‎Allemand-Baussier Sylvie Le Nautrou Pascal‎
‎La mort c'est pas une vie‎

‎Editions de la Martinière 1998 14 2x1 2x21 4cm. 1998. Broché.‎

Reference : 500040888
ISBN : 9782732424064


‎Très bon état - légères marques de lecture et/ou de stockage mais du reste en très bon état- expédié soigneusement depuis la France‎

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‎Collectif‎

Reference : R110524119

(1967)

‎Le Pèlerin n° 4419 - Roger Guichardan : l'esprit du Concile, Problèmes d'éducation et de vie, Self-service électronique, Montréal : Expo 67, An 2000 : travail féminin, Le parc régional de Camargue, Romans : La mort n'est pas un fin, Le magicien noir‎

‎Bureau de de la revue. 23 juillet 1967. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 60 pages. Quelques illustrations en couleurs et noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION‎


‎Sommaire : Roger Guichardan : l'esprit du Concile, Problèmes d'éducation et de vie, Self-service électronique, Montréal : Expo 67, An 2000 : travail féminin, Le parc régional de Camargue, Romans : La mort n'est pas un fin, Le magicien noir, Doucement les basses, La Mallette jaune Classification Dewey : 200-RELIGION‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : R160123922

(1989)

‎MOUVEMENT DU GRAAL. N°182. SEPT-OCT 1989. OU SONT NOS MORTS? COMMENT VIVENT-ILS? LES REVERRONS-NOUS? LA MORT N'EST PAS UNE IMPASSE MAIS UN SIMPLE PASSAGE. LE PROCESUS DE LA MORT PHYSIQUE. QUE SE PASSE-T-IL APRES LA MORT? LA VIE DANS L'EAU-DELA? COMMENT..‎

‎LE MONDE DU GRAAL. 1989. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 36 pages. Texte sur deux colonnes. Ouvrage légèrement plié.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎ Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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‎SOUBIRAN, Yvonne‎

Reference : 54723

(1928)

‎Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎

‎3 cahiers manuscrits dont deux brochés (l'un oblong), 1928, 40 ff. et 1943, 36 ff. et l'autre cartonné (recueil de citations). Rappel du titre complet : Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎


‎Très remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR590.00 (€590.00 )

‎Jean Duvignaud ed. - Suassuna (A.) - Bakomba (K.) - Sikelmassi (M.) - Hiranburana (S.) - Savinkov (C.) - Mc Luhan (Marshall) - Brassai (G.) - Schaeffer (P.) - Palmier (J.-M.) - Cause Commune‎

Reference : 81038

(1976)

‎Les imaginaires - Tome 1 - 1976/1 - Cause Commune , (1. Elucider le sacré, ou figurer la vie qui n'est pas encore : Genèse de l'icône - Le mouvement armorial - Peintures de sable et ex-votos - Mythes des indiens du Xingu - Les mythes vivants du compagnonnage - Les signes du tatouage maghrébin - La palabre africaine - Le liké thaïlandais - 2. L'imaginaire par la bande : Graffiti - Estorias - Les cabarets de Berlin - L'univers de Meb - Les rêveries de M. Duramet - 3. Technologie et imaginaire : Xeros, simulacre et mort du livre - Darwin et Marconi - La pratique de l'imaginaire)‎

‎Union Générale d'Editions - U.G.E. , 1018, série Cause Commune Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1976 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur bleue, illustrée d'une figure noir et blanche sur fond noir In-8 1 vol. - 446 pages‎


‎quelques figures dans le texte en noir et blanc 1ere édition, inédit, 1976 Contents, Chapitres : Jean Duvignaud : Présentation - 1. Elucider le sacré, ou figurer la vie qui n'est pas encore : Chantal Savinkov : Genèse de l'icône - Ariano Suassuna : Le mouvement armorial - Françoise Auger : Peintures de sable et ex-votos - Claude Demarigny : Mythes des indiens du Xingu - Annie Guedez : Les mythes vivants du compagnonnage - Mohammed Sijelmassi : Les signes du tatouage maghrébin - Katik Diong Bakomba : La palabre africaine - Supang Hiranburana : Le liké thaïlandais - 2. L'imaginaire par la bande : Georges Brassaï : Graffiti - Rosza Wigdorowicz Vel Zoladz : Estorias - Jean-Michel Palmier : Les cabarets de Berlin - Chantal Savinkov : L'univers de Meb - Antoine Gallien : Les rêveries de M. Duramet - 3. Technologie et imaginaire : Marshall McLuhan : Xeros, simulacre et mort du livre - Pierre Schaeffer : Darwin et Marconi - Jean Duvignaud : La pratique de l'imaginaire "couverture un peu jaunie au dos, sinon propre, infimes traces de pliures aux coins, l'intérieur est sinon propre, le papier à peine jauni, ce volume contient notamment un article de Marshall McLuhan (pages 345 à 361) prédisant la mort du livre au profit des nouvelles technologies (dans un livre publié en 1976, mais l'article a été écrit en 1972), alors que le ""Pape"" des médias avait déjà prédit le ""Village planétaire"" au début des années 1970, intéressant. - format de poche"‎

Librairie Internet Philoscience - Malicorne-sur-Sarthe
EUR7.00 (€7.00 )

‎Josse Lucien & Collectif‎

Reference : RO80251335

(1914)

‎La Science et la Vie, n°13 (avril 1914) : La Lune n'est pas encore un astre mort (Camille Flammarion) / A Marseille les bateaux passeront sous terre (L. Houllevigue) / Le traitement des ordures ménagères à Paris (L. Mazerolle) / La construction des ailes‎

‎G. de Malherbe. 1914. In-8. Broché. Etat d'usage, 1er plat abîmé, Dos abîmé, Papier jauni. 152 + XXIV pages. Nombreuses illustrations monochromes dans et hors texte. Premier plat désolidarisé.. . . . Classification Dewey : 600-TECHNIQUE (SCIENCES APPLIQUEES)‎


‎Sommaire : La Lune n'est pas encore un astre mort (Camille Flammarion) / A Marseille les bateaux passeront sous terre (L. Houllevigue) / Le traitement des ordures ménagères à Paris (L. Mazerolle) / La construction des ailes d'aéroplanes (P. James) /... Classification Dewey : 600-TECHNIQUE (SCIENCES APPLIQUEES)‎

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