Hachette 1978 196 pages 1978. Relié. 196 pages.
Reference : 500243864
ISBN : 9782010013997
Bon état
Démons et Merveilles
M. Christophe Ravignot
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nantes 1955 5 photographies originales en noir, avec les bord découpé à la ficelle comme cela se faisait à l'époque, format : 10 x 6,6 cm, prise par un inconnu, Nantes, le 19 Aout 1955,
1955. Le contexte est brûlant à Nantes et Saint-Nazaire : les ouvriers du chantier naval de Saint-Nazaire enchaînent grèves surprises et manifestations massives pour demander des revalorisations salariales. Sous-payés, méprisés et humiliés, ils survivent depuis des années dans des conditions misérables malgré des heures de travail acharné, face aux patrons sourds aux revendications. LÉtat enverra même les CRS dans les usines, pour protéger le patronat de la révolte ouvrière, qui saboteront les vélos des ouvriers. Le 18 août, dans cette atmosphère explosive, le préfet Rix fait savoir aux ouvriers que les CRS ne libéreraient pas les chantiers si ils ne reprenaient pas le travail comme avant. Cet énième épisode de mépris et de provocation provoque une manifestation dampleur le lendemain. Des barricades sont dressées, des heurts éclatent. Les CRS ouvrent le feu, sans sommation. Un jeune ouvrier de 24 ans est tué, dune balle dans le coup, cours des 50 otages. Il sappelait Jean Rigollet ........ M. Ghislain Rigollet, frère de Jean,". Oui, je veux que vous précisiez en mon nom que Jean, mon frère, a été assassiné par les C.R.S. comme l'indique si justement une pancarte que j'ai vue à Nantes, à l'endroit où il est tombé frappé par une balle"..... Photo 1 : gros plan des bouquets de fleurs déposés à l'endroit ou Jean Rigollet est tombé, Photo 2 : plan plus large de l'endroit avec les bouquets de fleurs et les maisons du Cours des 50 Otages, Photo 3 : gros plan pris en soirée de l'endroit ou il est tombé avec les bouquets de fleurs qui se sont accumulés avec au centre une pancarte improvisée avec noté à l'encre : "Ici est tombé un travailleur tué par les C.R.S.", photo 4 : prise le lendemain au même endroit, des gerbes sont déposées par les Syndicats avec au centre une pancarte apportée par les syndicats ou il est noté "ICI EST MORT UN JEUNE OUVRIER ASSASSINÉ PAR LES S.S. FRANCAIS", avec des couples autour se recueillant, on apercoit le trotoir en face avec les maisons du cours des 50 otages, Photo 5 : grosse gerbe au centre du même endroit avec notées sur le Ruban : "ORGANISATION SYNDICALES", avec des couples autour se recueillant .................RARES PHOTOGRAPHIES .... en trés bon état (very good condition). en trés bon état
MONSIEUR PLESSIS (AMI DE LOUIS ADMYRAULD NÉGOCIANT ARMATEUR NÉGRIER A LA ROCHELLE )
Reference : 23872
(1815)
paris 1815 2 lettres (de 4 pages, une grande feuille pliée en deux) manuscrite à l'encre brune sur les 3 premières pages sur papier vergé ligné filigrané, format : 20 centimètres de large x 25,5 centimètres de haut, adresse de la lettre au centre de la 4ème page à l'encre brune : à Mr Louis Admyraud à BEAULIEU par Mauzé (Charente-Inférieure), (lettre écrite par Mr Plessis), Paris le 1er juillet 1815 pour la première lettre et le 4 Juillet 1815 pour la 2ème lettre,
courrier écrit aprés la Bataille de Waterloo.... "LETTRE N°1 (du 1er Juillet 1815)- LES TROUPES PRUSSIENNES SONT A PARIS ET LES ANGLAIS ONT PASSE LA RIVE GAUCHE, IL Y A DES FUSILLADES AUX AVANT POSTES....ON NEGOCIE TOUJOURS, ON NE DEDAIGNE PAS D'OBTENIR UN ARMISTICE MAIS JE NE SUIS PAS AUSSI FERME QU'IL Y A 2 JOURS DANS L'OPINION QU'ON NE SE BATTRA PAS....LETTRE N°2 (du 4 juillet 1815) - C'EST DANS LA PLAINE DE GRENELLE QUE LES ARMEES SONT EN PRESENCE, PARIS EST PRIS D'ASSAUT...LA CAPITULATION A ETE SIGNEE....VOUS ME DONNEREZ DES NOUVELLES DE L'EMPEREUR NAPOLEON QU'ON SAIT A PRESENT A ROCHEFORT SUR UNE FREGATE, PENDANT QUE LE PEUPLE DE PARIS EST FERMEMENT PERSUADE QU'IL EST AU MILIEU DE SON ARMEE"............RARISSIME............en bon état (good condition). bon état
1955 un tract publicitaire d'époque pour le Journal "OUEST-MATIN" sur papier journal, format : 21 x 27 cm, imprimé sur le recto seulement, avec une photographie en noir de JEAN RIGOLLET en haut à gauche encadrée de noir, texte du tract en noir, 19 Août 1955 Rennes Imprimerie Commerciale pour Ouest-Matin Editeur,
pour OUEST-MATIN , extrait d'une déclaration du frère de la victime servant d'argument publicitaire. Texte du Tract : "...Un seul Journal a dit la vérité sur les évènements de Nantes c'est Ouest-Matin - Déclare M. Ghislain Rigollet, frère du jeune Maçon Jean Rigollet, assassiné à Nantes par les C.R.S......La Photo ci-dessus est l'unique souvenir de Jean Rigollet que possède ses vieux parents dans le hameau où ils habitent à Saint-Lumine-de-Coutais (Loire-Inférieure). Pour les quatre frères de Jean également il n'y a plus que cette photo prise il y a 2 ans, au moment où il effectuait son service militaire.....M. Ghislain Rigollet, frère de Jean, habite à Saint-Brévin-Les-Pins. Il travaille comme maçon à Saint-Nazaire. Jean était le Parrain de sa fille aînée. Profon,dément affecté par la mort de son frère, les larmes aux yeux, il a fait la déclaration suivante : " A ces journaux : Ouest-France ", "Le Populaire", "La Résistance" ! Ah, les Menteurs ! Un seul journal a dit la vérité, c'est "Ouest-Matin". Oui, je veux que vous précisiez en mon nom que Jean, mon frère, a été assassiné par les C.R.S. comme l'indique si justement une pancarte que j'ai vue à Nantes, à l'endroit où il est tombé frappé par une balle."...."Je m'engage à ne lire que "Ouest-Matin". C'est le seul journal qui a été à nos côtés pendant notre combat contre les patrons de Saint-Nazaire au début d'Août. C'est le seul journal qui était auprés des Métallos et des gard du bâtiment dans leur lutte au cours duquel mon frère est tombé"..........................RARE TRACT...................................en bon état (good condition).
MONSIEUR PLESSIS (AMI DE LOUIS ADMYRAULD NÉGOCIANT ARMATEUR NÉGRIER A LA ROCHELLE )
Reference : 23870
(1815)
paris 1815 une lettre (de 4 pages, une grande feuille pliée en deux) manuscrite à l'encre brune sur les 3 premières pages sur papier velin ligné filigrané, format : 20 centimètres de large x 25,5 centimètres de haut, adresse de la lettre au centre de la 4ème page à l'encre brune : à Mr Louis Admyraud à BEAULIEU par Mauzé (Charente-Inférieure), (lettre écrite par Mr Plessis), Paris LE 15 JUIN 1815,
courrier écrit la veille de la Bataille de Waterloo.... ".....en retour des bonnes nouvelles que vous me donnez sur la vendée, je vous en donnerai une autre qui le vaut bien, l'espoir que je crois fondé d'une Pacification, ou au moins d'une armistice qui se préparerait , en arretant l'effusion de sang français dans ce malheureux pays et dont on assure que les bases sont convenues.....l'empereur s'est rendu à son armée qui n'est peut être pas aussi nombreuse qu'on le dit, mais qui n'a jamais été plus belle ni meilleure, nous sommes dans l'attente de grands evenements, on dit que c'est sur Wellington que porteront les premiers coups, il parait certain qu'il se serait porté derrière l'Escaut, les gens du milieu, croient qu'il n'acceptera la bataille que sur la Meuse, cette manoeuvre qui retarderait les coups décisifs nous livrerait pourtant la Belgique et ce serait déjà un succès qui aurait son importance, ne fut ce que comme effet Moral, les Russes ne sont pas encore en Ligue, les Autrichiens attardés par les dissensions d'Italie n'y sont encore qu'en petit nombre......je suis tout prét de rompre mes relations du Marais[La Plaine ou le Marais est le nom donné au groupe le plus modéré, mais le plus nombreux (environ 400 députés) de la Convention nationale] et cela arrivera infailliblement si un ami que j'attends ne vienne promptement mettre fin a toutes ces tracasseries qui survenant chaque jour détruisent tout l'agrément que je trouvais dans cette société....."............RARISSIME............en bon état (good condition). bon état
Paris Hachette et Cie 1901 -in-4 pleine percale un volume, reliure pleine percale vieux rose grand in-quarto cartonnage Editeur (31 x 23 cm), dos long, titre et Editeur frappés "or"(plaque spéciale Editeur), premier plat orné d une figure allégorique et report du titre doré (plaque spéciale Editeur), toutes tranches lisses rouges, orné d'un frontispice sous serpente + 1 carte dépliante de Madagascar + nombreuses illustrations in et hors-texte en noir (dont cartes), IV + 168 pages, 1901 Paris Hachette et Cie Editeurs,
Ouvrage Recherché....... Récit de l' action de Galliéni à Madagascar par un capitaine attaché à l' état-major du gouverneur général. Envoyé en 1896 à Madagascar en tant que gouverneur général, Galliéni arrive à Tananarive le 15 septembre. À la méthode diplomatique de son prédécesseur, le général M. Laroche, il préfère la méthode forte pour endiguer la montée de la résistance anti-coloniale. Il instaure le travail forcé des indigènes. La cour royale, foyer de résistance contre l'impérialisme français, est placée sous surveillance. En huit ans de proconsulat, Galliéni pacifie la grande île, procédant à sa colonisation. Au total, la répression qu'il mène contre la résistance malgache à la colonisation aurait fait de 100000 à 700000 morts pour une population de 3 millions. Néanmoins, sous l'impulsion de Galliéni, de nombreuses infrastructures sont mises en place: chemin de fer, Institut Pasteur, écoles.......BEL EXEMPLAIRE......RARE..................en bon état (good condition) + Joint Avec : MENU (ORIGINAL) DU BANQUET DE L'INAUGURATION DU PREMIER TRONCON DE LA LIGNE T.C.E. (Tananarive-Côte Est) BRICKAVILLE - SANDRANTSIMBONA, SANDRANTSIMBONA LE 16 OCTOBRE 1902 (RECEPTION DU GENERAL GALLIENI).....un menu, cartonné avec aux angles deux photographies "nuage" en noir, une petite photo animée de la voie de chemin de fer de montagne prise lors de sa construction à Manaratsandry + une autre photo animée en bas à gauche en deux fois plus grand de la voie de chemin de fer de montagne prise lors de sa construction à Manaratsandry, le Menu avec Vins est manuscrit à l'encre noire, format du Menu : 15,5 x 10,2 cm, noté GENERAL GALLIENI au dos à l'encre noire, de la collection réalisée par la femme du Général Gallieni (notés souvent de sa Main) pour se souvenir des bons moments à Madagascar........GENERAL GALLIENI : Gouverneur général de Madagascar (1896-1905), Promu général de brigade, il est envoyé en 1896 à Madagascar en tant que gouverneur général, il y restera jusqu'en 1905 afin de pacifier Madagascar.......à travers la ligne TCE, lorsque les travaux ardus sont finis graduellement, les inaugurations prennent place: la première est du premier tronçon : Brickaville - Sandrantsimbona : 30 kilomètres.....inauguré le 16 Octobre 1902 par Gallieni......UNIQUE....en trés bon état. bon état