De Vecchi 2005 193 pages 26 2x20 8x2 2cm. 2005. Relié. 193 pages.
Reference : 500136711
ISBN : 9782732886237
Bon état
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M. Christophe Ravignot
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[Ambroise Dupont, Bezou, Chez Barba] - DUPEUTY, Charles ; FONTAN ; DUMERSAN ; REGNIER ; ARAGO, Etienne
Reference : 68803
(1831)
1 vol. in-8 reliure de l'époque demi-veau brun, dos estampé à froid dans le style romantique, toutes tranches marbrées : [ Recueil de 6 ouvrages dont 5 pièces de Dupeuty en éditions originales et dont 3 dédicacés par l'auteur ] Le Procès d'un Maréchal de France, 1815 ; Drame historique en quatre actes par MM. Fontan et Dupeuty. Non représenté au théâtre des Nouveautés, le samedi 22 octobre 1831, par Défense de l'Autorité Supérieure, troisième tirage, Ambroise Dupont, Paris, 1831, 4 ff., 68 pp. [ Suivi de : ] Napoléon, ou Schoenbrunn et Ste-Hélène, drame historique en deux parties et neuf tableaux ; par MM. Ch. Dupeuty et Regnier, Bezou, Paris, 1830, 83 pp. [ Suivi de : ] Le Maréchal Brune ou La Terreur de 1815, Evénement historique en quatre tableaux par MM. Dupeuty et Fontan, musique de Alex. Piccini, Bezou, Paris, janvier 1831, 48 pp. [ Suivi de : ] La Vie de Molière, Comédie historique en trois actes, mêlée de couplets, de MM. Dupeuty et Etienne Arago, représentée pour la première fois sur le Théâtre du Vaudeville le 17 janvier 1832, Bezou, Paris, 1832, 78 pp. [ Suivi de : ] Victorine, ou La Nuit porte conseil, Drame en cinq Actes mêlé de couplets, par MM. Dumersan, Gabriel et Dupeuty, Chez Barba, Paris, 1831, 92 pp. [ Suivi de : ] Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Besançon. Séance publique du 28 janvier 1832, 107 pp.
Les trois dernières pièces de Charles Dupeuty sont dédicacées par celui-ci à son oncle J. de Bry. Charles Désiré Dupeuty (1798-1865) s'était enrôlé dans l'armée pendant les Cent-Jours. Bon état (dos frotté, qq. rouss., bon exemplaire par ailleurs).
1 L.A.S. de Georges Monval adressée au Général Brunon, relative à Talma, 2 pp. in-8 sur papier à en-tête de la Comédie-Française, 15 décembre 1885, avec le duplicata de la lettre du Général Brunon contrecollé en tête, 3 pp. in-12.Rappel du titre complet : Lettre autographe signée de Georges Monval, Bibliothécaire Archiviste de la Comédie Française, au Général Brunon [ à propos des pièces de Talma jouées à la Comédie Française ] Mardi 15 décembre 1885 "Monsieur, j'ai l'honneur de vous informer qu'aucune pièce de Talma n'a été représentée ni soumise au Comité de lecture de la Comédie-Française. Je dois ajouter que, dans sa jeunesse, Talma a écrit quelques pièces et que, plus tard, il a remanié plusieurs tragédies, notamment l'Hamlet de Ducis, son ami. J'ai vu passer, il y a quatre ans, en vente publique, une lettre à Talma, datée de 1786 (il avait alors 23 ans), dans laquelle il dit avoir une pièce de théâtre à l'examen et d'autres en tête". Jointe contrecollée en tête le duplicata de la lettre du Général Brunon adressée à Jules Claretie, Directeur du théâtre de la Comédie-Française : "Monsieur, je possède le manuscrit d'une tragédie en trois actes de Talma qui est je crois inédite. Elle porte le titre de Gunide [ ? ] et faisait parti d'un recueil plus volumineux puisque la pagination de la tragédie ne commence qu'à 574 pour finir à la page 688 sur laquelle est écrit le mot : Fin. La page 573 termine une pièce de vers qui semble faite à l'occasion du couronnement de Napoléon Ier. Le mot fin n'y figure pas ce qui paraît indiquer que la tragédie termine le recueil des oeuvres de Talma. Étant naturellement désireux d'avoir à ce sujet des renseignements plus complets, je ne saurais mieux faire que de m'adresser à votre obligeance pour les obtenir. Le Théâtre-Français doit en effet posséder des données sur ce qu'a pu faire l'artiste admirable [ ... ]
Bon état. Archiviste bibliothécaire de la Comédie-Française, Georges Monval (1845-1910) est l'un des plus fameux moliéristes de son temps.
Italie, circa 1842 | 13.50 x 20.50 cm | 4 feuillets rempliés
Ensemble de quatre lettres signées de Napoléon-Jérôme Bonaparte au peintre Géniole, deux sont datées du 21 août et du 12 décembre [1842], 6 pages à l'encre brune, adresse du destinataire au dos des feuillets, deux sceaux de l'expéditeur en partie conservés. Pliures inhérentes aux mises sous pli. Quelques infimes tâches sans atteinte au texte. La singularité de cet ensemble de lettres est constituée par la présence d'un signe franc-maçon rare (deux points de part et d'autre d'une ligne) entrelacé à la signature du Prince Napoléon. Le symbole explicite les liens étroits qui unissent la famille Bonaparte et la franc-maçonnerie qui aboutiront à faire de Paris la capitale de la franc-maçonnerie sous le Second Empire ainsi qu'à la création de la loge «Bonaparte» en 1852 dont fera partie Napoléon-Jérôme Bonaparte. En 1842, le jeune Napoléon-Jérôme Bonaparte, cousin de Napoléon III, est en voyage en Italie en compagnie d'Alexandre Dumas qui tirera de cette expérience son célèbre Comte de Monte-Cristo. Habitué des milieux artistiques, le Prince Napoléon confie ici ses préoccupations au peintre Alfred André Géniole: « Toutes les lettres que l'on m'a adressées à Milan ne me sont pas parvenues ayant passé par le Tyrol et c'est par le plus grand des hasards que j'ai appris ici que l'on me retiendrait à la frontière.» Les lettres retracent la période délicate que traverse la famille Bonaparte exilée dont le représentant principal, le futur Napoléon III, est alors détenu au fort de Ham: «Il y a aussi un nouvel arrangement entre mon frère [Jérôme Napoléon Bonaparte]et moi, il ne peut plus être mon témoin, mon père ne voulait pas voir ses deux fils compromis à la fois.» Traitant parfois de sujets artistiques, comme la composition des armes du Prince Napoléon, les missives révèlent l'ennui qui s'empare du jeune Bonaparte, dont la liberté est limitée, notamment lors de son passage à Bologne: «Vous êtes bien heureux d'être tranquille, personne ne le sent plus que moi qui m'embête furieusement ici [...] Bologne est un bouge affreux, il n'y a que les morts qui y [suitent ?] agréablement le cimetière étant magnifique.» - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Paris, Pillet, 1811. In-8 de XVI-316 pp., demi-chagrin lie-de-vin, dos orné à nerfs (reliure postérieure du XIXe siècle).
Nouvelle édition de la célèbre Déclaration de 1682 rédigée par Bossuet, imprimée pour le Concile de Paris en 1811. En 1680, le pape Innocent XI adresse à Louis XIV plusieurs brefs lui demandant d'annuler la déclaration du 10 Février 1673 qui réaffirmait l'existence du droit de régale « comme un droit royal essentiel et inaliénable » sur tous les diocèses du royaume. Une Assemblée générale extraordinaire du clergé se réunit (octobre 1681-mars 1682) pour affirmer sa fidélité au roi et signer la Déclaration du Clergé de France, rédigée par Bossuet et aussitôt érigée en loi. « La réorganisation de l’Église constitutionnelle qui est l’oeuvre de Henri Grégoire, de 1795 à 1801, est vue avec faveur par les jansénistes italiens. Degola publie de 1797 à 1799 ses Annali Politico-ecclesiastici. Il est l’ami de Grégoire et participe au concile constitutionnel de 1801. Les deux conciles de 1797 et de 1801 sont salués par les jansénistes comme l’avènement de la régénération du clergé. Lorsque s’ouvre son conflit avec Pie VII, Napoléon prescrit de faire enseigner dans les séminaires d’Italie les quatre Articles de 1682, ce qui satisfait le clergé janséniste. Lors du concile qui se tient à Paris en 1811, Grégoire écrit que le clergé d’outre-monts compte le plus de défenseurs des quatre articles de 1682 » (Jean Boussoulade). Bourgeois & André, 4488.