur examine et critique les moyens à l’aide desquels le radicalisme moderne entend déraciner l’idée chrétienne en France. La philosophie de ce parti, sa doctrine politique et sociale qu’il appelle « la doctrine du Dieu-État, » y sont fustigées de main de maître, avec une vigueur à laquelle, hélas ! les conservateurs sont trop rarement habitués. Mais c’est surtout quand il entre dans les détails, lorsqu’il nous révèle les prétentions du parti en ce qui concerne la suppression du budget des cultes, des ordres religieux, de la liberté religieuse du citoyen et de la liberté d’enseignement, que la lecture de ce livre devient d’un haut intérêt. L’ennemi apparaît avec toutes ses ruses, avec sa mauvaise foi, et par-dessus tout avec l’horreur de cette liberté dont il a cependant toujours le mot sur les lèvres. Il y a profit à la lecture de ces pages. Les amis de l’Église, au milieu de critiques sévères et parfois injustes, pourront y puiser de solides arguments à opposer à leurs adversaires Les ennemis du radicalisme y verront ce parti traité comme il le mérite. Tout le monde y goûtera l’esprit et le talent." (Le Correspondant, 1879)
Chez l'auteur, dépôt général Librairie Victorion, 1917, in-8°, (4)-352 pp, reliure percaline bleue, dos lisse avec pièce de titre basane havane, fleuron et doubles filets dorés, couv. conservées (rel. de l'époque), bon état. Edition originale
Violente attaque contre le journal le “Bonnet Rouge” et la propagande pacifiste. — "M. Charles Sancerme, l'auteur du livre “les Serviteurs de l'ennemi”, a adressé la lettre suivante à M. le procureur Lescouvé. Cette lettre, déposée par lui, le 10 juillet, à dix heures et demie du matin, au cabinet du. M. Lescouvé, n'a pas encore reçu de réponse. – « Paris, le 10 juillet 1917. Monsieur le Procureur de la République, Le soussigné, Sancerme Charles, demeurant à Paris, 52, rue de Bourgogne, père, parent et ami de soldats tués ou blessés en défendant la patrie, A l'honneur de déposer entre vos mains une plainte pour intelligence avec l'ennemi et trahison contre : 1) Vigo, dit Miguel Almereyda, directeur du journal le “Bonnet Rouge” ; 2) Emile Para, dit Georges Clairet, rédacteur au même:journal ; 3) Marion et Duval, administrateurs du “Bonnet Rouge” ; 4) Brizon, député, rédacteur audit journal ; 5) Contre inconnus, rédacteurs anonymes ou bailleurs de fonds audit journal. A l'appui de ma plainte, j'ai l'honneur de vous remettre un ouvrage intitulé : “les Serviteurs de l'ennemi”, dont je suis l'auteur et où vous trouverez, jour par jour, les preuves de mon accusation. Veuillez agréer, etc. Charles Sancerme. » – Le procureur de la République a reçu la plainte et a transmis à M. Drioux, juge d'instruction, le volume que lui a remis M. Sancerme et qui constitue le document que le plaignant a déposé à l'appui de sa requête." (Le Figaro, 2 août 1917) — "Le 26 mai 1917, Almereyda publia, malgré l'interdiction des censeurs, un article qui se terminait par une menace de révolution à peine déguisée. Il est important de souligner que chaque ligne du journal était passée au crible, ce qui rendait impossible toute action de propagande au bénéfice de l'Allemagne. Le 18 juin, le Président du Conseil et le ministre de la Guerre apprirent du préfet de police les détails relatifs à la saisie du chèque Duval et de sa restitution ; Ribot fit immédiatement saisir le Garde des Sceaux par l'intermédiaire du ministre de la Guerre. Le scandale du “Bonnet Rouge” – relayé par l'extrême droite d'un côté, et par Clemenceau de l'autre – risquait d'avoir de graves répercussions politiques en France ; en effet, l'enquête avait établi que les fonds provenaient d'un banquier de Mannheim nommé Marx, réputé pour être un homme de paille du S.R. allemand. Une instruction judiciaire fut ouverte... Charles Sancerme, un publiciste, profita de ce climat délétère pour publier un recueil de coupures du “Bonnet Rouge” ; son ouvrage voulait mettre en évidence l'existence d'un plan de propagande en faveur de l'Allemagne dans les colonnes du journal depuis 1915. Sancerme fit remarquer que des articles, parus dans “La Gazette des Ardennes”, la “Frankfurter Allgemeine” et le “Berliner Tageblatt”, reprenaient les mêmes thèmes que ceux du “Bonnet Rouge”..." (Olivier Lahaie, La guerre secrète en Suisse, 1914-1918)
BUREAU DE LA REVUE. 6 MAI 1917. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918
Sommaire : Guynemer interrogeant un aviateur ennemi qu'il a obligé a atterrir, Troupes canadiennes sur le No man's land, Les huns ont profané jusqu'a nos cimetières et orné les leurs des statues de nos églises, Canons pris a l'ennemi par les armées alliées, Une remise de décorations dans un boyau, L'évacuation des prisonniers en première ligne Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918