Plon 2020 320 pages 13 6x20 9x2 9cm. 2020. Broché. 320 pages.
Reference : 500170102
ISBN : 9782259284370
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Librairie Hachette, coll. « Pour connaître Paris, 12 » 1925 In-18 13,5 x 10,5 cm. Cartonnage éditeur gris, titre en bleu-marine sur le dos et le premier plat illustré d’une vignette, 72 pp., 16 gravures hors-texte d’après des documents anciens et modernes, un plan et un itinéraire, bibliographie, table des matières.
Le faubourg Saint-Jacques - Le Val-de-Grâce - Port-Royal de Paris Bon état d’occasion
J.-C. Lattès 1988 In-8 broché. Assez bon état.
Bon état d’occasion
Paris, J.-B. Baillière 1841 In-8 23 x 13,5 cm. Reliure de l’époque demi-basane bleu-marine, dos lisse, à décor oné de fers romantiques dorés, II-558 pp. Reliure drottée, coins émoussés, rousseurs marginales.
Henri Marie Joseph Desruelles (1791-1858), docteur en médecine de la Faculté de Paris, chirurgien militaire durant les campagnes du Premier Empire, fut ensuite professeur d'anatomie au Val-de-Grâce et chirurgien aide-major attaché à l'hôpital militaire de la Garde-Royale. Bon état d’occasion
Racine, Louis ; Rousseau, Jean-Jacques ; Pope, Alexander ; Bréard, Étienne ; Ramsay, Andrew Michael
Reference : 110759
(1777)
Paris, rue Saint Jean de Beauvais, Chez Jean Desaint 1777 In-12 relié plein veau 16 cm sur 9,5. 3ff-383 pages. Dos lisse orné de caissons, fleurons et lettrage dorés. Pièce de titre en maroquin rouge, angle inférieur manquant. Tranches rouges. filet doré sur coupes, petits fleurons et culs-de-lampe dans le texte. Dos frotté avec petits manques, quelques épidermures sur plats. Premier mors intérieur fendu, gouttière irrégulière, pages 29-39 partiellement déliées, quelques brunissures sur les trois dernières pages et dernière page de garde collée au contreplat. Assez bon état d’occasion.
Intéressante correspondance de Rousseau, Pope, Bréard et du fameux masson anglais Ramsay sur le tème de la religion. Louis Racine, fils du célèbre Jean ; son poème “La religion”, défini par La Harpe “un des meilleurs poèmes de second ordre” essaye de concilier raison et religion, dans “La Grace” il fait de la poésie de Saint Augustin et Saint Thomas. Bon état d’occasion
Sans lieu, , 1715. 2 vol. in-12 de XVII-(1)-642-(6) pp. ; 11-(1)-628 pp., veau fauve glacé, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge, tranches rouges (reliure de l'époque).
Édition originale posthume établie par Jacques Fouillou et Nicolas Petitpied.« À partir de la campagne des Provinciales (1656-1657), Pierre Nicole (1625-1695) a été le représentant le plus obstiné du petit nombre des jansénistes qui estimaient qu’il leur fallait attester leur conformité au pur thomisme "in materia gratiæ et prædestinationis" pour mieux se défendre de l’accusation d’hérésie. Insensiblement, Nicole s’est converti aux thèses de l’École de saint Thomas, allant même jusqu’à défendre des propositions qui, aux yeux des défenseurs de Jansénius, paraissaient molinistes : d’où son conflit avec Antoine Arnauld aux alentours de 1690 à propos de l’idée d’une grâce générale. (…) les jansénistes Jacques Fouillou (1670-1736) et Nicolas Petitpied (1665-1747) décident d’éditer en deux volumes un Traité de la grâce générale (1715) qui comprend l’ensemble des textes consacrés par Pierre Nicole à la question d’une grâce universelle et en deux autres volumes les écrits d’Antoine Arnauld sur le même sujet. Le public disposait désormais des pièces indispensables à l’examen de la dispute qui avait opposé les deux hommes plus de trois décennies après la campagne des Provinciales, alors que Nicole, qui avait fait un bref séjour bruxellois en 1679 au lendemain de la rupture de la Paix de l’Église, était rentré en France dès 1680 et qu’au contraire, Antoine Arnauld avait enduré l’exil jusqu’à sa mort en 1694. La lecture des textes de Pierre Nicole a provoqué stupeur et consternation chez les tenants les plus effarouchés d’une stricte observance augustinienne. En 1716, le P. Hilarion Monnier (1646-1707), bénédictin de la Congrégation de Saint-Vannes, et le janséniste Jacques-Joseph Duguet (1649-1733) publient une anonyme Réfutation du système de M. Nicole touchant la grâce universelle ; pour sa part, le P. Monnier faisait paraître la même année de critiques Réflexions sur le traité de la grâce générale. Les positions de Nicole avaient apparemment eu le don posthume de susciter l’exaspération d’un parti augustinien particulièrement malmené après la fulmination par le pape Clément XI, le 8 septembre 1713, de la Bulle Unigenitus. Il fallait savoir si l’un des plus proches compagnons d’Arnauld au temps des troubles de Sorbonne avait sur le tard abjuré l’augustinisme pour accepter l’idée d’une grâce suffisante telle que la soutenaient les molinistes » (Sylvio Hermann De Franceschi).Provenance : Catherine-Félicité Arnauld ; ex-libris manuscrit ancien au bas des titre "Arnauld de Torcy" ; Catherine-Félicité Arnauld (1670-1757), fille du ministre des affaires étrangères, Simon Arnauld de Pomponne (1618-1699) et de Catherine Ladvocat (1636-1711). Catherine Félicité épousa avec l'accord du roi, le 2 août 1696, Jean-Baptiste Colbert, marquis de Torcy, l'un des plus remarquables diplomates du règne de Louis XIV. Frédéric Masson, dans l'introduction au Journal inédit de Jean-Baptiste Colbert marquis de Torcy (Paris, Plon, 1884, page XIX) signale : « (...) Madame de Torcy, cette âme nette qui avait rencontré à la Cour, dans un mariage de convenance, un mariage d'amour. Janséniste elle était, et demeura. On en peut fournir pour preuve un modeste livre : le Traité de la fréquente communion de son grand-oncle Arnauld, où elle ne s'est point contentée de signer son nom sur la première page : Arnauld de Torcy, mais où, aux passages qui l'attiraient plus intimement, elle a mis un trait de plume ». Petites taches brunes sur la reliure, petits trous de ver sur le dos au tome II, pâles rousseurs.Sylvio Hermann De Franceschi, « Les Thèses thomistes à l’épreuve du conflit de la grâce générale », Chrétiens et sociétés, 17 | 2011, 9-43.