Albin Michel 1990 159 pages 20x13x1cm. 1990. Broché. 159 pages. Traduit de Sénès Florence - Illustrations de Jankovics györgy
Reference : 43501
ISBN : 9782226048929
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Couverture souple. Broché. 15 x 22 cm. 160 pages. Une page annotée.
Livre. Agenda d'occasion: une page utilisée. Editions Terre vivante, 1983.
Larousse 2012 2012. Le petite bibliothèque du Jardinier v.8 Trucs & Astuces de jardinier/012
Paris, Rigaud, 1738. 1 vol. in-12, basane marbrée, dos à nerfs orné, p. de titre en maroq. rouge,. Reliure de l’époque, pp., 440 pp., (2) ff. 1 planche h.-t. repliée. 7ème édition (e.o. : 1705) de ces conseils de jardinage qui ne manquent pas de bon sens ni de rigueur.
bon etat general , un petit manque sur la planche a deplier , sans gravité Ray B1*
Paris, Editions Mengès, 1984. In-4 cartonné, ill. sur plats, 127 p. Première partie : Jean-Jacques Rousseau, jardinier en herbes. Deuxième partie : Les conseils pratiques de Michel le jardinier. Illustrations en couleurs in- et h.-t. Très bon état.
Paris, Charles de Sercy et Jean Guignard, 1661. In-12 de (12)-308-(4) pp., veau fauve, dos lisse orné de filets dorés en long de la coiffe au pied, pièce de titre en maroquin noir entouré de fleurons dorés, triple filet doré d'encadrement sur les plats, tranches jaspées (reliure du XVIIIe siècle).
Rare édition originale longtemps attribuée à Robert Arnauld d’Andilly « l’auteur du Jardinier royal paru en l’année 1661, recueil très rare, très estimé et duquel trois éditions furent publiées en dix-sept ans » selon André Leroy dans son Dictionnaire de pomologie publié en 1879 (p. 180).Ce remarquable traité d'arboriculture est l’oeuvre de l'abbé Gobelin connu pour ce seul titre publié anonymement par Charles de Sercy et Jean Guignard - éditeurs de quelques pièces de Molière - qui signent la dédicace à «Monseigneur le Procureur General, Ministre d'Estat, & Sur-Intendant des Finances" soit Nicolas Fouquet en 1661, l’année de son triomphe et de sa disgrâce après avoir reçu Louis XIV au Château de Vaux-le-Vicomte. Chapitres : Qu’il faut des murailles pour faire des Espalliers, la Manière de bien dresser les allées, le Temps de la retaille, Première taille des poiriers, Remèdes contre les limaçons, guêpes et fourmis, Temps et la manière de cueillir les fruits, Différence des Coigniers et Coignassiers, Du plan des arbres de haute tige etc.« Les données biographiques et chronologiques dont nous disposons, ainsi que les correspondances du temps décrivent en effet Arnauld d’Andilly comme l’un des précurseurs de la discipline horticole moderne, et à coup sûr son premier promoteur et diffuseur parmi les élites catholiques du premier XVIIe siècle. (…) le cas de La Manière de cultiver (d'Antoine Legendre attribué faussement à Arnauld d'Andilly ndlr) n’est pas le seul du genre, puisqu’un autre titre d’arboriculture a également été attribué à Arnauld d’Andilly au détriment de son auteur affiché, mais de manière encore plus tardive, soit au début du XIXe siècle. Il s’agit du fameux Jardinier royal paru pour la première fois en 1661, sous le nom de l’abbé Gobelin, souvent considéré comme un pseudonyme. L'abbé Gobelin, tout comme Legendre, a pourtant bel et bien existé. François Gobelin était un lointain descendant de la grande famille de teinturiers qui fondèrent les fameuses manufactures dites « des Gobelins » au faubourg Saint-Marcel. Contrairement à Antoine Legendre, l’abbé Gobelin n’avait aucune pratique ni accointante horticole connue en son temps. Il s’avère de plus que les extraits relatant le détail des ventes fruitières citées rendent l’attribution à Arnauld d’Andilly difficilement recevable. Cet exemple comparatif apporte des éléments supplémentaires concernant les problématiques d’attribution autour de la personnalit charismatique d’Arnauld d’Andilly. Il amène plus largement à d’autres considérations sur les pratiques collaboratives et d’écritures collectives dans le monde de l’édition horticole naissante en ce début du XVIIe siècle. Ces éléments confirment la possibilit d’une tradition dont Legendre et Gobelin auraient fait les frais. Tous deux ont en commun d’être les auteurs d’un seul livre (…) » (Rémi Mathis et Sylvain Hilaire).Charmant exemplaire dans une reliure dont le dos orné imite l'espalier des jardins. Un coin frotté, infime trou de ver sur le mors inférieur.Rémi Mathis et Sylvain Hilaire, Pourquoi La Manière de cultiver les arbres fruitiers n'est pas l'oeuvre d'Arnauld d'Andilly, Dix-septième siècle, vol. 263, no. 2, 2014, pp. 345-360 ; Sylvain Hilaire, Le Jardin de Port-Royal. Étude des jardins et des paysages culturels, Sources et bibliographie, pp. 693-742. Inconnu à Nissen et Pritzel.