‎Reperes pratiques‎
‎La Correspondance‎

‎Nathan 14 732x1 016x20 828cm. Sans date. Broché.‎

Reference : 500181437
ISBN : 9782091776576


‎Bon état‎

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M. Christophe Ravignot

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Reference : 41649

(1914)

‎[Grande Guerre. Correspondance conjugale du lieutenant Léon Meltzheim et son épouse Andrée Meltzheim (janvier 1914 - décembre 1917)].‎

‎, , 1914-1917. Plus de 1000 lettres et cartes manuscrites. ‎


‎Correspondance privée exceptionnelle de Léon Meltzheim pendant la Grande Guerre.Cette correspondance privée, rare et volumineuse, comprend plus de 1 100 lettres échangées entre le lieutenant Léon Meltzheim et son épouse Andrée, surnommée affectueusement "Dé", entre juillet 1914 et décembre 1918. Léon, affecté au 30e d’Artillerie, rédigea plus de 750 lettres (84 en 1914, 168 en 1915, 172 en 1916, 117 en 1917, et 150 en 1918), auxquelles s'ajoutent 350 lettres d'Andrée pour l’année 1917, et plus de 120 lettres et cartes manuscrites de la famille et des proches de Léon en 1916.Les premiers mois de la guerre. Dès juillet 1914, Léon Meltzheim, alors âgé de 31 ans, est affecté au 10e SMA sous les ordres du capitaine Desgrais. Ses lettres relatent les conditions difficiles de l'artillerie, les longues marches et le manque de repos, tout en minimisant les détails liés à la guerre pour rassurer sa femme. Léon mentionne parfois la Croix de Guerre qu'il reçoit, tout en minimisant ses activités militaires. Un an plus tard, il évoque des détails sur les gaz de combat et son équipement, notamment des lunettes de protection.La bataille de Verdun et la naissance de Georges. L’année 1916 est cruciale pour Léon, avec la bataille de Verdun et l'attente d'un heureux événement à la maison. Le 30e d’Artillerie est déployé pour protéger les lignes de ravitaillement, mais Léon préfère écrire à Dé pour lui assurer que tout va bien et qu'il se préoccupe de sa santé, notamment de son état de grossesse. En juillet, la naissance de leur fils Georges réjouit Léon, qui écrit : « Quelle joie que ce poupard ! ». Fin 1916, il se dit chanceux d’avoir échappé aux horreurs de Verdun.1917 : Un changement dans la correspondance. À partir de 1917, les lettres de Léon se font plus rares et évitent de décrire la guerre. En revanche, Andrée lui écrit quotidiennement, offrant un point de vue précieux sur la vie à l’arrière. Ses lettres dépeignent la gestion de la vie de famille, les débuts de leur enfant Georges, ainsi que les difficultés économiques de la guerre. Andrée écrit avec une grande fréquence, plus de 300 lettres durant l’année.La correspondance comme témoignage humain. Les lettres échangées entre le front et l’arrière sont d'une valeur inestimable, offrant un témoignage humain des conditions de guerre. Elles reflètent les émotions des soldats et de leurs proches, offrant des détails sur l’expérience vécue, tout en cachant souvent la brutalité des événements. Pour les soldats, la correspondance est un lien vital avec le monde extérieur, et pour les familles, c'est le signe de vie qu'elles attendent avec impatience. L'absence de nouvelles engendre une angoisse partagée entre le front et l'arrière.Documents associés : la correspondance est accompagnée de photographies, de coupons de mandat-lettre, d'un négatif de photographie et d’une monographie rédigée par le fils de Léon, Georges Meltzheim, intitulée Vie de Léon Meltzheim (1883-1972).Un ensemble exceptionnel de lettres conjugales et familiales pendant la Grande Guerre, entre Paris et le front, témoignant des réalités de la guerre et de la vie quotidienne.[Voir : Clémentine Vidal-Naquet, Couples dans la Grande Guerre (Les Belles Lettres) et Correspondances conjugales 1914-1918 (Robert Laffont)]. ‎

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‎Le doyen mondial des anciens combattants de la Grande Guerre ‎

Reference : 43739

(1909)

‎[Lettres d'un Poilu. Correspondance de Raymond Abescat].‎

‎, , 1909-1931. 831 lettres et cartes militaires manuscrites. ‎


‎Correspondance de guerre de Raymond Abescat, l'un des derniers vétérans français de la Première Guerre mondiale mort à 109 ans doyen des Français le 25 août 2001, également doyen mondial des anciens combattants de la Grande Guerre.« Dans quelques jours, il devait souffler en famille ses 110 bougies. Demain à 10 h 30, à l'église Sainte-Mathilde à Puteaux, c'est avec sans doute une grande émotion que ses proches rendront un dernier hommage à Raymond Abescat, le doyen mondial des poilus. Le « grand-père », âgé de 109 ans, s'est en effet éteint vendredi vers 14 heures à l'hôpital Le Stelle à Rueil-Malmaison. « Il était arrivé à bout, raconte Pierre Dasse, son meilleur ami et président de la Fraternelle des anciens combattants de Puteaux. Depuis des mois, il ne mangeait plus, ne buvait presque plus. Raymond était trop fatigué pour continuer son chemin parmi nous. Avec sa disparition, c'est une grande page d'histoire qui se tourne. » Né à Auteuil (Paris XVIe) le 10 septembre 1891, Raymond Abescat était non seulement le doyen des quelques milliers de poilus survivants en France mais également le doyen mondial des vétérans de la Première Guerre mondiale. « C'était un gars incroyable, ajoute Pierre Dasse. Un frère et même un grand-père pour moi avec toutes ses anecdotes qu'il a pu me confier. Rendez-vous compte, il a connu trois siècles et la Grande Guerre. » Histoire d'un parcours hors du commun : Raymond Abescat a passé sept ans sous l'uniforme du 113e régiment d'infanterie de Blois d'octobre 1912 à mai 1919, jour de sa démobilisation. Il avait également participé le 24 octobre 1916 à la reprise du fort de Douaumont (Meuse) avec son régiment. Avant d'être grièvement blessé trois semaines plus tard, le 16 novembre près de Verdun. « Il était infatigable, précise Pierre Dasse. A son retour à la vie civile, il était entré, sur concours, à la Caisse des dépôts et consignations avant de prendre sa retraite en 1957. Il aurait pu s'arrêter et profiter paisiblement de sa retraite. Au lieu de cela, il a voulu être le secrétaire de mon association des anciens combattants de Puteaux. » Demain, à l'église Sainte-Mathilde, famille, amis et représentants du secrétaire d'Etat à la Défense, du préfet des Hauts-de-Seine, du maire de Puteaux viendront rendre un dernier hommage au Poilu, titulaire de la médaille militaire et chevalier de la Légion d'honneur depuis 1986. » (Emmanuel Potiron, Le Parisien, 28 août 2001).Sa correspondance adressée principalement à ses parents parisiens dont il est également le destinataire, couvre les années 1912 à 1919, depuis le service militaire en octobre 1912, où Raymond Abescat est incorporé au 113e régiment d'infanterie de Blois. Lorsque la guerre éclate, en août 1914, son régiment est envoyé à la frontière belge pour repousser l'avancée allemande. « Romorantin, le 1er Août 1914, Je vous écris ces quelques lignes très vite car nous disposons juste de 2h 1/2 avant d'être consignés définitivement. Vous devez sans doute le savoir au moment où vous aurez ma lettre, l'ordre de mobilisation générale est lancé. Il est arrivé ici ce soir à 4h 1/2. Toute la journée nous l'attendions, ce matin un télégramme disait de tout préparer en attendant l'ordre de mobilisation aussi l'exercice comme je vous le disais dans ma dernière lettre est un exercice pour de bon. » Il survit au massacre de sa compagnie à Signeulx où il n'est que légèrement blessé. Il est ensuite envoyé en Argonne (sa correspondance part surtout de Lavoye dans la Meuse). En avril 1916, il assiste aux combats du bois de la Caillette. Le 24 octobre, il participe à la reprise du fort de Douaumont « [24.10.16] Chers Parents, les nouvelles sont excellentes ici et les Boches prennent une bonne pilule. Dès hier, l'attaque n'était pas commencée que les prisonniers rappliquaient en quantité. Tous sont très jeunes et un grand nombre ont les pieds gelés (…) ». Moins d'un mois plus tard, le 16 novembre 1916, il reçoit des éclats d'obus dans la jambe et le pied. Grièvement blessé, il doit être transporté dans un poste de secours. Il est opéré à Verdun puis transféré à l’hôpital militaire de Dijon ou il échappe de peu à l'amputation. « [23.11.16. Hôpital Carnot de Dijon]. Il n'y a pas de changement depuis ma dernière lettre. Mon pied suppure toujours mais moins. Chaque matin je suis pansé (…) R. Abescat Cap. 113e Hôpital 71 Lycée Carnot Salle 11 Dijon. » ; « [24.05.17] Mon cher Raymond, … C'est avec plaisir que j'ai appris ton complet rétablissement et je souhaite pour toi que tu ne retournes pas là-haut, d'ici quelques temps. Si tu dois rejoindre ton dépôt à Blois il est probable que tu seras envoyé à Romorantin. ». De 1917 à 1919, convalescent, Raymond Abescat reste mobilisé et son courrier est adressé à l'« hôpital 48 de La Chapelle St Mesmin Dépôt de Physiothérapie (Loiret) », à l'hôpital auxiliaire de Narbonne, à Blois et Romorantin, Saint-Mesmes puis à Chartres avec le grade de Brigadier du 67e régiment d'artillerie.Copieuse et exceptionnelle correspondance du doyen des Poilus, témoignant des réalités de la Grande Guerre. ‎

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Reference : 5729

(1895)

‎[Abel Hadaly. Manuscrit]. Correspondance avec M. 19 août 1895 au 25 nov. 1897.‎

‎, , 1895-1898. 2 vol. in-4 manuscrits de 831 et 751 pp. de différents formats, chagrin prune, dos lisse orné, titre doré (reliure de l'époque). ‎


‎Les archives attribuées à Abel Hadaly, un écrivain méconnu du Paris fin-de-siècle, révèlent une vie marquée par l’introspection littéraire, l’errance amoureuse et la quête de reconnaissance. Ces documents, comprenant journaux, carnets de travail, correspondances et notes diverses, offrent un éclairage unique sur un intellectuel en devenir, oscillant entre l’anonymat et l’ambition littéraire dans le Paris de la Belle Époque.Tabulae II (1893-1898). Ce premier recueil, intitulé Tabulae II, couvre une période allant de 1893 à 1898. Il constitue un assemblage éclectique de réflexions et d’observations : portraits, anecdotes, curiosités, notes de lecture et détails sur la vie culturelle du Quartier Voltaire, notamment entre Saint-Ambroise et la rue de Charonne. S'y mêle un récit autobiographique lié au service militaire d’Abel dans la Marne, illustré d’une carte de la région. Les notes témoignent de la fascination d’Abel pour le Paris intellectuel et de son aspiration à s’intégrer dans le cercle des écrivains influents.Correspondance avec M. (1895-1897). Le second volume, intitulé Correspondance avec M., est un registre volumineux de plus de 800 pages consignant une relation épistolaire intense entre Abel Hadaly et Marguerite Lavocat, une jeune femme russe de dix-sept ans atteinte de tuberculose. Ce dialogue à deux voix, littéraire et philosophique, évolue progressivement d’échanges formels à une correspondance profondément passionnée, marquée par les affres de la maladie de Marguerite.La tuberculose, omniprésente, imprègne les lettres d’une tension dramatique, évoquant l’imagerie romantique des jeunes femmes poitrinaires popularisées par La Dame aux camélias de Dumas fils. Marguerite, consciente de son état, oscille entre désespoir et volonté de vivre :« Depuis ce matin je ne cesse de cracher du sang, c'est à désespérer… J'ai beaucoup pleuré en lisant le journal, j'aime et j'admire Marguerite Gautier. »Les lettres, souvent corrigées et annotées, brouillent la frontière entre l’autobiographie et la fiction littéraire, suscitant chez le lecteur un doute constant quant à leur authenticité. Les émotions de Marguerite sont mêlées d’une lucidité poignante, comme en témoigne son recours au maquillage pour dissimuler les stigmates de sa maladie :« Aujourd'hui je vais à peu près bien, mes mains ont repris leur forme, mais j'ai la figure parsemée de taches et de boutons. [...] Pour la première fois je me farde. Car il faut que je sorte, je ne dois pas rester enfermée. »Clôture tragique. La correspondance culmine dans un échange abrupt de dépêches datées du 25 et 26 novembre 1897. La première, envoyée de Fontainebleau, émane d’Abel, inquiet pour Marguerite : « Prière insistante répondre si Marguerite Lavocat est vivante. »La réponse laconique, signée « Géléminaut », annonce un départ précipité en Russie et laisse planer une ombre tragique sur le destin des protagonistes : « Je pars Russie. Oublie. »Un témoignage littéraire et humain. Ces archives, oscillant entre documents personnels et artifice littéraire, illustrent l’ambition d’Abel Hadaly de capturer l’intensité de sa relation avec Marguerite et de l’élever au rang d’un drame romantique universel. L’authenticité des manuscrits, renforcée par les nombreuses biffures et ajouts, demeure incertaine, mais leur valeur réside dans leur capacité à refléter les aspirations, les passions et les désillusions d’un écrivain aspirant du Paris de la fin du XIXe siècle. ‎

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‎JULLIEN (Maurice).‎

Reference : 42427

(1915)

‎[Correspondance enluminée].‎

‎, , 1915-1918. 104 lettres manuscrites enluminées et 8 ff. garde entièrement ornés, sur double page, montées sur onglet reliées en 2 vol. in-8, demi-basane marbrée, dos lisse muet (reliure de l'époque). ‎


‎La correspondance enluminée de Maurice Jullien, aquarelliste et graveur sur bois, constitue un remarquable témoignage de la vie artistique et quotidienne pendant les années de la Grande Guerre. Âgé de 72 ans en 1918, Jullien envoya, entre le 26 décembre 1915 et le 17 juillet 1918, une série de lettres à son ami Abraham Dreyfus (1847-1926), journaliste et dramaturge, ainsi qu’à la fille de ce dernier, Adèle Dreyfus (1873-1922). Ces lettres, écrites depuis Paris, parvinrent aux Dreyfus, alors installés alternativement à Berck et à Trouville, où Jullien leur recommandait notamment des promenades littorales, telles qu’une marche jusqu’aux bains d’Hennequeville à marée basse, en longeant les Roches noires.Un miroir des préoccupations de l’époque. Ces échanges épistolaires reflètent avec finesse les préoccupations et les sensibilités de leur temps. Tandis que la guerre imposait son lot de privations et de bouleversements, les lettres témoignent des efforts déployés par Jullien et ses correspondants pour préserver une vie intellectuelle et artistique, à travers leurs discussions sur leur condition respective de peintre et d’écrivain. Les conseils sur les promenades ou les observations sur les paysages de la côte normande s’intègrent à un cadre plus large d’évasion poétique face à la réalité du conflit.Un chef-d’œuvre de l’art épistolaire. Chaque lettre de Jullien, rédigée sur du papier épais et montée sur onglet, dépasse le simple support de correspondance pour devenir une véritable œuvre d’art. Enrichies d’une à quatre miniatures peintes à l’aquarelle, elles représentent des marines, des paysages, des montagnes, des scènes historiques ou des figures humaines. Ces miniatures sont encadrées de motifs délicatement travaillés, composés d’arabesques et de décorations renouvelées à chaque envoi.Les lettrines, souvent dorées ou historiées, ajoutent à l’ensemble un raffinement qui évoque les manuscrits enluminés de la tradition médiévale. Cette attention méticuleuse aux détails graphiques confère à chaque lettre une qualité esthétique exceptionnelle, rehaussant leur valeur historique et artistique.Le témoignage d’un maître reconnu. Maurice Jullien, dont le nom apparaît dans des références prestigieuses telles que le Bénézit (V, 196), se distingue par la singularité de son œuvre dans un contexte marqué par l’austérité de la guerre. Ces lettres enluminées incarnent un double défi : celui de transcender les restrictions imposées par le conflit grâce à l’art, et celui de faire de la correspondance un espace d’échange à la fois intellectuel et esthétique.Un héritage précieux. Ce corpus exceptionnel de lettres permet d’appréhender non seulement la vie quotidienne et les préoccupations des élites artistiques de l’époque, mais aussi une pratique artistique originale, alliant l’intimité de l’écrit à la magnificence visuelle. La correspondance de Jullien, entre hommage à une tradition ancienne et innovation personnelle, demeure un témoignage unique de résilience artistique en temps de guerre. ‎

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‎LAHARPE (Jean-François).‎

Reference : 1148

(1801)

‎Correspondance littéraire, adressée à Son Altesse Impériale Mgr. le Grand-Duc, aujourd'hui Empereur de Russie, et à M. le Comte André Schowalow, Chambellan de l'Impératrice Catherine II, depuis 1774 jusqu'à 1791 ; par Jean-François Laharpe.‎

‎A Paris, chez Migneret, 1801-1807. 6 tomes en 5 vol. in-8, demi-basane brune, dos lisse orné de filets dorés, pièces de titre en veau rouge (reliure de l'époque). ‎


‎Édition originale de cette correspondance littéraire. A la manière de Grimm et Diderot, Laharpe publiait une correspondance qui circulait sous forme de nouvelles à la main.« C'est un journal dans lequel Laharpe juge presque tous les écrivains avec beaucoup de rigueur. En livrant au public cette correspondance, il s'exposa à des représailles de la part de ceux qui existaient encore. S'il eut l'imprudence de mettre au jour en 1801 les quatre premiers tomes, il n'eut pas la maladresse d'y joindre les deux suivants. Il faut en accuser l'éditeur qui les publia en 1807 » (Michaud).Bon exemplaire malgré de menus défauts. Cerne clair sur deux feuillets. ‎

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