France Loisirs 2010 518 pages in8. 2010. Cartonné jaquette. 518 pages.
Reference : 500149998
ISBN : 9782298037906
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S.l.n.d. (Paris, Jean-Baptiste-Paul Valleyre, 1750). In-12 de 60 pp. paginées 349-408, 2 figures gravées, maroquin rouge, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin vert, triple filet doré encadrant les plats avec fleurons dans les angles, tranches dorées (reliure de l'époque).
Extrait du recueil publié à Paris en 1750 chez Valleyre sous le titre L'Office de Notre Seigneur Jésus-Christ Bon pasteur, latin et français, avec la vie de Madame de Combé (…). La première édition de la vie de Madame de Combé, fondatrice de la congrégation des filles du Bon Pasteur, ordre religieux catholique séculier de femmes qui prenait en charge les filles repenties, le plus souvent des prostituées, parut en 1700. Son biographe Jean-Jacques Boileau (1649-1735) prêtre du Diocèse d'Agen et chanoine de l'église collégiale Saint-Honoré de Paris, était conseiller du cardinal Louis-Antoine de Noailles, archevêque de Paris. « Les maisons de force constituent la réponse du pouvoir royal à la délinquance féminine. Pour autant, les initiatives privées dans ce domaine sont également les bienvenues. La congrégation religieuse « Le Bon Pasteur » est considérée comme un modèle du genre. Fondée en 1686 par Marie-Madeleine de Ciz, veuve d'Adrien de Combé, protestante convertie, et des courtisanes repenties, elle obtient la protection royale en 1688. Elle est renommée par la suite « Communauté des filles du Bon Pasteur », dirigée par des religieuses vouées à la rédemption des filles perdues. (…) La maison principale se trouve à Paris (Louis XIV offrit une maison au n°8 rue du Cherche-Midi ndlr). La congrégation crée également des maisons en province : Aix, Dijon, Avignon, Toulouse, Besançon, Montpellier et Rennes. Elle fonctionne jusqu'en 1790, date à laquelle la République confisque les biens de la communauté et où les religieuses sont dispersées. » (Catherine Chadefaud, Histoire des femmes en France de la Renaissance à nos jours).L'extrait établi et conservé dans sa reliure de l'époque en maroquin rouge, est orné du frontispice de la présente édition de l'Office (« Je suis le bon pasteur » gravé par Scotin) et du portrait gravé de Marie de Combé. Suivi de : Catalogue des livres qui se vendent chez le même libraire (Valleyre) à Paris rue Saint Séverin (paginé 405-408).Provenance : Boyce Harvey Combe (1817-1891), bibliophile londonien, avec son ex-libris armorié qui porte la devise « Nil timere nec temere » accompagné d'une notice biographique manuscrite consacré à Marie-Madeleine de Combé signé et daté « BH Combe Paris, January 1855 ». Aucun lien de parenté n'a pu être établi entre la religieuse et le bibliophile celui-ci vraisemblablement amusé par cette lointaine homonymie.Brunet, VI, 22151 (édition originale de la Relation). Bel exemplaire.
Paris, Pierre Aubouin, Pierre Emery et Charles Clousier, 1687. In-12 de (2)-275-(8) pp. 1 f. blanc, 2 pp. (table), 2 pp. (catalogue), veau brun, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge (reliure de l'époque).
Édition originale (deuxième tirage) du premier ouvrage de Fénelon. « Le plan d'études proposé par Fénelon aux jeunes filles de son temps témoigne des deux tendances contraires qui se partageaient son esprit : d'une part, la haute culture intellectuelle d'un lettré passionnément épris des oeuvres de l'antiquité ; d'autre part, les préjugés d'un prêtre catholique qui s'effraie d'un trop large développement de la pensée. Sachons gré à Fénelon d'avoir dans une certaine mesure lutté contre ces préjugés, d'avoir déclaré qu'il voulait suivre la route contraire à « celle de la crainte et d'une culture superficielle des esprits » ; d'avoir enfin écrit un livre où respire un si tendre amour de l'enfance, un si délicat sentiment de sa faiblesse ; un livre tout plein de douceur et de bonté, où une pédagogie aimable et souriante se substitue à la pédagogie dure et revêche du moyen âge ; un livre enfin dont on peut dire que presque tout ce qu'il contient est excellent, et qu'il ne pèche que par ce qui y manque » (Ferdinand Buisson).Très bon exemplaire. Tchemerzine-Scheler III, 164 ; Rochebilière, 576.
Paris, Imprimeur-gérant : H. Paschal, ca 1890. 2 livraisons de 4 pp. in-folio.
Deux parutions, Nouvelle édition et Dernière édition, non datées, de ce canard humoristique.
PRESSES D'AUJOURD'HUI. MAI 1976. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Mouillures. Paginé de 1765 à 2032.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Revue fondée par Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir. Sommaire : PRESENTATION. — Une petite fille ça existe .PREFACE. — Les petites filles perdues et retrouvéesELISABETH DE FONTENAY. — Pour Emile et par Emile, Sophie ou l'invention du ménageLEILA SEBBAR-PIGNON. — Mlle Lilli ou l'ordre despoupées .VERONIQUE NAHOUM. — Historiettes pour petites filles ANNE-MARIE, HEDWIGE, LAURE, MARIE-JOSE. — Des livres et des filles ..COLETTE GUTMAN. — Blanche-Neige en trente secondes ..MAHIE-CLAIRE PASQUIER. — Dix petites filles ..PIERRETTE PEZERAT. — La vertu nécessaireEVELYNE LE GARREC. — De fil en aiguille et de mères en filles .MARTINE M. — Les petites filles de l'Etat..NANCY HUSTON, YASMINA SALHI. — Jouer au papa et à l'amant GENEVIEVE FRAISSE. — La petite fille, sa mère et l'institutrice MARTINE STORTI. — Les institutrices au lieu des petites filles GENEVIEVE, JOSETTE, MARTINE. — « Elle n’en est pas moins une femme »..».. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
1 album grand in-8 pleine percaline oblong bordeaux, Les Asiles John Bost à La Force (Dordogne). Reconnus comme Etablissements d'Utilité Publique par Décret du 7 Septembre 1877 [ Album photographique contenant 12 clichés format 17,5 x 13 cm ], s.d. [ circa 1895 ]Le temple et la logement du Directeur Général ; La Comptabilité ; La Famille : Asile fondé en 1848 pour des jeunes filles : 1° Orphelines ; 2° Placées dans un mauvais entourage ; 3° De Protestants disséminés ; Siloé : Asile fondé en 1858 pour des garçons : 1° Infirmes ou incurables 2 ° Aveugles 3 ° Idiots ; Béthesda : Asie fondé en 1855 pour des jeunes filles : 1° Infirmes ou Incurables 2° Aveugles 3° Idiotes ou faibles d'esprit ; Eben-Hézer : Asile fondé en 1862 pour des jeunes filles épileptiques ; Béthel : Asile fondé en 1863 pour des garçons épileptiques ; Le Repos : Asile fondé en 1875 pour des Institutrices incurables, des Dames Veuves ou des Demoiselles sans ressources ; La Retraite : Asile fondé en 1876 pour ses Servantes et des femmes infirmes ou sans ressources que leur éducation ne permet pas d'admettre au Repos ; La Miséricorde : Asile fondé en 1878 pour des filles : 1° Idiotes ou gâteuses 2° Epileptiques ou Infirmes ; La Compassion : Asile fondé en 1881 pour des garçons 1° Idiots ou gâteux ; 2° Epileptiques ou Infirmes ; Bethesda nouveau construit en 1891
Fondés en 1848 par le pasteur Jean Antoine (dit John) Bost, les "Asiles John Bost" de La Force (Dordogne) furent créés pour accueillir en milieu semi-ouvert des personnes en situation de détresse sociale et des enfants handicapés, malades, incurables pour lesquels rien n’était alors prévu. Etat très satisfaisant (cartonnage frotté, un feuillet débroché, gardes frottées, bon état par ailleurs) pour ce témoignage photographique peu commun.