Sans date.
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[Lyon, Milice Bourgeoise] Instructions pour la Revue de la Milice Bourgeoise de la Ville de Lyon [&] Supplément à l'instruction pour la revue du 30 avril 1786.
Reference : 015647
[Lyon, Milice Bourgeoise] Instructions pour la Revue de la Milice Bourgeoise de la Ville de Lyon [&] Supplément à l'instruction pour la revue du 30 avril 1786. Lyon, Imprimerie de la Ville, [1785?] et 1786. In-4, 3p & 3p. Le premier document est une circulaire à trous, les dates sont remplies à l'encre sur la première page (dates de la revue et de la veille « .. du présent mois ») et sur la troisième page (date de la décision, ici le 8 avril 1786. Celle-ci est clairement imprimée en avance et remplie à chaque nouvelle revue. La présente de Tolozan de Montfort, prévôt à partir de 1785, montre que le document doit être imprimé à cette époque. Le second document est un supplément, avec les spécificités de la revue du 30 avril, daté lui aussi du 8 avril. Peu commun. [91]
Bruxelles, Impr. Jos. Seret et Mousset, 1898. Une petite plaquette brochée (11,5 x 17 cm) de 42 pages. Relié demi-toile verte, dos lisse, pièce de titre rouge. Quelques pages ont été recollées avec du scotch, sinon bon exemplaire. Un plan dépliant et de nombreux dessins illustrant ce projet qui ne vit jamais le jour. Provenance : bibliothèque de l'architecte A. Fritz, ex-libris et numéro d'inventaire. Les frères Fichefet étaient entrepreneurs de travaux publics. Le siège social de leur société se trouvait avenue de la Porte de Hal, 36, à Saint-Gilles. En 1886, ils s'adressent au gouvernement afin d'obtenir la concession d'un chemin de fer métropolitain destiné à desservir l'agglomération bruxelloise. Et en 1897, Eugène Fichefet (14 juillet 1854 - 20 mai 1908), alors député bruxellois et ami du roi Léopold II, rêve d'un projet "grandiose" pour la capitale belge : un boulevard aérien, surmonté d'une ligne de tramway et qui, éclairé la nuit, illuminerait la ville tel un phare. C'est ce projet qui décrit dans cette plaquette. Un article de presse de l'époque en parlait ainsi : " Le soir, illuminé par des flots de lumière électrique, ce boulevard aérien, aux lignes harmonieuses et monumentales, aurait l'aspect d'un phare de 900 mètres de long. Ce serait une merveille unique au monde, et comme les travaux seraient terminés en 1900, les visiteurs de l'exposition viendraient en foule dans notre capitale pour contempler cette galerie babylonienne." Le 24 décembre 1897, un projet de loi accordant la concession de la galerie aérienne est déposé à la Chambre. Le but est détablir une communication directe, rapide et économique, entre le haut et le bas de la ville. Lexposé des motifs précise : « Au point de vue esthétique, louvrage constituera une longue galerie, aux lignes harmonieuses, dune grande légèreté daspect. Ce promenoir aérien, permettant de jouir du merveilleux panorama de lagglomération, deviendra bientôt lune des plus belles attractions de la capitale. ». Cependant, la question se pose rapidement de savoir quelle est lautorité compétente sur la demande en concession : la Ville de Bruxelles, sur le territoire de laquelle sera établi le viaduc, ou le Gouvernement ? La Ville va protester avec succès auprès de Léon De Bruyn, le ministre de lAgriculture et des Travaux publics en charge du projet, vu que les Sections de la Chambre rejetteront celui-ci en date du jeudi 10 mars 1898. Ce projet "lumineux" ne vit donc jamais le jour.
[Riom, Puy-de-Dôme, Paris] Placard funéraire de Jean-François Fouet, Docteur en Théologie de la Faculté de Paris, Chapelain de l'Eglise de Paris, Ancien Curé de la Ville de Riom en Auvergne.
Reference : 015608
[Riom, Puy-de-Dôme, Paris] Placard funéraire de Jean-François Fouet, Docteur en Théologie de la Faculté de Paris, Chapelain de l'Eglise de Paris, Ancien Curé de la Ville de Riom en Auvergne. [Paris, novembre 1733]. 1p in-plano (environ 39*50cm). Le « Convoy, Service & Enterrement » aura lieu le 5 novembre 1733. On trouve peu de choses sur ce prêtre. Il finançait toutefois trois places au séminaire de Paris au profit de clercs de Riom et Aigueperse. Une belle lettrine macabre. Anciennement plié, petits trous aux plis, petites déchirures, petits manques marginaux. Rare document. [89]
[Vichy, Bourbonnais] Adresse des citoyens de la ville de Vichy en Bourbonnois, à l'Assemblée Nationale. Du 5 décembre 1789.
Reference : 015651
[Vichy, Bourbonnais] Adresse des citoyens de la ville de Vichy en Bourbonnois, à l'Assemblée Nationale. Du 5 décembre 1789. S.l., s.n., 1789. In-folio, 3p. Très intéressant document qui commence par louer l'action de l'assemblée avant de réclamer que les bâtiments des Célestins de Vichy puissent servir à l'érection d'un collège. Citons le début : « Appelés, par vos Concitoyens, pour guérir les maux du Corps politique & pour régénérer la constitution de l'Etat, vous avez comblé leurs voeux & surpassé leurs espérance : dans l'espace de quelques mois vous avez réparé les malheurs & les fautes de plusieurs siècles : par vos soins généreux l'homme a recouvré sa dignité première : l'hydre toujours menaçante & toujours terrible du despotisme est terrassée : l'Impôt s'étend indistinctement sur toutes les propriétés : le glaive, vendeur des loix, menace & frappe du même coup toutes les têtes coupables : ce système de féodalité & d'opression qui outrageait l'humanité & la raison est anéanti ; il tombe, enfin, ce chêne antique, dont les racines affamées dévoraient les richesses des campagnes ! Tant de bienfaits sont le fruit de vos nobles travaux ». Et de terminer : « que les défenseurs immortels de la liberté publique soient, en même temps, les consolateurs de l'humanité ». Une note en haut : « M. Mandon d'Effiat ». Effiat est dans le Puy-de-Dôme, à une dizaine de kilomètres de Vichy. Beau document dont nous n'avons pas trouvé trace. [91]
A Mons chez J.B.J. Varret, 1750.Un volume relié in-8° (10 x 17 cm) de [16] + 443 + [21] pp.. Illustré d'une planche dépliante (vue de la ville). Petite déchirure au pli de la planche dépliante renforcée. Reliure pastiche moderne en plein cuir, dos lisse à nerfs, pièce de titre verte.Édition originale de cette monographie consacrée à Ath et illustrée d'une grand vue de la ville gravée par J.J. Le Cosse en 1750. In fine, on retrouve une liste des bourgmestres et échevins de la ville depuis l'an 1585 jusque 1750. Le juriste montois G.-J. de Boussu (1681-1755) est également l'historien de Mons et de Saint-Ghislain.